L'objet de cette présente étude est d'analyser les performances financières d'une firme. A travers une double démarche :
Celle qui est basée sue les instruments fournis par l'analyse financière traditionnelle et celle qu'on pourrait déduire à travers l'analyse critique de ces instruments.
Les objectifs visés à travers cette étude sont de plusieurs ordres :
1. C'est de connaître les fondements et les limites des instruments de l'analyse financière traditionnelle
2. C'est de montrer, qu'en analyse financière, la gestion de la spécificité des firmes est un élément important à prendre en considération dans la démarche d'analyse des performances financière des firmes.
3. C'est de faire apparaître la nécessité d'une analyse financière de type dynamique.
Ce travail sera structuré autour de quatre chapitres :
Chapitre 1 : Généralités sur l'analyse financière ; ce chapitre traite l'aspect théorique de l'analyse financière dont l'objectif est d'expliquer les principes de l'analyse financière, son objet ainsi que les instruments de base utilisés à cet effet.
Chapitre2 : Rappel des principes fondamentaux en analyse financière ; ce chapitre porte sur l'analyse de l'équilibre financier d'une firme à long, moyen et court terme
Chapitre 3 : La méthode des ratios et l'analyse financière ; dans ce chapitre l'étude s'appuiera sur l'utilisation des ratios dans l'analyse des performances financières d'une firme, ainsi que sur les limites de cette méthode.
Chapitre 4 : Etude de cas ; l'objectif de ce chapitre est d'appliquer les méthodes énoncées dans les chapitres précédents dans un cas réel qui est celui de l'entreprise FRIGITEC.
La méthode choisie pour réaliser cette étude et les objectifs recherchés à travers elle consiste à partir d'une réalité qui est celle de l'entreprise FRIGITEC.
La méthode consiste à l'analyse des documents obtenus auprès de cette entreprise, suivi d'un questionnaire et d'une série d'entretiens.
[...] C'est le cas par exemple d'un bâtiment qui peut valoir beaucoup plus que son évaluation au bilan si le marché immobilier s'est apprécié. Cela peut également être le cas des participations financières dans des sociétés qui ne sont pas réévaluées en fonction du cours de bourse des titres détenus. Il convient donc de vérifier la valeur réelle des biens inscrits au bilan et si nécessaire de les réévaluer pour obtenir une image plus proche de la réalité. Les stocks : Un stock coûte cher à l'entreprise, chaque Dinar de stock correspond à un Dinar de financement. [...]
[...] Toutes les structures financières peuvent se rencontrer et leur acceptabilité ne dépend que du niveau de risques que les actionnaires acceptent de courir. Une société endettée sera ainsi plus rentable, toute choses égales par ailleurs, qu'une société peu endettée mais elle sera plus risquée aussi. Aucune des deux situations n'est meilleure que l'autre ; elles sont simplement équivalentes. A court terme, l'équilibre financier peut s'entendre par la capacité d'une entreprise à faire face à tous moments à ses échéances. C'est donc un problème de liquidité essentiellement. [...]
[...] 3-1-2 le passage du bilan comptable au bilan financier : D'une manière générale, le bilan financier est obtenu suivant trois phases principales. phase des retraitements : Cette phase consiste à prendre en considération des informations concernant l'entreprise, et qui serviront à retraiter certains éléments du bilan comptable. Cette phase est la seule où découle les plus values ou les moins values qui représente la différence entre la valeur financière et la valeur comptable des éléments en question tel que : -La plus value, si la valeur financière est supérieure à la valeur comptable. [...]
[...] Ces besoins en fonds de roulement sont donc proportionnels à la durée du cycle d'exploitation de l'entreprise : - A un cycle long correspond des besoins en fonds de roulement importants ; - A un cycle court correspond des besoins en fonds de roulement modestes. Autrement dit, Le besoin en fonds de roulement est une valeur dynamique lié à la variable temps (les délais d'encaissement des créances et de décaissement des dettes) et au niveau d'activité de l'entreprise (chiffre d'affaires). Au bilan, il apparaît comme la différence entre les emplois et les ressources d'exploitation. [...]
[...] - Les immobilisations incorporelles : Elles sont dénommées incorporelles parce qu'elles sont sans apparence réelle, qu'elles n'ont pas de corps, aucune consistance matérielle. Les brevets, marques . Etc. - Les immobilisations corporelles : Les immobilisations dites corporelles sont composées d'éléments tangibles, qui ont un corps qu'on peut toucher, palper, qui ont une existence matérielle ; elles conservent leur individualité et peuvent être réalisées (bâtiments, matériel de transport, matériel et outillage .etc.) - Les immobilisations en cours : se sont des immobilisations non encore terminées à la clôture de l'exercice .Elles sont soit en cours de réalisation par l'entreprise elle-même, soit encore confiées à des tiers. [...]
Référence bibliographique
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