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Nous avons choisi d'étudier le groupe Renault qui a été fondé en 1898 par les frères Louis, Marcel et Fernand Renault et dont le siège social est basé à Boulogne-Billancourt et qui est un groupe unique dans le monde de part son histoire.
En effet, riche d'une histoire exceptionnelle ce constructeur automobile a été fortement impliqué dans la seconde guerre mondiale car produisant des camions pour les allemands alors que la production automobile était interdite ; puis nationalisé par l'état français au sortir de cette guerre pour être enfin privatisé dans les années 1990.
En 1990, la régie Renault change de statut et devient une société anonyme à capitaux d'État par l'adoption de la loi du 4 juillet 1990 avec des restrictions du contrôle étranger. Volvo acquiert une participation de 20 % après de virulents échanges (en cause la participation de l'état français au capital de Renault).
En novembre 1994, Renault est mis en bourse et à cette occasion Volvo cède 12 % du capital tandis que l'État français diminue sa part de 80 % à 53 %.
C'est en juillet 1996 que Renault passe enfin dans le secteur privé à la suite d'une cession par le gouvernement de 6 % du capital au noyau dur des actionnaires, essentiellement des banques et groupes d'assurance français, par le biais d'une vente de gré à gré.
Aujourd'hui le groupe Renault qui est présent dans 118 pays et qui regroupe également des filiales telles que DIAC, Dacia, Renault Samsung Motors, Renault Sport et détient 80,1% du Coréen Samsung ; bien que fort de son alliance avec Nissan depuis 1999 ; connaît d'importantes difficultés avec un résultat net négatif de 3 125 millions d'euros.
Ainsi, le groupe Renault qui a un passé et un présent pour le moins tumultueux est un acteur historique du monde automobile mais qui est aujourd'hui en pleine perte de vitesse. C'est pourquoi nous allons tenter à travers un audit stratégique et financier de mettre en évidence les points forts et faibles du groupe et les différents secteurs à améliorer afin de redevenir un groupe prospère.
[...] Il est stable entre 2008 et 2009, ce qui est rassurant dans la mesure où la capacité de remboursement des dettes financières se dégrade et que les PAO chutent. On peut donc en déduire de bons rapports entre Renault et ses établissements financiers, qui accordent d'avantages de souplesse concernant la gestion des dettes (bonne gestion du poids des charges d'intérêts). Enfin, nous allons étudier la rentabilité financière du groupe Renault, c'est-à-dire la prise en compte de la rentabilité économique, de la rotation du capital et du taux d'endettement. [...]
[...] On dénombre une vingtaine de grands groupes internationaux, que l'on peut qualifier de concurrents directs à Renault. De plus en plus, ces groupes s'internationalisent, et aucun de ces acteurs n'a de parts de marchés extraordinairement élevées. On accorde cet équilibre au positionnement que chacun des acteurs a pris soin de mettre en place afin de répondre à des besoins très précis. Les grands groupes asiatiques et américains ont tout de même la spécialité de réaliser la plupart de leur CA dans leur zone géographique proche, contrairement aux groupes Européens. [...]
[...] Ce Chiffre est donc la preuve que les efforts réalisés par Renault ont porté leur fruit et que la crise conjoncturelle dans laquelle était plongé le secteur automobile est maintenant terminée. En ce qui concerne la vision à long terme, selon les prévisions des voitures neuves vendues en 2020 dans les principaux pays développés (Europe de l'Ouest, États-Unis, Japon, Chine) seront des véhicules électriques ou hybrides. (Estimation : Boston Consulting Group.) Selon La Tribune du 31/07/2010 Renault serait en train de négocier avec l'Etat français l'implantation de capacités de production de batteries lithium-ion sur le site de Flins, dans les Yvelines, à l'instar du Portugal et du Royaume-Uni, où le projet de construction de deux usines a été annoncé hier. [...]
[...] Pour cela nous avons les données suivantes (résultant de nos calculs) : 2,28 = 2,72 D'où : rsi² = 2,28 * 2,72 rsi² = 6,21% (rsi = Puis nous allons calculer la valeur de rnsi², toujours d'après nos calculs préalables. Il s'agit du risque non systématique du titre, lié à la conjoncture internationale. σi² = = 16,48 D'où : rnsi² = 16,48-6,21 rnsi² = 10,28% (rnsi = Donc : σi = √6,21+10,28 σi = 4,06% On remarque donc que le risque non systématique est plus important que le risque systématique, ce qui signifie que le titre est volatile et dépend de la conjoncture économique internationale. Le taux espéré va donc davantage dépendre du risque non systématique. [...]
[...] Conformément aux règles de gouvernance, le Comité a fait le point sur la succession des dirigeants de Renault. - Le Comité de stratégie internationale : Présidé par Jean-Claude Paye, le Comité s'est réuni une fois et a examiné la stratégie de Renault dans le domaine du petit véhicule utilitaire. Partie II : Audit Financier et Boursier Analyse financière IFRS sur la période 2008-2009 Bloc : fonds de roulement et trésorerie Justification du calcul de la trésorerie : Analyse du bloc : Le premier ratio de ce bloc concerne l'étude du haut du bilan, car l'analyse du fonds de roulement permet de savoir s'il couvre les actifs courants. [...]
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