Couple risque, rentabilité, banques, affaires, facteur, relation, client
Le couple risque rentabilité dans la relation client. J'ai choisi ce sujet dans la mesure où j'ai pu remarquer durant mon stage chez BNP Paribas que c'est un élément essentiel dans la concurrence entre les banques. En effet suite à l'évolution législative, à la hausse de la concurrence sur « la place », à l'érosion des spreads et à l'évolution perpétuelle de la relation avec les clients. Pour parer cela, les banques ont mis en place des systèmes de contrôle comme le RAROC qui, néanmoins, atteint des limites opérationnelles.
[...] On les appelait autrefois junk bonds Peter Cooke est un ancien directeur de la banque d'Angleterre et premier président du Comité de Bâle qui mit en place le ratio du même nom, régulant le volume de prêts qu'une banque peut distribuer, en fonction de ses capitaux propres. MLA : Lors du placement d'un crédit syndiqué, l'entreprise reçoit des sollicitations de différents établissements pour mettre en place (ou refinancer) un crédit syndiqué. Sur la base de ces propositions, l'entreprise choisit une (ou plusieurs) banque(s) qui va structurer l'opération. [...]
[...] La dette mezzanine, la formule la plus classique La dette mezzanine est composée de titres donnant accès au capital (obligations convertibles ou avec des bons de souscription d'actions). Elle est souvent utilisée dans le cadre d'un LBO qui associe des fonds propres apportés par le fonds d'investissement à hauteur d'un tiers environ du prix d'acquisition. Le solde de l'opération est financé par endettement. En effet, le prix des entreprises ayant tendance à s'envoler, les repreneurs financiers cherchent à réduire la part des fonds propres pour maintenir leur retour sur investissement à des niveaux élevés de 20 à 25% en moyenne par an. [...]
[...] Une opération ne conçoit pas les mêmes nécessités de rentabilité si elle parvient à en couvrir une autre. Le Risk manager peut aussi essayer de réduire la consommation des fonds propres affectés à l'opération par l'utilisation de diverses techniques de gestion active du portefeuille crédit (titrisation, dérivés de crédit . ) qui permettront de diminuer les pertes exceptionnelles en cas de défaut. L'objectif du Credit manager est alors de rapprocher le portefeuille de créances bancaires de la frontière efficiente, toutes activités confondues, c'est-à-dire d'optimiser le couple risque-rentabilité de ce portefeuille. [...]
[...] Effectivement, du point de vue de la banque, l'analyse financière a pour objet de porter un jugement global sur la situation actuelle et future de l'entreprise et de déterminer si le groupe est solvable. En fait, c'est une méthode permettant de définir globalement l'entreprise à partir de quelques points clés. Le but de cette deuxième partie est de donner les grandes lignes de l'analyse financière telle que j'ai pu l'observer chez BNP Paribas. Comme cela a été évoqué ci-dessus, le chargé d'affaires réalise une analyse financière d'une contrepartie à chaque comité de crédit, c'est- à-dire une à deux fois par an. [...]
[...] La banque a pour objectif de maximiser la rentabilité tout en minimisant le risque sur la contrepartie. Le chargé d'affaires va donc chercher à devenir le leader de la relation avec le client afin d'imposer ses produits, tout en gardant comme objectifs de minimiser la consommation des fonds propres de la banque (produits High Yield / Dettes Mezzanine / . Enfin, mon mémoire s'appuiera sur le cadre règlementaire bancaire des accords de Bâle en expliquant le contexte, les enjeux et les objectifs de sa mise en place en 1988. [...]
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