analyse financière, groupe Accor, hôtellerie, France, Hilton, Marriott, IHG, Wyndham Hotel
Accor services vend à ses clients (entreprises, collectivités) des titres majorés d'une commission de service. Ces derniers les redistribuent à des bénéficiaires (salariés, citoyens...) qui utiliseront les tickets dans des organismes affiliés (restaurants, grandes surfaces...). Enfin, les organismes présenteront le remboursement de la totalité des créances à Accor Services qui les remboursera à leur valeur faciale.
Sur le plan international, l'attractivité de cet avantage aux salariés est d'autant plus amplifiée du fait des exonérations fiscales dont il fait l'objet. Il favorise à la fois l'employeur et le bénéficiaire (« 5,21 euros par salarié et par jour travaillé pour le Ticket Restaurant en France au 1er janvier 2010 »).
1.1.3 AUTRES ACTIVITES
Le groupe intervient dans des activités transversales à son coeur de métier : la Restauration, Services & restauration a bord des trains et les Casinos. Toutes ses activités peuvent s'avérer complémentaires aux autres. Tantôts positionné sur le secteur du luxe avec Lenôtre et sur un secteur plus large avec sa participation dans le groupe Barriere, le groupe affiche encore sa polyvalence dans sa quête aux différents segments de population (...)
[...] Les chiffres clés & faits marquants 8. Les risques Analyse financière 2.1 Analyse de la rentabilité 2.2 Analyse du Bilan Fonctionnel 2.3 Analyse des flux de trésorerie 2.4 Calcul de la création de valeurs et commentaires 1. Conclusion 1. Synthèse 1. Points forts 2. Points faibles 2. Recommandations Introduction L'analyse financière se rapporte à l'évaluation méthodique de la situation financière d'une entreprise, d'une personne ou d'un projet. [...]
[...] L'impact de la crise prend ici tout son sens. Ceci explique la volatilité importante de la rentabilité financière sur cette période. En 2009 le ratio devient négatif n'invitant pas les investisseurs à acquérir des parts du groupe. Ayant été habitué à une rentabilité élevé les années précédentes, les investisseurs exigent désormais un maintien de la rentabilité minimale affichée. Egalement, le résultat financier du Groupe représente une charge nette de 104 millions d'euros en 2009 contre 87 millions d'euros en 2008, soit une augmentation des charges de 17 millions d'euros. [...]
[...] Dans quel but ? Compléter l'offre Novotel et tirer profit de la notoriété de Novotel et de suite hôtel pour arriver à une fusion parfaite des deux marques. Second élément de différenciation, le programme de fidélisation Alclub, mis en place en septembre 2007 dont le but est d'allonger la durée moyenne de séjour et a augmenter les dépenses moyennes des porteurs de carte , peu importe dans quel marque du groupe séjourne un membre il cumulera des points utilisable n'importe où. [...]
[...] La réduction des coûts d'exploitation dans les hôtels en filiale a été de 165 millions d'euros pour un objectif de 150 millions d'euros et de 87 millions d'euros dans les fonctions support pour un objectif de 80 millions d'euros. Le groupe a du aussi réduire ses dépenses d'investissement en rénovation. La crise a aussi eu des conséquences sur les monnaies des pays où il planait un risque de dévaluation, comme au Venezuela où le groupe exerce ses activités. Du coté commerciale, les actions se multiplient pour conquérir de nouveaux clients et fidéliser les clients existants. [...]
[...] Avec un taux de croissance de du nombre d'hôtel ouvert, la crise n'a pas freiné ses investissements d'acquisition (croissance interne et externe). Les activités hôtelières affichent un chiffre d'affaires de 5186M€ en baisse de à périmètre et change constants en courant), due à la détérioration de l'état des économiques, à l'adaptation du mode de détention Asset Right (perte de 104M€ soit et à l'effet de change soit L'indicateur RevPar[4], révélateur des performances d'un hôtel, montre que le groupe est plus sensible lorsqu'il baisse de que lorsqu'il baisse de contre Cette sensibilité à l'indicateur met en évidence les pertes du groupe puisque il a baissé de en 2009. [...]
Référence bibliographique
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