Mémoire sur la gouvernance et la création de valeur dont la problématique est : Quels sont les indicateurs les plus appropriés pour mesurer la création de valeur ? Les nouveaux indicateurs apportent-ils une contribution nouvelle à la théorie de valorisation des entreprises ou ne sont-ils qu'une formulation des indicateurs traditionnels ? Comment le système de gouvernance de l'entreprise affecte-t'il la valeur créée aux actionnaires ?
[...] ce chapitre sera achevé par une validation empirique des travaux de Tracey West et Andrew Worthington, (2004)[4] qui confirment la pertinence du bénéfice avant éléments extraordinaires, du bénéfice résiduel et de l'EVA dans l'explication du rendement annuel des actions des entreprises. Le chapitre deuxième traitera le système de gouvernance de l'entreprise qui sera étudié à travers les mécanismes de contrôle et de structure de propriété et il sera achevé par un test empirique de travaux de S. Beiner, W. Drobetz, F. Schmid et H. Zimmermann (2003)[5] et Panasian C et Andrew K. [...]
[...] (2003) op cit. Hermalin, B., et M. Weisbach. (2003) op cit. http://www.reseaucapital.com/Guide/Role_du_CA.htm#Haut Faleye O(2004), Are Large Boards Poor Monitors? Evidence from CEO Turnover” , Northeastern University, working paper. Kath et Kim, ABC, (2003) op cit. David A. [...]
[...] De leur côté, les actionnaires qui ont investi un capital financier cherchent à maximiser la valeur de leurs titres ou valeur actionnariale (shareholder value) sur une durée la plus longue possible, même s'ils souhaitent rentabiliser rapidement leur capital. Cette espérance de gains à long terme conduit donc les actionnaires à contester la gestion à court terme menée par les dirigeants dont la position au sein de l'entreprise les rend en outre détenteurs d'informations privilégiées inaccessibles aux actionnaires. 1-1-2 : Présentation des stratégies du dirigeant et de l'actionnaire[53] Soit un propriétaire d'entreprise qui cherche à embaucher un manager. L'entreprise réalisera un profit brut π, fonction des “actions” du manager e. [...]
[...] Sridharan* et Allan Marsinko (2005), op cit. Christine Panasian (2004), op cit. Ben-Amar W et André P (2005) Separation of Ownership from Control and Acquiring Firm Performance: The Case of Family Ownership in Canada” working paper. Chen A et Kao.L, (2005), Conflict Between Agency Theory and Corporate Control on Managerial Ownership: The Evidence from Taiwan IPO Performance”, INTERNATIONAL JOURNAL OF BUSINESS, vol 10, PP : 39- 61. J.R. Davies, Hillier D et McColgan P (2004) «Ownership Structure, Managerial Behavior and Corporate Value» University of Strathclyde Working Paper, http://ssrn.com/abstract=302596 6 OPQRgh* + û ü ý ¶?sÃé)+ÙúöîöèöèöàÕËÕÄËÄö¾ö´ ŽŠ€Š€vŠrŠrŠr[87] Gillan, S. [...]
[...] Ce système de gestion des entreprises d'origine américaine a pour objectif de redonner le pouvoir aux actionnaires, par rapport aux conseils d'administration et aux dirigeants.[58] 1-3 : Les principes du gouvernement d'entreprises Le gouvernement d'entreprise repose sur plusieurs principes de bases, les plus importants sont les suivants : 1-3-1 : Le principe de la création de valeur.[59] D'un point de vue financier, l'enjeu central pour juger les pratiques de gouvernance est leur impact sur la création de valeur. Aguilera et Cuervo-Cazurra (2004, p. [...]
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