Intermédiation financière, entreprise I-Bourse, bourse, internet, intermédiation on -line, start-up, banques françaises, stratégies, Porter, SWOT
Pour qu'un intermédiaire financier puisse exercer une de ces trois activités (transmetteur d'ordre ou /et conservateur ou /et négociateur) il formulera une demande auprès des autorités financières et bancaires. Cette dernière, après études du dossier, pourra accorder à l'établissement la possibilité d'exercer une, deux voire ces trois métiers à la fois.
Les « Brokers on-Line » ont tous une activité en commun : la transmission d'ordre. Il est important de souligner qu'ils ne sont pas les seuls à pouvoir assurer cette activité.
Un particulier souhaitant acheter des titres a donc deux solutions : soit il s'adresse à une banque traditionnelle, soit il s'adresse à un « Broker on-Line ». Une fois l'ordre donné à un de ces deux types d'établissement, ces derniers le négocient directement sur le marché s'ils en ont l'autorisation, ou le transmettent à une société de bourse qui sera habilitée à le faire. Il faut souligner que jusqu'à la loi de 2006, seules les sociétés de bourse avaient le monopole de la négociation (l'agrément de négociateur est délivré par la Commission des Opérations de Bourse appelée COB). Le nombre des négociateurs reste assez faible.
[...] La sécurité. Les Brokers on-line Le prix. L'information. La rapidité. La sécurité. Conclusion. V La concurrence : l'intermédiation on-line Les acteurs. Les filiales de banques françaises. Les filiales de banques étrangères. Les filiales d'institutions. Les sociétés de bourse. [...]
[...] Les start-up Leurs stratégies. Les segments. La gamme de services. VI L'intensité concurrentielle (Porter). La rivalité entre les firmes existantes. La menace de nouveaux entrants. La menace de produits substituables. Le pouvoir des fournisseurs. Le pouvoir des clients. VII Le devenir des établissements traditionnels. Deuxième partie : L'entreprise I-Bourse I Identité de l'entreprise. [...]
[...] Positionnement concurrentiel. Synthèse de la stratégie et du management. I-Bourse a été créée dans le but de suivre un mouvement en pleine croissance sans pour autant prendre trop de risques. La banque Harwanne et Telestore ont donc lancé la start-up dans une optique de court terme. Bien qu'y ayant chacun investi leur savoir-faire, les deux actionnaires n'avaient probablement pas le désir de garder I-Bourse dans leur giron trop longtemps. Notre analyse reflète donc les résultats d'une stratégie et d'un management minimaliste, voire à peine suffisant. [...]
[...] IV Évaluation de la stratégie et du management. Perspectives de développement à long terme. Les formidables perspectives de croissance à court, moyen et long terme du courtage en ligne ne sont plus à démontrer : le nombre de comptes en ligne explose et connaît une progression fulgurante. La France est le pays qui a connu la plus forte croissance en 2009 : 190.000 Français achetaient des actions via Internet fin 2009, alors qu'ils étaient 82.000 un an plus tôt, soit + La banque d'investissement JP Morgan, après plusieurs révisions à la hausse, table sur 10,5 millions de comptes titres gérés en ligne en Europe d'ici à 2012, dont 1,1 million rien qu'en France. [...]
[...] III Analyse du management. Structure de l'entreprise. Processus de formulation de la stratégie. Processus de décision. IV Évaluation de la stratégie et du management. Perspectives de développement à long terme. Avant le rachat : une stratégie bridant le développement d'I-Bourse. Le rachat par BIPOP : une formidable opportunité pour I-Bourse. Bilan des réussites et échecs de l'entreprise : atouts et carences. Les atouts. Les carences. [...]
Référence bibliographique
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