Etude de cas, entreprise Technocool, stratégie de développement, indice de qualité, indice de performance, parts de marché, trésorerie, bilan fonctionnel, valeur ajoutée
En 2011, nous prenons la direction de TECHNOCOOL, entreprise qui vend le produit Applicom depuis déjà un an et qui possède un déficit de 11 440 euros. Nous décidons d'augmenter progressivement la qualité de ce produit, ainsi que son prix, tout en restant compétitifs. L'indice de qualité passe donc à 110 (ce qui augmente nos coûts de 10%). Pour que cette hausse de qualité soit efficace, nous augmentons aussi l'indice de performance de nos salariés de production et l'indice salarial force de vente qui passent à 107.
Après avoir analysé la demande prévue par les études, nous estimons que notre demande sera de 9600 unités. De plus, il nous reste 110 unités de produits de qualité 100 en stock : nous décidons de les brader. Afin de rentrer dans nos frais, nous décidons alors de fixer le prix de notre produit de qualité 110 à 56 euros. Il s'avère que notre production vendue s'élève à 543 760 euros (la demande a été plus élevée que prévu).
[...] L'évolution de nos charges financières est tout aussi mitigée : elles ont augmenté entre 2011 et 2012, puis ont diminué en 2013, avant de réaugmenter en 2014. Ainsi, notre résultat courant avant impôts a fortement diminué entre 2011 et 2014 malgré quelques fluctuations. Notre capacité à générer des bénéfices compte tenu de notre situation financière s'est donc fortement réduite. L'impôt sur les bénéfices a diminué en 2012, puis a dépassé le niveau de 2011, avant de diminuer fortement en 2014. [...]
[...] Notre résultat net a suivi la même évolution entre 2011 et 2014). Ainsi, la part du bénéfice dégagé au cours des différents exercices revenant potentiellement aux actionnaires s'est vue décroître. III. Commentaire des flux de trésorerie La capacité d'autofinancement a crû au cours des 4 années, et ce particulièrement entre 2012 et 2013. Cependant, cette hausse est en grande partie due à l'augmentation constante des dotations aux amortissements plus qu'au résultat net comptable qui lui n'a pas retrouvé par la suite son niveau de 2011. [...]
[...] L'évolution du chiffre d'affaires est plus importante que celle de l'EBE ce qui entraîne une dégradation de la rentabilité brute d'exploitation. Les charges, notamment celles de personnel, pèsent sur la croissance de cet EBE. On peut toutefois noter que l'entreprise reste rentable. L'évolution du ratio de rentabilité financière prouve une capacité moindre à rémunérer les actionnaires en 2012 et surtout en 2014. Le résultat de ce ratio est la rémunération que les associés tirent des capitaux propres. Ainsi les dividendes versés n'ont pas pu être optimisés. [...]
[...] Concernant la croissance de l'entreprise, on remarque un taux fort et en croissance jusqu'en 2013. Par la suite, ce ratio s'est fortement dégradé avec une baisse de presque 30 points. Malgré tout le fait que celui soit continuellement positif montre que l'entreprise n'a cependant connu aucune récession. La croissance sur la période est cependant globalement satisfaisante. Le taux de productivité globale est constant sur l'ensemble de la période. Cela montre la pérennité de l'entreprise et sa constance dans le temps même si celui-ci aurait pu être amélioré. [...]
[...] Afin de rentrer dans nos frais, nous décidons alors de fixer le prix de notre produit de qualité 110 à 56 euros. Il s'avère que notre production vendue s'élève à 543 760 euros (la demande a été plus élevée que prévu). Après les charges et les impôts, notre résultat est de 32 630 euros : l'augmentation de l'indice de productivité de nos employés a permis de satisfaire la forte demande et la hausse de qualité de notre produit. Dans l'optique de notre stratégie, nous continuons d'augmenter à 114 l'indice de qualité d'Applicom en 2012, et à 110 l'indice de productivité de nos employés (force de production et de vente). [...]
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