Notation interne, outil, mesure, risque de crédit, réglementation bancaire, crédit storing, solvabilité
Le secteur bancaire est confronté en matière d'octroi de crédit à de nombreux risques dont le plus fréquemment rencontré est le risque de crédit qui peut constituer la première cause des pertes voir même la défaillance de ces établissements bancaires.
Paradoxalement une gestion de ce risque semble nécessaire dans le but de renforcer la stabilité et la sécurité du système financier, dés lors les décisions d'octroi de crédit ont beaucoup évolué dans leurs méthodes de détermination.
En effet, un panel de méthodes d'évaluation de ce risque sont mises à la disposition des banques, commençant par les outils de base à savoir l'analyse financière arrivant au sytème de notation financière approprié par chaque banque. Ces systèmes recommandés par les accords de Bâle II, représentant ainsi une véritable révolution en matière de gestion du risque de crédit que les banques Algériennes doivent impérativement suivre et développer en l'occurrence leur système de notation interne.
[...] La réintégration des EENE au bilan financier se fait par une augmentation du poste client à l'actif circulant, du montant de ces EENE ; le passif devra enregistrer une augmentation d'un montant équivalent au niveau du compte de trésorerie passif. Les biens acquis en crédit-bail Le bilan financier doit présenter le véritable capital économique dont dispose l'entreprise audelà du statut juridique. L'entreprise utilise des immobilisations corporelles de façon durable, dans le cadre d'une convention de crédit-bail, elle n'est pas juridiquement propriétaire de ces biens utilisés, au moins jusqu'au terme du contrat. C'est pour cette raison qu'ils ne figurent pas dans un bilan comptable. [...]
[...] Ces provisions viennent renforcer les fonds propres par leur caractère de réserve. créances classées : Ces créances se décomposent en trois catégories : Les créances à problèmes potentiels : ces créances sont détenues sur des entreprises dont la situation financière et les perspectives d'activité se dégradent, et/ ou qui opèrent dans un secteur d'activité en difficulté créatrice du retard de remboursement. Ces créances nettes de garanties, doivent être provisionnées à hauteur de 30% maximum. créances très risquées : ces créances sont détenues sur des entreprises qui anticipent des pertes probables alors un recouvrement intégral incertain et un retard de remboursement des intérêts ou du principal échus compris entre 6 mois et 1 an. [...]
[...] Difficulté d'obtenir des informations sur l'entreprise faisant l'objet de l'étude, Absence d'expérience dans l'élaboration de méthodes de notations internes au sein des banques Algériennes, Manque de bibliographie facilitant la construction d'un tel système de notation interne NOTATION INTERNE 3 NOTATION INTERNE Introduction : Étant une des conséquences prépondérantes d'une activité bancaire intimement liée au risque, le risque de crédit a toujours été une des préoccupations principales à la fois, des autorités des banques et des investisseurs. Cependant, le risque du marché et le risque opérationnel nouvellement abordé dans les réformes de bale II ne sont pas à négliger. Afin de limiter ce risque, une série de ratios a été instaurée par le régulateur international de l'activité bancaire. Ces ratios étaient pour longtemps les seuls outils de pilotage des banques. Ce premier chapitre est réservé à une présentation de ce risque et des mesures prudentielles prises par le régulateur international et national pour le réduire. [...]
[...] Cette élimination des non-valeurs vient alléger la surface nette comptable du montant des non-valeurs retranchées. Les non-valeurs à expurger concernent : o Les frais préliminaires (frais d'établissements, frais de recherche et développement, frais d'augmentation de capital ) ; o Les avances d'exploitation portant sur des frais pratiquement irrécouvrables par l'entreprise (comme c'est le cas pour les avances au personnel) o Les écarts de conversion-actif ; Hubert DE LA BRUSLERIE, analyse financière et risque de crédit Edition DUNOD, Paris 1999, page 88. [...]
[...] La valeur ajoutée est un solde plutôt économique que financier qui représente la richesse crée destinée aux parties prenantes intérieurs ou extérieur à l'entreprise. Valeur ajoutée. = Marge commerciale + Production de l'exercice consommation de matières premières autres achats et charges externes 22 Laurence LE GALLO, comment la banque vous juge n 236, juillet-aout 2005, page 7. Hubert DE LA BRUSLERIE, analyse financière et risque de crédit Edition DUNOD, paris 1999, page NOTATION INTERNE Le ratio de productivité : Ce ratio exprime le rapport entre la richesse dégagée et le facteur de production utilisé pour cet effet. [...]
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