Impact structure financière et rentabilité d'entreprise, équilibre financier, financement, politique financière
L'évaluation de la totalité des dettes de l'entreprise nécessite de prendre en compte les engagements hors bilan tels que les loyers de crédit-bail restant à courir et le crédit client financé sous forme de mobilisation d'effets de commerce non échus, de cession de créances ou d'affacturage. Elle requiert également l'inscription au passif du bilan financier des dettes fiscales latentes afférentes aux reprises de résultats des exercices ultérieurs des subventions d'investissement et des provisions réglementées ou résultants des ajustements de valeur de l'actif. Le retraitement des effets escomptés non échus consiste à reclasser leur montant au passif en dettes financières à court terme et à l'actif dans l'en-cours client. La réintégration du crédit-bail dans une optique patrimoniale conduit à reclasser dans les dettes financières à long terme le montant hors frais financiers des loyers restant à courir à plus d'un an et dans les dettes financières à court terme le loyer dont l'échéance est à moins d'un an. Leur contrepartie est inscrite à l'actif dans les immobilisations corporelles. Elle correspond à la valeur nette comptable hors prix d'achat résiduel de l'immobilisation financée par crédit-bail.
[...] On suppose que l'économie a une probabilité de 50% d'être en croissance (dans ce cas la, la rentabilité des entreprises du type H est estimé à et 50% d'être en récession (rentabilité de pour les actions du type H). Le risque est ici systématique ; la détention d'un portefeuille d'actions de type H ne réduira donc pas le risque. Lorsque la conjoncture est favorable, le portefeuille a une rentabilité identique à celle de n'importe quelle entreprise H ; lorsque la conjoncture est mauvaise, le portefeuille a une rentabilité de -20%. Il existe également des entreprises de type A. leurs cours de bourse ne dépend que de risques spécifiques. [...]
[...] Enfin, au cours des quatre années de mon mandat de président, plus de 2,4 milliards d'euros de dividendes ont été versés aux actionnaires Chapitre III : Impact de la structure financière sur la rentabilité Etude de cas selon le domaine d'activité D : Cout des Capitaux propres Les capitaux propres ne sont pas gratuits. En effets les apporteurs auraient pu placer leurs capitaux en achetant des actions par exemple. Ce manque à gagner représente le coût du capital. Deux modèles permettent d'évaluer ce coût, le modèle de Gordon et le MEDAF. [...]
[...] Les investisseurs bénéficient donc d'une prime de risque de lorsqu'ils achètent ces titres (car la rentabilité espérée est de 10%). La volatilité peut être considérer comme une mesure de risque adapté dans le cas d'un portefeuille diversifié, car son risque total se réduit à son risque systématique. Mais la volatilité n'est pas adaptée pour mesurer le risque d'un titre individuel, car sa volatilité dépend à la fois de ses risques, systématique et spécifique, ce dernier n'étant pas rémunéré par le marché. [...]
[...] Toutefois, sous l'hypothèse que les investisseurs ne seront ni trop optimistes ni trop pessimistes en moyenne, la rentabilité effective annuelle moyenne (calculée à partir de la densité de probabilité empirique) ne devrait pas être trop éloignée de la rentabilité qu'ils espèrent. La seconde difficulté est liée à la première : la rentabilité moyenne calculée à partir des données historique ne constitue qu'une estimation de la rentabilité espérée. Dès lors que l'on réalise une estimation, il convient d'apprécier l'erreur d'estimation que l'on commet. Celle-ci peut être calculée grâce à la mesure statistique de l'erreur type. L'erreur type est l'ecart type de la moyenne estimée autour de sa vraie valeur. [...]
[...] C : Calcul et interprétation du BETA Le coefficient bêta d'un titre financier mesure son risque par rapport à la moyenne du marché. Un titre à faible risque aura un bêta faible, les titres risqués ayant un bêta élevé. Et par construction, la moyenne des bêtas de tous les titres est de 1 bêta du marché cov(Veolia,cac40) cac 40 Beta Veolia L'année 2009, comme la deuxième partie de l'exercice 2008 est marquée par la crise financière et ses répercussions sur l'activité économique et sur la volatilité du beta a été énorme. [...]
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