Renault SA, croissance, développement, entreprise, société, fabrication, tôlerie, de précision, téléphoneriez mobile, ordinateur, diagnostic, sous-traitance, spécialisation
Société fondée en 1948 par Monsieur Pierre Penault, orientée vers le secteur des télécommunications pour la réalisation de produits issus de métaux en feuilles.
A l'origine implantée à Saint-Maur, l'entreprise a changé de locaux en 1978 et déménagé à Pontault-Combault. Ce déménagement coïncide avec la mise en place des premières machines à commande numérique en poinçonnage et pliage. En 1990 la société s'est étendue de 1000 m2 puis de 1500 m2 en 1998. Depuis aucune modification n'a affecté la structure de l'entreprise. Penault est devenu une société anonyme à partir de janvier 1995 au capital social de 90000 euros (...)
[...] De par son activité, une entreprise est confrontée à deux types de besoins de financement. Un besoin de financement à long terme Pour pouvoir exercer son activité, une entreprise doit tout d'abord se doter d'un certain nombre d'actifs qui vont être utilisés sur une longue période tel qu'un terrain pour construire une usine, des locaux où seront entreposées les machines utilisées dans le processus de production. Le financement de ces actifs immobilisés doit logiquement se faire grâce à des ressources que l'entreprise détiendra aussi sur une longue période. [...]
[...] Ce dernier est le président directeur général de Penault SA. Le problème de succession n'est pas un problème actuel pour l'entreprise, puisque la société sera sûrement léguée à un des descendants de la famille Penault et que le dirigeant actuel est plutôt jeune. Toutefois, la question de la succession devra être étudiée consciencieusement par les dirigeants quand le temps sera venu car même de père en fils il faut s'y prendre plusieurs années à l'avance pour que la succession soit couronnée de succès. [...]
[...] Ces données sont rassurantes quand aux risques d'illiquidité de l'entreprise qui sont ici très faibles. L'activité : Penault a fait un recours accrue à la sous-traitance ses dernières années ce qui lui à permis de réduire ses coûts en se recentrant sur son cœur de métier. L'entreprise a suffisamment de ressources pour financer son BFR, en effet l'entreprise de manque pas de moyens d'autofinancement (ce qui est vrai pour les investissements durables l'est aussi pour le financement d'exploitation). L'entreprise a réussie à obtenir en 2005 des délais de paiement au près de ses fournisseurs alors qu'au même moment le poste créance client augmentait aussi (le BFR est donc resté stable). [...]
[...] En, effet le bénéfice net de l'entreprise est calculé en déduisant les amortissements qui son,t considérés comme des charges mais qui ne correspondent pas à un décaissement réel. Dans le cas de Penault SA, les actionnaires ne sont pas rémunérés. Ceci est une pratique courante dans les entreprises où l'actionnaire majoritaire est le gérant en personne. En conséquence direct, le gérant recherche la rentabilité de son entreprise avant la rémunération du capital. La capacité d'autofinancement Correspond à l'ensemble des ressources dont pourrait disposer l'entreprise et qu'elle répartit entre les actionnaires et elle même. [...]
[...] Ce qui n'est pas sans poser problème vis-à-vis des contraintes que cela pèse sur les fournisseurs. Les fournisseurs ne peuvent pas toujours livré dans les temps les quantités demandées. La répartition de la valeur ajoutée On peut aussi étudier la répartition de la valeur ajoutée entre les différents bénéficiaires : le personnel (frais de personnel et participation) l'Etat (Impôts et taxes et impôt sur les bénéfices) les prêteurs (charges financières) l'entreprise elle-même (autofinancement ou encore amortissements) les actionnaires (les dividendes) Ainsi il est à noter que l'entreprise rémunère à la fois le facteur travail et le facteur capital tout en participant à la vie de la collectivité et à sa propre croissance. [...]
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