Comptabilité, système de garanties, Maroc, système bancaire marocain, crédit, ligne de crédit
Le processus d'ouverture progressive de l'économie se traduit pour les entreprises industrielles par une modification et un élargissement de leur environnement concurrentiel, ce qui nécessite des efforts d'adaptation pour le maintien de leurs avantages compétitifs et leur positionnement sur des marchés nouveaux.
[...] Certaines agences de notation à l'échelle internationale définissent des situations hautement improbables pour évaluer les risques d'une entreprise. Un autre exemple de risque difficilement mesurable est le risque systématique, c'est à dire le risque du système financier dans sa globalité, avec les possibilités d'amplification de propagation de risques locales dans l'ensemble du système. Ce risque reçoit une attention particulière de la part des autorités du tutelle des différents pays, mais sa mesure n'a pas de sens au niveau d'un simple établissement. Les entreprises, dans les pays développés, font aussi l'objet de notes (ratings) permettant de les classer. [...]
[...] Cette convergence donne une certaine fiabilité à ces modèles descriptifs de la situation financière des entreprises étudiées. Cependant, cette méthode doit être utilisée avec prudence puisqu'elle intègre uniquement la dimension financière appréhendée à travers les ratios. Or, d'autres éléments parfois imprévisibles peuvent affecter la vie des entreprises. D'autre part, la plupart des modèles ont un pouvoir discriminant descriptif à posteriori permettant de reclasser d'une manière correcte les entreprises défaillantes et les entreprises saines dans leur groupe d'origine. D'autre part, la notion fondamentale de défaillance n'a pas la même signification pour les différents modèles : (Pour Y.Collongues, le modèle a retenu la notion de faillite déclarée ou non ; (J.Conan et M.Holder ont retenu les entreprises en difficulté dont les dossiers ont atterri sur le bureau d'organismes publics spécialisés. [...]
[...] Cette règle s'applique principalement aux paramètres de marché mais sa portée est plus générale. Exemple : Section 3 : Risk Management : Il s'agit d'une nouvelle discipline développée au sein des banques et des organismes financiers américains ayant crée la fonction de Risk Manager qui se charge de suivre et d'évaluer tous les risques auxquels sa banque doit faire face. Concernant la gestion du risque de crédit, le Risk Management nécessite un système d'information pour ce qui a trait au : ( Suivi des encours ; ( Suivi des autorisations ; ( Consolidation par contrepartie ; ( Calcul du risque ; ( La consolidation par secteur d'activité de l'organisme financier. [...]
[...] Les risques pays sont caractérisés par des notes jouant le rôle de mesure relative et non pas absolue du risque. De telles classifications constituent une quantification partielle du risque. Les techniques de gestion des risques s'adressent, principalement, aux seuls aléas mesurables. Elles sont de moindre utilité pour les risques non quantifiés, les aléas majeurs, ponctuels, imprévisibles et exceptionnels ne peuvent s'évaluer qu'en jugeant de leur plausibilité et par l'utilisation de scénarios reposant sur des jugements et non pas sur des mesures. [...]
[...] Sa pertinence dépend, en grande partie, de l'existence de services d'audit interne, accompagnant en permanence la marche de l'entreprise, qui peuvent jouer un rôle de conseil et d'orientation non négligeable. Néanmoins, en citant le cas du Maroc, rares sont les entreprises qui disposent de ce genre de services et en cas de recours au financement externe, ce sont les organismes bancaires qui leur imposent la certification de leurs états financiers avant tout déblocage de crédits. Section 5 : Les principales méthodes quantitatives de gestion du risque de crédit : La méthode du RAROC/RORAC : Il s'agit des deux variantes de base des ratios de rentabilité/risque. [...]
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