Mission, audit, contrôle interne, vérification, comptes, comptable, financier
L'information comptable est d'intérêt collectif, puisqu'elle sert à gérer les entreprises et donc à assurer leur pérennité, et elle est destinée également à des tiers, investisseurs, personnel, Etat, actionnaires. Mais quelle serait l'utilité de comptes annuels ou consolidés peu fiables ? C'est pourquoi la garantie que constitue l'opinion émise par un auditeur indépendant est essentielle.
Mais s'il est facile de répondre à la question ''pourquoi un auditeur ?'' Il est beaucoup plus délicat de savoir'' comment auditer ?''. En fait, il n'existe pas une manière, mais de nombreuses façons d'aborder un audit financier, ce qui justifie l'évolution considérable que connaît la profession en général depuis quelques années.
Le présent rapport se propose de présenter une mission d'audit effectuée au sein d'un cabinet-conseil, en essayant d'étayer la démarche générale de l'audit à savoir contrôle interne et vérification des comptes.
La notion de l'audit s'est fondée progressivement à partir de la deuxième moitié du 19e siècle avec l'émergence de la profession d'auditeurs externes en Europe puis aux Etats–Unis. On assiste à la création de Cabinets internationaux : Price Water House, Ernest and Youg.
S'est d'abord développée la pratique de l'audit financier, à partir de la 2e moitié du 19e siècle au moment où s'est instaurée la distinction entre les détenteurs de capitaux et les gestionnaires de ces capitaux, contre les éventuels abus des gestionnaires.
L'audit semble maintenant concerner tous les domaines d'activités de l'entreprise et on parle d'audit opérationnel et fonctionnel spécifique, il a d'abord dominé dans les domaines comptables et financiers.
L'audit est communément défini comme : « L'examen professionnel d'une information, en vue d'exprimer sur cette information une opinion responsable et indépendante par référence à un critère de qualité; cette opinion doit accroître l'utilité de l'information. »
Le caractère professionnel de l'examen se manifeste par une méthode: la démarche générale pour conduire l'examen des techniques et des outils à utiliser dans le cadre de la méthode. L‘auditeur est un professionnel compétent à double titre. Il a une connaissance suffisante des activités et informations qui font l'objet de son examen. Il connaît les méthodes et les techniques de l'audit.
La notion de l'information est ici conçue de façon très extensive : l'audit porte rarement sur le fait lui-même que sur sa traduction dans un langage convenu.
[...] De plus, toutes les applications existantes n'ont pas de parcelles ou interfaces entre elles, ce qui conduit à une double saisie. Il en est ainsi de la paie avec la comptabilité et de l'application Produit avec la comptabilité. D'autre part, tous les domaines de gestion de l'établissement ne sont pas couverts par des traitements informatiques. Il en est ainsi pour la gestion de la maintenance et la gestion des immobilisations Le matériel informatique actuel souffre de plusieurs faiblesses : A. Le contrat de maintenance ne couvre pas l'ensemble des moyens informatiques de la régie. B. [...]
[...] Le deuxième chapitre sera consacré au rapport du contrôle interne de l'établissement audité. Un troisième chapitre fera l'objet d'une analyse financière de l'entreprise vu la difficulté de présenter un rapport de contrôle des comptes : confidentialité de l'information. Il est à signaler que les chiffres présentés ci-dessous ne sont pas réels, mais c'est une simple simulation pour pouvoir nous rapprocher de la réalité. La notion de l'audit s'est fondée progressivement à partir de la deuxième moitié du 19éme siècle avec l'émergence de la profession d'auditeurs externes en Europe puis aux Etats–Unis. [...]
[...] Les dépenses de matériel et de matériaux qui sont imputées sur la base des bons de sortie magasin portant le du dossier de travail et sont valorisées au coût moyen pondéré; Les frais de transport qui sont imputés aux dossiers sur la base des taux standards et des fiches d'utilisation des véhicules. Une régularisation est effectuée en fin d'exercice. Nos principales remarques sur cette valorisation sont : Nous rappelons que les méthodes d'évaluation prévues par le CGNC excluent le coût de production. A. La régularisation effectuée en fin d'exercice sur les frais du personnel est réalisée sur la base de la masse salariale globale et de ce fait, la quote-part des frais de personnel imputée à un dossier ne peut être qu'approximative. B. [...]
[...] I‘opinion formulée par l'auditeur est une opinion responsable, car elle l'engage de façon personnelle. Elle est également indépendante tant à l'égard de l'émetteur de l'information qu'a l'égard du récepteur. L'opinion de l'auditeur peut se traduire, soit par un simple jugement sur l'information ayant fait l'objet de l'examen, soit encore être complétée par la formulation d'un certain nombre de recommandations. L'expression d'une opinion implique toujours la référence à un critère de qualité connu et accepté de l'émetteur, des récepteurs et de l'auditeur de l'information. [...]
[...] La sincérité avec laquelle les faits sont traduits dans l'information conformément aux règles admises. On prend ici conscience. L'efficacité, il s'agit là d'un ensemble de critères qui sont eux- mêmes susceptibles de se combiner avec les critères de régularité et de sincérité. (économie, efficience, efficacité) L'audit doit contribuer à accroître l'utilité de l'information sur laquelle il porte, le principal apport de l'audit concerne la crédibilité et la sécurité que l'on peut attacher à l'information. Ces éléments peuvent être appréciés tant par les utilisateurs internes de l'information que par les utilisateurs externes. [...]
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