Comptabilité, stocks propriété viticole, stocks, vin, agriculture, processus de fabrication, contrôle des stocks, valorisation, commissaires aux comptes
Les stocks sont définis comme l'ensemble des produits ou marchandises en attente, soit pour être utilisés dans le processus de production, soit pour être vendus.
Selon le plan comptable général, le stock peut être défini comme « l'ensemble des biens qui interviennent dans le cycle d'exploitation de l'entreprise pour soit être vendus en l'état ou au terme d'un processus de production à venir ou en cours, soit être consommés au premier usage ».
Le terme stock en accord avec les notions marchandises, approvisionnements ou encore produits, mais la notion de service quant a elle est n'a pas une conception qui prendrait en compte le stock. Il y'a donc deux types de flux qui s'articulent autour de cette notion :
- les flux d'entrée concernant les achats ou la production,
- les flux de sortie concernant les ventes ou pertes.
La bonne gestion du stock permet non seulement de mettre en application plusieurs méthodes comme :
- la méthode Planification des Besoins en Capacité (PBC), elle consiste à la gestion des besoins par ordinateur,
- la méthode Juste À Temps (JAT) dont le but est d'avoir moins de stocks en entreprise et réduit la durée du cycle de production,
- la méthode de la gestion économique des stocks qui est une gestion plus pratique et simple.
La méthode utilisée dépend de la structure en place de l'entreprise.
Sur le plan fiscal, le stock est un élément de l'actif circulant correspondant aux biens destinés à être transformés dans le cadre de la production de l'entreprise, ou à être revendus en l'état par l'entreprise.
[...] On positionne la déclaration de récolte de l'année. Ici, le stock donné par le propriétaire Quand on constate que le cumul des achats devient supérieur à la consommation, on prend tout d'abord la valeur du stock déjà totalement consommé x 15.20 = Puis on calcul et on ajoute l'achat partiellement consommé. Quand on constate que le cumul décroissant des achats devient inférieur à la consommation, on calcule la quantité manquante et on la multiplie par le coût unitaire x 14.72 = Puis on reprend le montant des achats cumulés qui sont totalement consommés. [...]
[...] assistera à l'inventaire physique. - Circularisation des tiers dont le but est de confirmer les soldes de certains comptes (clients, fournisseurs, banques) ou d'obtenir des informations afin de pouvoir évaluer certaines décisions d'application des normes comptables ou l'exhaustivité des informations fournies par l'entreprise (banques, avocats, greffe, cadastre ) - Recoupements d'informations provenant de différentes sources internes (grands livres auxiliaires et livre général, inventaire physique et données comptables ) - contrôle des flux par sondages - Contrôle du cut-off (bouclage entre la comptabilisation des factures émises et reçues, non encore parvenues et à émettre avec les entrées et sorties de marchandises, rattachement de la côte part des charges facturées à cheval sur deux exercices à l'exercice concerné - Réeffectuation de calcul (calcul des cotisations sociales, amortissements ) ASSISTANCE A L'INVENTAIRE PHYSIQUE Lorsque les stocks de l'entreprise viticole sont significatifs, le commissaire aux comptes doit donc s'assurer que ces stocks sont bien existants dans le cadre de sa mission de certification des comptes annuels. [...]
[...] Le but de la phase d'intérim est d'identifier les deux premiers types de risques afin de réduire le plus possible le risque de non-détection, sachant toutefois que la nature même des contrôles mis en œuvre, en particulier les contrôles par sondages, ne peut que donner une assurance raisonnable de la sincérité et de la conformité des comptes, et non une assurance absolue. En outre, la notion de significativité est intrinsèquement liée à cette analyse des risques : L'objectif est d'identifier les risques d'« anomalies significatives c'est-à-dire celles qui auraient un impact tel sur les comptes qu'elles changeraient l'opinion que des tiers se feraient de l'entreprise sur la base de ses comptes. Il faut donc évaluer les domaines significatifs de contrôle, soit ceux où sont traités de gros volumes (en nombre et/ou en valeur) d'opérations répétitives. [...]
[...] de la réalité de l'entreprise. Enfin, si l'entreprise fait appel à un expert comptable, le C.A.C. évaluera si les domaines où l'expert-comptable intervient et la nature de sa mission sont de nature à pouvoir constituer un appui dans les contrôles qu'il devra effectuer, en fonction également de la qualité de ceux-ci. Cependant, même lorsqu'il s'appuie sur les travaux de l'expert comptable, le C.A.C. ne peut en faire mention dans son rapport dans la mesure où il reste seul responsable de son opinion. [...]
[...] En particulier, si le C.A.C. vient à connaissance d'un fait délictueux pour lequel les dirigeants ne prennent pas les mesures nécessaires pour le faire cesser, ou même s'il le suppose, il a obligation de le dénoncer au Procureur de la République. En cas de non-dénonciation d'un fait dont il est à connaissance, il est passible d'amende et d'emprisonnement. Toutefois, dans la mesure où il est soumis au secret professionnel, il ne peut en parler à personne d'autre, outre les dirigeants de la société. [...]
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