Les instruments financiers ont été développés depuis le début des échanges commerciaux. Les instruments financiers englobent les marchés intermédiaires, des sociétés de services et les institutions qui mettent en œuvre les décisions financières venant des ménages, des gouvernements et des entreprises. Chaque instrument financier possède son propre marché – soit localisé (NYSE, MATIF), soit de gré à gré comme les obligations et les devises qui s'échangent au travers de réseau de télécommunication qui relie le trader et le client. Les fonds transitent dans les systèmes financiers depuis les entités ayant un excédent de fonds vers ceux ayant un déficit. Ces transferts de fonds passent souvent par un intermédiaire.
Le système financier a 6 fonctions principales :
• fournir des moyens de transferts de fonds dans le temps et dans l'espace. – ex un achat à crédit ;
• fournir des moyens de gérer les risques – lié au transfert des fonds. Mais on peut faire un transfert de fond sans réellement modifier le risque, ex rester exposé dans le même pays ou secteur ;
• fournir des moyens de compensation et de paiement pour faciliter le commerce – ex swifts ;
• fournir un mécanisme pour mettre en commun des ressources et de subdiviser la propriété dans les entreprises ;
• fournir une information sur les prix pour aider à la prise de décision décentralisée dans les différents secteurs de l'économie ; les marchés financiers entraînent une communication en lui-même. Ex un ménage qui décide d'acheter un studio car a su comprendre que les taux sont bas ;
• fournir des moyens de gérer les problèmes des incitations qui arrivent quand une partie prenante dans une transaction a des informations que l'autre partie n'a pas. Cela est plutôt une limite qu'une fonction.
[...] Le break even à l'expiration est ici le coût initial du sous- jacent moins la prime encaissée. Exemple : B 10 OR @ 64 S 1 OR MARCH 65 CALL @ 2 contrat = 10 actions) - Le cours de OR est à au moment de la vente du call, le rendement de la stratégie est donc de : 2 / 64 x 100 = sur 2 mois annualisé - Si à l'expiration : . OR 65, le gain sur OR est de (65 + 2 - 64) / 64 = mois) . [...]
[...] Il faut donc jouer sur deux paramètres et certaines stratégies peuvent tirer profit de cette contrainte de timing. Nous allons parler ici des stratégies d'options les plus utilisées par les investisseurs, notamment dans le cadre de la gestion de portefeuille. A - Rappels pratiques 1. Les déterminants du prix d'une option La valeur d'une option dépend principalement du cours du sous-jacent, du prix d'exercice de l'option, de la volatilité du sous-jacent, de la durée de vie de l'option et des dividendes . [...]
[...] Un achat en opening est annulé par une vente en closing. Un investisseur qui initie une vente en opening s'appelle le vendeur (writer). Il établit une position short. Une vente en opening s'annule avec un achat en closing. Achat en opening Vente en closing On crée une position long On annule une position long Vente en opening Achat en closing On crée une position short On annule une position short L'acheteur paie le droit d'exercer les termes du contrat d'option. [...]
[...] Pour tenir compte de cet effet, nous allons calculer le rendement à maturité (yield-to-maturity). - Rendement à maturité : Il correspond au taux d'actualisation qui égalise le cours actuel et la valeur actuelle des cash-flows de l'obligation restant à payer. Il intègre donc la totalité des revenus de l'obligation, y comprend son remboursement à l'échéance. Dans notre exemple, le rendement à maturité est tout simplement égal au taux d'intérêt du marché à un an : YtM = Cf. feuilles obligataires distribuées Historical Yield Spread : intéressant pour faire des switch. [...]
[...] La formule suivante nous permet de calculer la duration: C = le montant du coupon F = la valeur de remboursement P0 = la valeur présente de l'obligation Rt = le taux d'intérêt à t années N = la durée jusqu'à l'échéance t = le compteur du temps qui varie de 1 à n Cette formule est assez facile à comprendre : il s'agit des flux de l'obligation pondérés par leur échéance. Cette mesure nous donne donc la longévité effective de l'obligation, c'est-à-dire la période pendant laquelle il faut détenir le titre afin de récupérer la mise initiale. De la formule, on déduite que la duration sera, en générale, différente de la maturité. On voit que dès qu'il y paiement de coupon, la duration sera inférieure à la maturité. Seuls les zéro-coupons ont une duration égale à la maturité. On généralise et on obtient : Pourquoi cette formulation ? [...]
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