Le groupe Sanofi – Synthelabo est un des plus grands groupes pharmaceutiques mondiaux. En 2003, il représente l'un des 20 premiers groupes pharmaceutiques mondiaux, le 7ième groupe pharmaceutique en Europe et le 2ième groupe pharmaceutique national. Le récent rapprochement avec Aventis (résultant d'une fusion précédente entre Rhône-poulenc et Hoeschst) devrait sensiblement modifier la présente donne et faire de Sanofi-Synthelabo le premier groupe pharmaceutique français et le troisième mondial. Ces mouvements de fusion acquisition se généralisent dans le monde de l'industrie pharmaceutique qui présente encore la particularité d'être fort peu concentré. A titre d'exemple, le leader mondial du secteur Pfizer représente moins de 10% du secteur pharmaceutique mondial ce qui est très faible si on le compare avec la Général Motors dans le secteur de l'industrie automobile par exemple.
La force d'un laboratoire et ses perspectives futures sont en grande partie dépendantes de la qualité de son pipeline, c'est-à-dire des molécules en développement et donc des médicaments futurs qui seront mis sur le marché. En ce qui concerne le groupe Sanofi-Synthelabo, pour l'année 2004, 56 molécules sont en développement dont 25 en phase II ou III.
Présent dans plus de 100 pays sur les 5 continents, le groupe emplois plus de 33 000 collaborateurs comprenant une force de vente de 11015 personnes et 6718 chercheurs répartis dans 14 centres de recherche.
[...] De plus, il est la plupart du temps négatif sur la période allant de janvier 2002 à août 2002. Ce point 1 constitue donc un signal de vente du titre. - En 2 : le momentum fortement négatif devient nettement positif signant une accélération haussière du marché. Le passage du Zéro constitue alors un signal d'achat. Tout de suite après, c'est la situation inverse qui arrive : le momentum très positif devient nettement négatif. Le passage du zéro constitue alors un signal de vente. b. [...]
[...] Cela permet d'acheter le titre à 43 et de profiter de trois mois de hausse supplémentaires. Les Moyennes mobiles La moyenne mobile est une moyenne arithmétique des n derniers cours. Elle permet de supprimer les variations erratiques des cours d'un titre donné. Généralement, la moyenne mobile ne s'utilise pas seule et on préfère la comparer avec la courbe des cours bruts. Elle présente l'avantage de pouvoir automatiser la décision d'achat ou de vente. En effet, tout croisement de la ligne des cours et la ligne de moyennes mobiles sont un indicateur de changement de tendance. [...]
[...] Le franchissement de la ligne des plus bas (à hauteur du cou) est le signe avant-coureur d'une forte baisse. Concernant la validité de cette figure : - Pour : o La ligne du cou s'élève légèrement à l'horizontale. o Les volumes s'élèvent avant de redescendre au sommet de l'épaule gauche et du cou. o Accroissement des volumes lors de la cassure de la ligne des plus bas. - Contre : o L'épaule droite est mal formée. o La tête n'est pas très élevée. [...]
[...] Tableau de bord : c. Historique boursier entre 2001 et 2004 : Notons tout d'abord que le cours de l'action de Sanofi-Synthelabo est supérieur au CAC 40 sur notre période de référence s'étendant de mai 2001 à mai 2004. Sur ces trois années de Bourse, l'indice CAC 40 a connu deux phases caractéristiques : une période de baisse jusqu'à mars 2003 suivie d'une période de hausse progressive et assez régulière jusqu'à mai 2004. En effet, après avoir atteint des sommets pendant l'année 2000 (6922,33 points le 4 septembre 2000), l'éclatement de la bulle spéculative a entraîné une chute sur les années et début 2003 où l'indice frôlait à cette période 2700 avant de connaître une embellie depuis (3782 points le 27 avril 2004). [...]
[...] De plus, les activités de recherche et développement indispensables dans un tel secteur sont très onéreuse sans pour autant que puissent être assurés les résultats futurs des sommes engagées en terme de retour sur investissement. Sanofi-Synthelabo évolue donc dans un secteur caractérisé par une concurrence sévère et des risques élevés en terme de dépenses en R&D. Mais les revenus assurés par son portefeuille produits, la présence du laboratoire sur plusieurs axes thérapeutiques majeurs ainsi que la diversification géographique des activités du groupe permettent de conclure que la rentabilité espérée sur le titre devrait être similaire à celle attendue sur le marché, voire même légèrement inférieure (l'action amortirait légèrement les fluctuations du marché. [...]
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