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Le capital investissement, est une activité financière qui consiste pour un investisseur à entrer dans le capital de société ayant besoin de fonds propres.
Les métiers du capital investissement sont composés de trois principaux segments que sont :
- Le capital risque
- Le capital développement
- Le capital transmission
Le secteur du capital investissement a réellement émergé en France, durant les années 2000 avec notamment une période euphorique entre 2004 et 2007, du fait de ses performances du fait de ses hautes performances économiques et de la contribution apportée au x sociétés qu'elles financent.
Néanmoins la crise de 2008 a engendré dans un premier temps une baisse de cette activité, puis l'effondrement de celle-ci en 2009, provoqué en grande partie par la crise des LBO qui, de part leurs système de financement, aidé de la hausse des taux directeurs et de la baisse de la consommation, ont provoqué un véritable cataclysme dans l'économie moderne (crise d'illiquidités,...)
Cependant, le capital investissement n'est pas encore un secteur à l'agonie si l'on en croit les prévisions futures des économistes. De nombreux spécialistes de ce secteur ont par ailleurs proposés de multiples solutions afin d'envisager une croissance plus saine.
[...] ANNEXES Annexe la crise financière à l'automne 2008 Annexe 2 : dispositif Bâle II, rôle et mise en œuvre. Annexe 3 : l'histoire de Georges Doriot, inventeur du capital-risque Annexe 4 : principales sociétés indépendantes de capital investissement Annexe 5 : rendement du capital investissement en chiffres (performance nette, par multiple et par millésime) Annexe 6 : données financières IFRS Altamir Amboise 2009 Annexe 7 : structure fiscale du LBO ANNEXE 1 LA CRISE FINANCIERE MONDIALEDE L'AUTOMNE 2008 On dit souvent que le capitalisme est synonyme de crise, qu'il se nourrit des crises qu'il provoque, ou encore que sa faculté d'adaptation est sans limites, laissant ainsi entendre qu'il est indestructible. [...]
[...] Le secteur du capital investissement le plus à même de favoriser les avancées technologiques reste le capital risque. Il est en effet porteur des innovations nécessaires au renouvellement de l'économie nationale et doit donc constituer la priorité des pouvoirs publics. En effet, les phases amont de l'innovation constituent ses phases clés. Dans cet environnement, l'apport du capital investissement est décisif : - il fournit, notamment à travers le capital-risque puis avec le capital développement, les financements que ces entreprises ne pourront trouver ailleurs. [...]
[...] Ainsi, plusieurs solutions seraient possibles afin de mieux intéresser nos chercheurs : - Une augmentation des salaires - Plus de temps pour la recherche dîtes publique - Promouvoir plus d'investissements dans deux secteurs très porteurs que sont les biotechnologies et l'environnement. La création de France Investissement au sein de Caisse de Dépôts et Consignations entreprises correspond à un partenariat public/privé encore jamais vu où une institution financière publique se rapproche du capital investissement. Ce partenariat pourrait alors faciliter la coordination du secteur public et du secteur privé afin de mettre en œuvre les moyens nécessaires au développement des secteurs les plus innovants. Ce partenariat qui est intégralement réalisé aux conditions de marché privilégie l'investissement dans le capital-risque. [...]
[...] Nous ne referons pas ici l'histoire d'AR & D qui, jusqu'à son rachat par Textron en 1972, financera plus de 150 projets innovants qui donneront eux-mêmes naissance à de nouvelles industries. Son plus célèbre investissement est celui qu'elle réalise en 1957 dans Digital Equipment, une société crée par Ken Olsen, un ingénieur du MIT qui a mis au point le premier ordinateur à transistor. Les 70.000 dollars investis par AR&D dans ce projet auquel personne ne croit excepté Georges Doriot rapporteront à la société plusieurs dizaines de millions de dollars. [...]
[...] À première vue, la sortie parait délicate lorsqu'il s'agit d'une entreprise non cotée sur marché susceptible de donner de la liquidité aux titres détenus et donc de favoriser la cession. Ainsi, il existe quatre principales modalités de sortie pour les capitaux investisseurs. La plus connue, souvent synonyme de fortes plus-values, est l'introduction en bourse. Cette dernière est l'aboutissement rêvé d'une opération de capital investissement. Mais elle reste néanmoins difficile à réaliser, du fait qu'elle soit dépendante de la capacité des marchés financiers à accueillir des sociétés dont la taille est parfois très modeste. [...]
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