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"Ne touchez pas à ma retraite !" : nous le constatons, les propositions de réforme des pensions de retraite sont quasiment devenues des sujets tabous. Afin de comprendre pourquoi, il convient de rappeler le contexte historique de nos retraites en France.
Les premiers systèmes de retraites sont apparus vers les années 1930 dans les grandes entreprises afin de fidéliser les ouvriers. Ce n'est qu'en 1945 que le système se généralise et se base sur le principe de "solidarité intergénérationnelle" par le biais du système de retraite par répartition : les actifs payent les cotisations réparties entre les retraités (...)
[...] Intérêt d'un investissement immobilier en Scellier : Ce dispositif est intéressant pour les personnes désireuses d'être propriétaire d'un logement à moindre coût et pour celles désireuses de réduire leurs charges de loyers au moment de la retraite en occupant à terme le logement au titre de résidence principale. Dans ce cas là, les objectifs du client devront être déterminés avec précision : emplacement privilégié par le client, niveau de qualité des futures prestations de la résidence Sinon, le produit de la vente du bien immobilier au terme de l'opération peut tout simplement servir à financer l'acquisition de sa future résidence principale. Conclusion de la partie 2 Les systèmes de retraite de base ne suffisent pas toujours à se maintenir un niveau de vie correct. [...]
[...] Les régimes de retraite, trop nombreux et beaucoup trop complexes rendent obsolète le système qui n'est plus adapté à la structure d'une population vieillissante. D'une part, le gouvernement tente néanmoins de sauver le système de répartition, garant d'une pension de retraite pour tous, en adoptant des réformes insuffisantes pour assurer un équilibre financier de long terme. D'autre part, elle favorise une retraite par capitalisation qui ne rencontre guère de succès face à une perte de confiance due aux crises successives des marchés financiers de 2000 et de 2008. [...]
[...] Le principe du système par répartition est d'assurer une certaine sécurité face à l'avenir. Du fait des difficultés d'évaluation de sa retraite et du manque d'informations de la part des organismes compétents, les salariés considèrent plus les cotisations retraites comme un impôt et non plus comme une épargne obligatoire donnant droit à un revenu différé garanti par l'Etat. La disparité entre les régimes et les régimes dits spéciaux ont tendance à ne pas mettre sur le même pied d'égalité le régime de base. [...]
[...] Actuellement, près de de l'ensemble des placements sont en actions. A l'inverse des comptes notionnels où le capital accumulé est virtuel ce capital est bien réel et évolue en fonction des placements qui ont été entrepris. Au début, le capital était investi en bons du Trésor puisqu'il était géré par l'Etat. Depuis 2000, la volatilité est forte (Cf. graphique ci-après) : Source : Conseil d'Orientation des Retraites Lorsque la retraite est liquidée, le capital est ensuite converti en rentes viagères. [...]
[...] D/d = La retraite est calculée en fonction du nombre de trimestre d'assurance rapportés à une durée de référence. D = durée de cotisation d = durée de référence La durée de référence passe progressivement de 150 à 164 trimestres maximum dans les mêmes conditions que dans le régime général de la sécurité sociale. La retraite complémentaire des commerçants Jusqu'au 31 décembre 2003, les commerçants étaient assujettis à un régime de retraite complémentaire obligatoire qui complétait non pas leurs droits personnels mais ceux de leurs conjoints coexistant ou survivants. [...]
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