Mise en place, création, procédure, gestion documentaire, risques, front office, middle office, finance, comportement, analyse
Le sujet traite de la « gestion des risques en salle des marchés ». Intéressons nous à la définition de la salle des marchés. Une salle des marchés est selon l'arrêté du 11 janvier 1990, « un lieu regroupant les opérateurs chargés de prendre des positions sur les marchés financiers, monétaires et des devises, nationaux et internationaux, pour le compte de l'établissement ou de la clientèle. ».
[...] Dans un premier temps, nous avions choisi de ne traiter que l'univers du cambisme, du marché de change, un marché très peu sensible aux risques de marché. Mais afin de donner une plus grande visée à ce mémoire, nous traiterons des opérations générales de la salle des marchés, que ce soit le change, le taux, les produits structurés sans en expliciter les modèles mathématiques ainsi que leurs instruments propres afin de ne pas alourdir le mémoire et se concentrer exclusivement sur notre problématique, la salle des marchés : Gestion des facteurs humains et risques organisationnels Notre plan Tout d'abord, nous pouvons facilement visualiser la relation indéniable qu'il existe entre le facteur humain et le facteur organisationnel. [...]
[...] Nous pouvons distinguer trois grands types de risques, les risques de marché, les risques de contrepartie, et les risques opérationnels. Les risques de marchés correspondent à l'optimisation des profits des acteurs en jeu. En effet, vu le volume des transactions effectuées quotidiennement, il convient de se prémunir des risques financiers que ce soit par une mauvaise évaluation de l'évolution des taux par exemple. La gestion des risques financiers est beaucoup utilisée par les banques pour se prémunir d'un risque de change, en proposant des changes à terme à leur client. [...]
[...] Mais là où le système cognitif de l'homme a des difficultés, c'est lorsque l'on contextualise l'évènement. Intéressons nous à une expérience publiée en 1973 par les fondateurs de la finance comportementale, Kanheman et Tverksy. Des sujets ont reçu 4 listes comportant 39 noms chacune noms d'hommes et 19 noms de femmes. Dans ces listes, on retrouvait des proportions différentes de noms célèbres d'homme et de femme. Après une lecture par l'estimateur d'une liste, les sujets devaient se rappeler le plus de noms possibles. [...]
[...] La structure dans cette banque est aussi appelé Trader processing, elle se décompose en trois principaux services. L'équipe des réconciliations inter system : elle s'occupe de rapprocher deux systèmes différents (le Back et le Front ou dans les gros groupes internationales le système de Londres et celui de Paris) Le static data : il se charge d'établir les mises à jour des systèmes, la création de sous jacent Les tâches générales du middle office : le booking (enregistrement des opérations du front office, vérification et validation), la création d'outils de statistiques (qui est réalisé normalement par le Back Office mais qui se développe en middle) et enfin le pricing qui peut être fait soit par le front soit par le middle, cela dépend du produit traité. [...]
[...] De même pour les listes comportant le plus de noms de femmes célèbres. L'erreur de représentativité Le biais de sur ou sous estimation n'est pas la seul erreur portant sur les jugements de probabilité. Intéressons nous encore à une étude de Kanheman et Tverksy en 1973. Un premier groupe de sujet a du évaluer la proportion d'étudiants dans neuf disciplines telles que l'informatique, les sciences sociales, la médecine, l'éducation physique. Les étudiants ont fourni des réponses relativement proches de la réalité. [...]
Référence bibliographique
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