Licence Analyse économique et financière, banque, Banque CIC, CIC Crédit Industriel et Commercial, conseiller clientèle, finance de marché, gestion de portefeuille de titres, document comptable, placement financier, analyse économique, expérience professionnelle, crédit, assurance vie, patrimoine, fiscalité, Pinel, épargne, bénéficiaire, livret A, taux d'intérêt, Crédit Mutuel, Banque Populaire, Crédit Agricole
Pendant plus de deux années, j'ai pu exercer la profession de conseiller en clientèle dans une belle agence du CIC du 6e arrondissement de Paris. Dans un tel secteur, j'ai eu la chance d'avoir une belle clientèle à ma charge. Elle était relativement aisée. Mais également exigeante. Aussi, j'ai dû apprendre, au fil des mois, grâce aux enseignements du CNAM, à affiner la qualité de mon travail et notamment de mes conseils en matière financière.
Dans le cadre de cette expérience professionnelle, j'ai eu accès à un tas de fonctions. J'ai pu simuler des crédits immobiliers, des crédits automobiles, le prêt de résidences principales ou pour des investissements de type "Pinel". J'ai dû, en direct, savoir orienter les clients sur le site en ligne de la banque, renseigner sur les différents services offerts par la banque ou bien encore gérer la gestion des commandes de chéquiers et des cartes bancaires. J'ai eu accès à une clientèle dite patrimoniale avec de vrais besoins en matière d'épargne et de conseil de façon générale. C'est évidemment la partie la plus intéressante de ma mission. La tâche était lourde, car les connaissances nécessaires très vastes.
[...] Mais, parce que l'épargnant reste malgré tout un investisseur, il a besoin de rendement, de sécurité et de dividendes. On voit ici qu'il est fait mention du ratio de Sharpe sur 5 ans. C'est une notion que j'ai étudié dans le module consacré à la finance de marchés. De ce fait, je n'ai pas eu de problèmes à sensibiliser les clients sur cet indicateur. Ce ratio mesure l'écart de rentabilité d'un portefeuille d'actifs financiers avec le taux de rendement d'un placement sans risque (le fonds en Euro par exemple). [...]
[...] J'ai pu avoir en charge un portefeuille clientèle particulière et professionnelle, clientèle dite patrimoniale. J'ai ainsi pu réaliser avec eux : - des simulations de prêts consommation, - des simulations de prêts immobiliers (résidence principale ou investissement immobilier), - des ouvertures de comptes épargne et comptes titres type PEL, PEA, - des ouvertures de contrats d'assurance-vie, - des conseils en matière de placement pour d'éventuels arbitrages en fonction de l'actualité économique et financière, - et, des souscriptions de contrats IARD. Pour pouvoir réaliser l'ensemble de ces missions, j'ai dû, d'une part, apprendre à gérer un rendez-vous avec un client à savoir entendre ses mécontentements, ses attentes et ses motivations. [...]
[...] de revenus mobiliers non imposés sur le revenu (seuls les prélèvements sociaux seront déduits). L'avantage fiscal n'est donc pas négligeable C'est pourquoi expliquer ce genre de cas à un client est très probant et efficace. Depuis le 29 septembre 2017, cette fiscalité est modifiée de la façon exposée Tableau 3 : Fiscalité des assurances-vie depuis le 27 septembre 2017 (le raisonnement reste le même sur le principe?). Tableau 3 : Fiscalité des produits de l'assurance-vie depuis le 27 septembre 20179 On voit donc bien à quel point l'assurance-vie présente des avantages fiscaux considérables. [...]
[...] Et, j'ai pu obtenir cette qualification sans difficulté grâce aux modules de la finance de marchés consacrés aux actions. Le texte MIF 2 impose aux banquiers une certaine transparence des produits financiers par le biais d'une information claire et limpide concernant les frais, par exemple (frais d'entrée et de gestion, entre autres). Cette réglementation a imposé également la mise en place d'un profil investisseur (cf. Tableau : Profil type des investisseurs) pour chaque épargnant ainsi qu'une information précise sur les risques encourus pour chaque type de placement (cela correspond à l'échelle de 1 à 7 présentée sur la fiche des UC). [...]
[...] Les fonds en Euros représentent 87% des capitaux placés en assurance-vie. Mais, ces fonds en Euros ne plaisent pas trop aux banquiers car ils coûtent chers : ils sont rémunérés bien au-dessus des niveaux de taux pour ces mêmes durées. En même temps, ils sont rassurants et attractifs. Je me devais donc d'essayer d'en limiter la souscription autant que possible, tout en restant dans la réglementation. Dès que le profil16 du client / prospect le permettait, je devais privilégier les unités de compte ou UC. [...]
Référence bibliographique
Source fiable, format APALecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture