Audit, loi Sarbanes Oxley Act, États Unis, OHADA Organisation pour l'harmonisation en Afrique du droit des affaires, recherches, auteurs, dirigeants d'entreprise, états financiers, utilisateurs, informations, Vidal, Mechoucha et Marschall, travaux scientifiques, compte de résultat, entreprise, Haddou, impôts, quote-part, politique comptable, décisions de gestion, European Accounting Association, ANC Autorité des Normes Comptables, modèle par fonction, Finet, Breton et Stolowy, perception, opinion de groupe, norme IASC, norme IFRS
Le développement des entreprises est un élément d'impact pour tous les acteurs : décideurs, analystes, management, parmi d'autres. Le traitement adéquat et la qualité des informations financières dans les entreprises deviennent donc des aspects indispensables qui doivent être pris en compte pour analyser ce développement. C'est pourquoi l'emploi de différentes lois et normes est une nécessité existante dans le monde pour garantir la validité de l'information donnée par les institutions financières. Quelques exemples de ces lois sont les normes IASC/IFRS en Europe, la loi Sarbanes Oxley Act aux États-Unis, la loi comptable OHADA en Afrique noire francophone, et d'autres. Un aspect relevant de l'usage pertinent de ces lois est qu'elles permettent d'établir des indicateurs de qualité pour évaluer les informations transmises au public de la part des institutions financières.
[...] C'est pourquoi, suivant un point de vue plus solide, il est conseillable de faire cette présentation d'après le modèle par nature au lieu du modèle par fonction. Néanmoins, il est indispensable d'analyser le travail des analystes en considérant s'ils ont fait des études en profondeur des comptes de résultat des entreprises en question afin de déterminer le niveau de crédibilité de leurs prévisions. Il faut aussi tenir en compte d'autres aspects qui peuvent influencer les prévisions des analystes tels que leurs choix de procédés et moyens pour faire les études du point de vue personnel. [...]
[...] Cette institution conseille que, même si la présentation du compte de résultat par nature est le modèle préféré de tous, un compte de résultat par fonction puisse ne pas être désagrégé. C'est pourquoi le résultat net est la simple différence entre les produits et les charges, sans avoir des sous-totaux intermédiaires. L'ANC (2013) conseille donc aux entreprises choisissant le compte de résultat par fonction de transmettre des informations supplémentaires en documents annexes sur les dépenses par nature, telles que les charges d'amortissement et les frais de personnel. [...]
[...] Par ce fait, c'est commun que le management des entreprises modifie les présentations du compte de résultat pour la période en question. Du côté personnel, des éléments qui motivent le management à faire ces modifications dépendent du point de vue économique (leur rémunération) aussi que du point de vue professionnel (leur réputation) et, principalement, si ces aspects se soumettent à l'accomplissement et le dépassement des finalités qui deviennent donc les entrées d'argent ou seuils de publication. Il est donc possible d'assurer que la performance d'une entreprise peut être manipulée significativement par le management et surtout si cette manipulation impactera aussi soit le paiement, soit la notoriété de l'entreprise parmi les autres. [...]
[...] Ces interrogations guident l'analyste à porter son attention sur l'étude en profondeur de certains postes plutôt que d'autres. À l'aide des données utilisées, par contre, l'analyste cherche à apprécier les éléments montrés dans la Table 2 tenant compte de trois conditions particulières : Table 2 : Éléments étudiés par l'analyste pendant son travail. Éléments factuels Éléments complexes Analyse structurelle de l'entreprise Éléments facilement valorisables Les caractéristiques générales de l'entreprise Le métier de l'entreprise et son histoire Éléments difficilement valorisables Les filiales, succursales et sociétés affiliées Les projets d'investissement L'inventaire et le détail des immobilisations - Le détail et la nature des effectifs Étude externe de l'entreprise Éléments facilement valorisables Les circuits de distribution - Les fournisseurs Éléments difficilement valorisables Les gammes et lignes de produits de l'entreprise Les clients Les concurrents Les nouveaux projets de produits Étude financière de l'entreprise Éléments facilement valorisables Les capitaux propres de l'entreprise Les actifs non économiques Les dettes et créances Éléments difficilement valorisables Le besoin en fonds de roulement Les actifs économiques Les charges et produits Les non-valeurs Source : Mechoucha & Marschall (2018) Il est important de remarquer qu'il s'agit d'une typologie moyenne. [...]
[...] Analyse critique des conceptions théoriques de la présentation du compte de résultat par nature et par fonction. Quelle approche choisir pour mieux montrer la performance des entreprises selon les résultats ? Au moment d'évaluer les entreprises, fréquemment les évaluateurs prennent en compte leur impact et leur réputation dans le secteur auquel elles appartiennent. Cette évaluation mesure les résultats obtenus pendant une déterminée période de temps. Par ce fait, l'analyse des comptes de résultat des entreprises est faite afin de déterminer si ces entreprises ont eu et, en conséquence, enregistré des pertes ou des profits. [...]
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