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Le Web 2.0 est à la fois une innovation technologique et d'usage. Technologique, car seuls un réseau rapide et totalement déployé et des navigateurs puissants ont permis son éclosion et d'usage, car cette évolution permet de recentrer le web sur son utilisateur et non sur les serveurs et les sites. En effet, le Web n'est plus focalisé sur le contenu mais sur l'internaute. Celui-ci est devenu un "consomm'acteur" : il a désormais le droit et la possibilité de produire, modifier, publier, diffuser, commenter, partager des contenus de toutes sortes. Les internautes peuvent enfin prendre possession de ce média et l'exploiter sans autres limites technologiques que leurs propres connaissances et leurs envies. Les marketeurs du numérique ne s'y sont pas trompés en appelant cette dernière mouvance le « Web 2.0 » pour se distinguer des promesses non tenues et des frustrations techniques et fonctionnelles engendrées par le Web première génération.
Bien que les audiences des startups du Web 2.0 comme YouTube, Facebook, Twitter ou encore MySpace se comptent en centaines de millions d'internautes et que certaines sont valorisées à très haut niveau, force est de constater qu'encore beaucoup d'entre elles sont à la recherche d'un business model viable et donc ont des revenus encore modestes et une profitabilité nulle. C'est pourquoi les investisseurs sont désormais frileux à l'idée d'investir dans le Web 2.0 et ce depuis 2008, année de rupture. Ont-ils toutefois arrêté tout investissement dans ce secteur ? Que recherchent-ils désormais ?
[...] The Web could not be without the Net. The Web made the Net useful because people are really interested in information and don't really want to have to know about computers and cables»[6]. Limité à un millier environ en 1985, le nombre d'utilisateurs Internet est passé à plus de 2 millions en 1994. Il doublait tous les 27 jours, grâce entre autres, aux navigateurs, véritables outils de communication et d'échange, simples à installer et à utiliser. Netscape fut le premier navigateur à remporter un franc succès. [...]
[...] Dans la famille des réseaux sociaux, Hellotipi permet de créer un site familial en quelques clics tout en respectant la vie privée. Les fonctionnalités, présentées sur le site web, y sont très nombreuses et sont les suivantes: - Archiver et partager photos et vidéos dans un espace sécurisé au stockage illimité - Recevoir et donner des nouvelles grâce à un blog facile d'utilisation - Dessiner l'arbre généalogique et le partager entre membres d'une même famille - Conserver précieusement documents, dessins, cartes postales, lettres, etc. [...]
[...] Le web Rappels historiques et origines du web Rappels historiques Dans les années 80, l'ère des micro-ordinateurs atteint un premier stade de maturité. En 1977, Apple (et ses inventeurs Steve Jobs et Steve Wozniak) crée l'Apple II. En 1981, IBM lance sur le marché son tout premier PC. En 1985, Windows apparaît Les PC se sont dotés de plus de capacité de mémoire permettant la manipulation et le stockage des documents à moindres frais. Ensuite ce fut le temps des logiciels et des jeux vidéo. [...]
[...] Le GNN fut racheté par AOL en 1995. http://www.oreilly.com/pub/a/oreilly/tim/news/2005/09/30/what-is-web- 20.html) Bloggeur néo-zélandais, fondateur de Read/WriteWeb http://angenius.net/tiki-index.php?page=WEB %20internet%20actu http://www.oreillynet.com/pub/a/oreilly/tim/news/2005/09/30/what-is- web-20.html http://fr.wikipedia.org/wiki/Effet_de_r%C3%A9seau#Exemples: L'effet de réseau ou effet-club est un mécanisme d'externalité positive économique qui prévoit que l'utilité d'un bien pour un agent dépende du nombre des autres utilisateurs. C'est le cas de nombreuses technologies et service de communications. http://fr.wikipedia.org/wiki/Longue_tra%C3%AEne#La_longue_tra.C3.AEne_de_Chr is_Anderson Dans une série de conférences et dans l'article de Wired, paru en octobre 2004, Anderson décrit les effets de cette longue traîne sur les modèles économiques présents et futurs. [...]
[...] Ils y voyaient dans ce nouveau concept une révolution technologique majeure au même titre que les révolutions industrielle et automobile. De 2004 à 2007, les investissements ont été importants tant le buzz marketing et médiatique autour du phénomène était démesuré. Après quoi les investisseurs, conscients d'un manque crucial de modèle d'affaires et de fondement, se sont montrés beaucoup moins friands. En effet, comme l'explique Xavier Lazarus, le modèle 2.0 n'existe pas. A la finale, ces startups vendent de la publicité, des objets (virtuels) ou des services. [...]
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