Pour commencer, il est important de préciser quelques éléments. Tous d'abord, la période utilisée est l'année, divisée en 52 semaines, et restera constante tout au long des calculs. Il faut également préciser que pour étudier Boeing, il faut la placée en situation de concurrence avec les autres géants de l'aéronautique. Il s'agit de Lockheed, EADS et Dassault Aviation. Leurs capitalisations boursières respectives sont de 45,20 milliards, 17,76 milliards et 7,78 milliard de dollars.
Enfin, pour l'ensemble des calculs, afin de ne pas biaisés ceux-ci, seuls les cours ajustés avec dividendes inclus seront utilisés. En effet, avant le versement du dividende le cours à tendance à augmenter mais cette hausse n'est pas une bonne représentation de la valeur de l'action de l'entreprise car elle ne résulte pas d'éléments probants (...)
[...] (Annexe Nous nous fixons un objectif de rendement annuel de 0,25 et une volatilité de 0,10. Après avoir adapté la formule du solveur à maximiser, les poids à investir ont sensiblement évolués. C'est désormais dans les titres Boeing qu'il faut investir 50% des sommes tandis qu'EADS chute à 28% et Dassault passe à 22%. Pour simplifier, un investisseur qui voudrait avoir un portefeuille d'actions dans l'aéronautique devrait investir pour moitié dans Boeing. Il est important de préciser que les variables utilisées pour ce portefeuille sont relativement proches de celles fréquemment utilisées. [...]
[...] En ce basant sur ces données, le choix d'un investisseur se porterait sur Boeing. (Graphique 12) Voyons comment évolue le bénéfice par action par rapport au dividende. Tandis que le BPA chute en 2003 pour remonter ensuite, le dividende croît de manière fluide. Cela dénote que les deux indicateurs ne sont pas corrélés. Le choix du montant du versement du dividende versé par l'entreprise n'est donc pas fonction du BPA. Pour un actionnaire uniquement intéressé par le dividende versé, il s'agit d'une information importante. [...]
[...] En 2006, il serait de plus de 27 années. Nous pouvons remarquer que la hausse du PER en 2003 correspond à la chute du cours de l'action entre 2002 et 2003. La tendance en 2006 est à la hausse du PER. Cependant ce ratio constitue avant tout un outil de comparaison du niveau de prix d'une action par rapport aux titres des concurrents du même secteur d'activité. Nous allons comparer les PER de Boeing avec ceux d'EADS. Nous remarquons tous d'abord que Boeing jouie d'un PER plus stable que celui de son concurrent. [...]
[...] Développons ce point particulier. Ce contretemps n'est pas négligeable puisqu'un délai entre 4 et 6 mois a été annoncé pour les premiers appareils et ce retard sur l'horaire de production pourrait croitre jusqu'à 2 ans pour les derniers Dreamliner en production. Les raisons de cet ajournement de livraison est dût, entre autres choses, au travail encore nécessaire sur les avions tel que l'installation de centaines de pièces, dont les systèmes de contrôle et les instruments de navigation dans la cabine de pilotage ainsi que la planification d'essais afin de s'assurer que les divers systèmes de l'appareil fonctionnent bien ensemble. [...]
[...] (Annexe Grace à ce modèle, un cours à 276 $ nous apparaît. Il pourrait cependant varié de 249 à 303 Cette valeur est assez proche que celle donnée précédemment. De plus, elle nous amène à formuler la même conclusion : le cours va continuer à subir une forte croissance. (Graphique 13) (Graphique 13) ( Détermination du goodwill et de la valeur de l'action A l'aide de plusieurs méthodes, nous allons regarder à combien est estimée l'action Boeing. (Annexe Au 29 octobre 2007, une valeur de marché de 96,02$ est observée. [...]
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