étude de cas, comptabilité, DEL S.A., coûts de production, résultat analytique, bilan, imputation rationnelle
On peut affirmer que c'est la valorisation de la production stockée qui est à l'origine d'une perte plus importante en application de la méthode de l'imputation rationnelle des charges fixes.
La méthode de l'imputation rationnelle permet donc, contrairement à la méthode des coûts complets, de calculer des coûts de revient complets de produits indépendants des variations du niveau d'activité, en éliminant l'influence de la sous-activité ou de la suractivité lors de l'imputation des charges fixes.
[...] La méthode de l'imputation rationnelle permet donc, contrairement à la méthode des coûts complets, de calculer des coûts de revient complets de produits indépendants des variations du niveau d'activité, en éliminant l'influence de la sous-activité ou de la suractivité lors de l'imputation des charges fixes. Ces deux méthodes diffèrent donc dans la mesure où la méthode de l'imputation rationnelle des charges fixes se fait en fonction du coefficient d'activité. [...]
[...] ( + + = Répartition des clés auxiliaires = Clés de répartition x Total (920) Clés de répartition (921) x Total (920) = x = Clés de répartition (922) x Total (920) = x = Clés de répartition (923) x Total (920) = x = Total après répartition secondaire = Total des charges + Répartition des centres auxiliaires Coût des UO = Total après répartition secondaire/Nombre d'UO Différence d'incorporation = Charges fixes imputées Charges fixes Lorsque les Charges fixes sont supérieures aux Charges fixes imputées (différence d'incorporation négative), il y a un coût de sous-activité. À l'inverse, il y a un boni de suractivité. Coût d'achat des matières premières Le centre d'approvisionnement a un CIR égal à 1. [...]
[...] Elle a pour objectif de neutraliser les effets des variations d'activité sur les coûts complets unitaires et d'évaluer l'effet des variations d'activité sur le résultat de l'entreprise, à l'aide du coefficient d'imputation rationnelle. Cette méthode repose sur la définition d'un niveau normal d'activité. Lorsque le niveau d'activité d'une entreprise est inférieur à la normale, une partie des facteurs de production reste inemployée. Le coût de ces facteurs est fixe et ce, qu'ils soient ou non employés pour l'activité de la période considérée. [...]
[...] Explication de la non-similitude des résultats Dans le but de comparer les deux méthodes, nous allons procéder à l'évaluation des pertes totales dans chacun des cas. D'après le tableau du résultat analytique de la méthode des coûts complets, nous avons pu définir un résultat analytique de soit une perte de En ce qui concerne la méthode d'imputation rationnelle, il convient de procéder en plusieurs étapes : - D'après le tableau du résultat analytique, on observe une perte de - On doit tenir compte de l'écart d'imputation rationnelle (ou différence d'incorporation) qui se calcule de la manière suivante : Coût de sous-activité (correspondant aux deux commandes) + Boni de suractivité = [(MOD en heures de la commande 1 /Total des MOD en heures pour les deux commandes) x le mali de sous activité] + Boni de suractivité. [...]
[...] Le coût des unités d'œuvre (26 est donc différent de celui du coût complet (28 ce qui implique un coût de production différent pour les commandes 1 et 2. Coût de revient Commande 1 Commande 2 La commande 2 n'est pas terminée, donc elle n'a pas de coût de revient. Le centre de distribution a un CIR égal à 1,2. Le coût des unités d'œuvre (16,67 est donc différent de celui du coût complet (15,33 ce qui implique un coût de revient et un résultat analytique différent pour la commande. Résultat analytique Commande 1 Commande 2 Pas de facture, donc pas de résultat analytique. [...]
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