L'activité que recouvre le terme d'audit et qui constitue l'objet de notre réflexion a des origines très anciennes développées à travers les siècles. Il est donc nécessaire avant de définir la fonction et de décrire les méthodes des auditeurs internes ; de présenter un bref aperçu historique de leurs prédécesseurs lointains ou plus proches.
Les Sumériens du deuxième millénaire avant Jésus-Christ avaient compris que dans un système d'information, il faut établir une communication claire et nette entre le producteur de l'information et ses utilisateurs. Ainsi, le code d'Hammourabi n'était pas simplement un recueil de lois commerciales et sociales, mais il imposait aussi l'obligation d'avoir un plan comptable et un manuel de comptabilité détaillant les procédures des différentes transactions.
Pour les Egyptiens, les phéniciens, les grecs et les romains, ils tenaient des comptabilités de trésorerie, qui par la richesse et la précision des renseignements, leur ont permis d'établir sur des bases solides leur système d'information.
Les Chinois quant à eux ont une longue histoire dans le développement des pratiques de bonne gestion y compris l'utilisation de l'audit comme moyen de contrôle.
Mots clés: audit, gestion, auditeurs, comptables, auditing, révision comptable, contrôle interne, pilotage, procédures, stratégique, rapports d'audit
[...] Le rapport doit également décrire la méthode de suivi utilisée par le contrôleur une fois l'audit terminé pour vérifier si des mesures correctives ont bien été mises en œuvre, par exemple en demandant des rapports écrits de l'entité contrôlée exposant les mesures prises en réponse aux recommandations. Le rapport final est établi à l'expiration du délai imparti pour les commentaires et tient compte, le cas échéant, de ces commentaires. Structure du rapport d'audit Le rapport d'audit doit contenir les éléments suivants : 1. Résumé 2. [...]
[...] Les contraintes imposées à un système budgétaire et opérationnel pour qu'il remplisse ses fonctions principales sont telles qu'il est difficile pour le système de les satisfaire entièrement. Et c'est précisément parce que cette contrainte différente que les conflits entre fonctions apparaissent. Afin qu'un budget soit le plus efficace possible dans son rôle de planification, il devrait se fonder sur une évaluation réaliste des possibilités opérationnelles de l'entreprise. Si le budget opérationnel est trop optimiste, l'entreprise peut sous-employer ses ressources. Si, au contraire, il est trop pessimiste, les ressources peuvent s'avérer insuffisantes pour une exploitation complète des opportunités du marché. [...]
[...] Le lancement des missions d'audit présuppose donc une Préexistence d'un système de contrôle interne. On peut déduire de ce qui précède que le contrôle interne devrait soutenir l'existence même de toute entreprise. Néanmoins, on peut constater que l'évolution du contrôle interne varie considérablement d'une entreprise à une autre, selon le secteur d'activité de celle-ci, sa taille, sa culture et sa philosophie. Le travail de l'auditeur interne, en tant qu'évaluateur de l'efficacité des systèmes de contrôle interne, doit s'appuyer sur l'existence d'un minimum de celui-ci, car s'il n'y a ni procédures définies ni une répartition rationnelle des tâches et des fonctions, l'auditeur n'a aucun moyen de savoir si les instructions de la direction sont appliquées. [...]
[...] Fondé sur une démarche descendante l'audit a donné lieu à un examen des systèmes de gestion et de contrôle mis en œuvre par les autorités compétentes des États membres, y compris les tests de fonctionnement des contrôles, couplé à des vérifications effectuées auprès d'une sélection de responsables de la gestion de programmes/projets et destinées à tester l'efficacité des contrôles opérés par les autorités des États membres PRINCIPALES CONSTATIONS ET CONCLUSIONS Une discussion sur les constatations et conclusions de l'audit a eu lieu avec les entités contrôlées. Le présent rapport tient compte de leurs réponses et de toute information recueillie postérieurement à l'audit. Les constatations et conclusions sont décrites en détail dans le corps du présent rapport. Les principales sont les suivantes : Constatation 1 Constatation RECOMMANDATIONS Au vu des principales constatations et conclusions présentées ci- dessus, le contrôle financier émet les recommandations clés suivantes qui appellent une action immédiate : ? recommandation 2 B. [...]
[...] Trois techniques sont utilisées : L'interview Les questionnaires descriptifs et guides opératoires Les diagrammes de circulation L'interview : C'est la technique de prise de connaissance la plus informelle. Elle consiste à faire décrire la procédure en vigueur sans utilisation de support. Appelée aussi mémorandum. Elle permet une souplesse dans le déroulement des conversations qui conduit les interlocuteurs se sentant moins contrôlés à être plus coopératifs. Mais elle est inutilisable lorsque la procédure est complexe Les questionnaires descriptifs et guides opératoires : Ces questions servent à décrire les procédures. [...]
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