Analyse financière, diagnostic financier, activité de l'entreprise, création de valeurs, politique d'investissement, politique de financement, fonds d
Nous disposons des comptes consolidés des groupes A et B.
On nous donne les comptes annuels et les comptes semestriels. Nous nous baserons uniquement sur l'évolution des comptes annuels pour notre analyse.
On remarque que les résultats semestriels de chaque groupe représentent pour chaque exercice la moitié du résultat annuel, ce qui montre que l'activité des deux groupes n'est pas saisonnière.
Nous n'avons aucun renseignement sur le métier de A et B, on ne sait pas s'ils ont la même activité et quelle est la situation du marché sur lequel ils évoluent.
[...] Le ROI : La mauvaise situation de l'entreprise B entraîne une perte de l'autonomie financière en 2003. Le ROI est très mauvais : le retour sur investissement est négatif, B n'a pas réussi à amortir ses investissements. Point faible : en perdant son autonomie financière, B doit recourir au financement externe, mais les banques accepteront-elles de lui prêter de l'argent ? Fonds de roulement, BFR et variation de trésorerie : En 2001-2002, le BFR diminue, car il suit l'évolution de l'activité. [...]
[...] - On observe donc une baisse de la Valeur Ajoutée ; B crée malgré tout de la valeur, car la VA reste positive. - L'EBITDA diminue sur les 3 exercices, mais la baisse est très forte entre 2002 et 2003, sans doute à cause de lourdes charges de licenciement - Ce qui entraîne un REX négatif en 2003. - Le RN est représentatif des constatations précédentes. Il est très mauvais, en raison de la forte diminution de l'EBITDA en 2003. Point faible : B n'est pas sereine financièrement, elle n'est pas pérenne. [...]
[...] Le groupe A a un ROA plutôt satisfaisant sur la période considérée. Le ROE fait un rapprochement entre l'apport des actionnaires (Capitaux Propres) et la contrepartie qui pourrait être perçue par les associés (Résultat Net). Le groupe A obtient aussi un ROE satisfaisant sur la période considérée. Point fort : le rendement des actifs et le rendement des capitaux propres sont satisfaisants pour le groupe ce dernier est donc un groupe rentable. Groupe B : Le groupe B se retrouve donc avec un ROA faible et en diminution. [...]
[...] Nous nous baserons uniquement sur l'évolution des comptes annuels pour notre analyse. On remarque que les résultats semestriels de chaque groupe représentent pour chaque exercice la moitié du résultat annuel, ce qui montre que l'activité des deux groupes n'est pas saisonnière. Nous n'avons aucun renseignement sur le métier de A et on ne sait pas s'ils ont la même activité et quelle est la situation du marché sur lequel ils évoluent. Cependant, on peut connaître la structure industrielle d'une entreprise grâce au ratio : Immos corpos/Actif. [...]
[...] Concernant le groupe A et au regard de ce qui vient d'être dit, le ratio se trouve dans la zone normale de variation, même s'il est en augmentation depuis 2002. Point fort : le groupe A est solvable. Mais il doit porter une attention particulière à l'augmentation de ce ratio. Groupe B : La situation du groupe B est, encore une fois, plutôt inquiétante. En effet, dès 2001 le ratio a dépassé la limite (de et ne cesse d'augmenter pour atteindre 3,79 en 2003. Le groupe B a largement dépassé sa capacité d'endettement. Point faible : le groupe B a saturé sa capacité d'endettement, il n'est donc pas solvable. [...]
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