assurance vie, gestion, optimisation, transmission du patrimoine, soci
Depuis des années, l'assurance-vie est le placement favori des épargnants. C'est un véritable marché qui recense des produits différents et variés. Le contrat d'assurance est proposé par divers interlocuteurs notamment les réseaux d'assurance, les établissements bancaires, ou encore les portails financiers. Choisir le contrat parfaitement adapté à ses objectifs personnels devient un véritable casse-tête pour les souscripteurs.
L'assurance-vie représente 30 à 40 % du Chiffre d'Affaires d'un Conseiller en Gestion de Patrimoine Indépendant. L'assurance vie permet de constituer un capital. Elle répond à la question fondamentale de la protection de ses proches, notamment son conjoint et/ou ses enfants. En effet, l'assurance vie vient compléter les dispositions légales ou de nature testamentaire (donations, legs). Au-delà de cet aspect de transmission de patrimoine, c'est un placement capable d'évoluer tout au long des étapes de la vie. Il permet notamment de se constituer une épargne de précaution, d'optimiser la fiscalité, ou encore de mettre en place le financement de sa retraite.
Nous analyserons les trois principaux objectifs patrimoniaux de l'assurance-vie (transmission d'un patrimoine, optimisation des revenus de son patrimoine et création d'un patrimoine dans une logique de préparation à la retraite) pour comprendre dans quels cas et comment l'assurance vie doit être utilisée.
Par ailleurs, nous tenterons de comprendre comment sélectionner au mieux des supports (Fonds euros, Unités de comptes). Nous expliquerons aussi les différentes options d'arbitrage offertes par les compagnies d'assurance. Nous analyserons également l'assurance vie en période de crise, sujet actuellement important pour tout épargnant quel qu'il soit. Et enfin, nous déterminerons les limites de l'assurance vie notamment depuis les réformes de la loi TEPA.
[...] Soit un montant total de Avec un contrat, les droits diminuent de pour atteindre Le contrat d'assurance vie doit être utilisé uniquement s'il y a un réel intérêt à le faire. En effet, lorsqu'il n'y a pas de droits de succession à régler, il n'est pas nécessaire de souscrire une assurance vie. L'abattement successoral de applicable depuis le 1er janvier 2009 est revalorisé tous les ans. Celui-ci permet également de transmettre au maximum à chaque héritier sans droits à acquitter. Au-delà, les droits de succession en ligne directe vont s'appliquer. [...]
[...] Il n'existe pas de définition légale de l'assurance vie. Le contrat d'assurance vie est défini par la doctrine, les praticiens et la jurisprudence comme un contrat par lequel l'assureur (le promettant) s'engage, en échange d'une prime versée par le souscripteur (le stipulant) du contrat à exécuter une prestation dans l'hypothèse de la réalisation d'un risque déterminé. Le risque repose sur la tête d'un assuré et concerne soit sa survie, soit son décès. La prestation consiste généralement en un versement d'un capital ou d'une rente, à un bénéficiaire désigné par le souscripteur. [...]
[...] A l'inverse, de la période 4 à en cas de décès de l'assuré, ils perçoivent plus que la valeur réelle du support. Dans les deux cas, ils sont certains de récupérer au décès au moins les investis sur le contrat. - La garantie plancher indexée : le fonctionnement de cette garantie est identique à la précédente à une différence près. Le capital investi est revalorisé d'un pourcentage allant de 1 à par an. Exemple : Un souscripteur a versé sur un contrat d'assurance vie en période 1. [...]
[...] En effet, la FFSA, Fédération Française des Sociétés d'Assurances, propose une exonération totale des plus values générées par un contrat d'assurance vie lorsque le souscripteur conserve son contrat pour une durée supérieure ou égale à 12 ans. Cette mesure constituerait un avantage fiscal supplémentaire. Exemple : On considère un capital de L'hypothèse de rendement retenu est de 5%. Au bout d'un an : capital + intérêt = + = Lorsque le souscripteur souhaite faire un retrait de au bout d'un an, la règle en matière d'assurance veut que cette somme soit composée à 95% de capital et à d'intérêts. [...]
[...] Cette créance doit faire l'objet d'une déclaration chez le notaire en charge de la succession. Les risques du démembrement de la clause bénéficiaire sont nombreux. Cependant, il existe des moyens pour y remédier. - Au décès de l'assuré, le quasi-usufruitier a la pleine disposition du capital. De ce fait, il y a un risque de dilapidation. En effet, si au décès de l'usufruitier, l'actif successoral est inférieur à la créance du nu-propriétaire, celui-ci ne pourra l'exercer pleinement auprès de la succession. [...]
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