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Aujourd'hui, tout ce qui s'achète, tout ce qui se vend, peut être contrefait ou piraté. La contrefaçon est le fait de reproduire ou d'imiter quelque chose sans en avoir le droit. La notion de contrefaçon a souvent une connotation péjorative, sous-entendant une chose de mauvaise qualité. Le but du contrefacteur est de créer la confusion entre le produit original et le produit contrefaisant afin de s'approprier le bénéfice de la notoriété d'autrui ou le fruit des investissements du véritable titulaire d'un droit de propriété intellectuelle.
Notre présent rapport donne un aperçu complet de la menace que fait peser la contrefaçon sur l'industrie dans le monde entier. Le problème ne se limite pas à quelques produits et à certains pays ; au contraire, comme le montre le rapport, il s'agit d'un phénomène généralisé qui affecte de nombreux secteurs dans le milieu industriel et qui peut avoir des effets dévastateurs sur la société. Le rapport présente les initiatives prises actuellement pour lutter contre la contrefaçon et examine également les moyens de se protéger contre ce phénomène.
Afin de rendre un dossier construit et complet, nous avons pris contact avec des professionnels lors du Salon de l'Emballage 2006 qui nous ont donné des informations et des brochures concernant les nouvelles méthodes employées pour faire face à la contrefaçon. Nous avons également trouvé des nombreux renseignements grâce à internet en ce qui concerne l'évolution de la contrefaçon dans le monde.
[...] Ils servent à signaler au lecteur le début et la fin du code. Grâce à eux, le code à barres peut être lu de gauche à droite ou de droite à gauche. L'agencement des barres et des espaces contenu entre les caractères de début et de fin compose l'information encodée. La lecture se fait dans son entier ou ne se fait pas, on ne peut pas avoir d'information erronée due à une lecture partielle. Au-dessous du code se trouve une représentation lisible de l'information. [...]
[...] En effet, dans un certain nombre de domaines particulièrement sensibles, comme les médicaments, les pièces détachées d'automobile ou les jouets, les risques encourus par les consommateurs sont loin d'être négligeables vu le nombre de produits contrefaits en circulation sur le marché mondial. De multiples cas de maladies ou de décès directement liés à la consommation ou à l'utilisation de produits contrefaits ont été répertoriés. Le caractère dangereux de ces produits s'explique en particulier par le fait que ceux-ci ne sont pas fabriqués conformément aux réglementations nationales ou communautaires en vigueur. [...]
[...] Des lignes de barres-codes sont imprimées par les mêmes techniques que les circuits électroniques. L'"encre" est à base de nanoparticules de permalloy, alliage de fer et de nickel. À chaque impression, les atomes de l'alliage se disposent de manière différente; il y a des différences dans les impuretés présentes, les atomes manquants, etc. La structure des lignes est donc unique et le champ magnétique résultant également. Ce champ peut être mesuré, enregistré et relié à des données dans une base. [...]
[...] Introduction Aujourd'hui, tout ce qui s'achète, tout ce qui se vend, peut être contrefait ou piraté. La contrefaçon est le fait de reproduire ou d'imiter quelque chose sans en avoir le droit. La notion de contrefaçon a souvent une connotation péjorative, sous-entendant une chose de mauvaise qualité. Le but du contrefacteur est de créer la confusion entre le produit original et le produit contrefaisant afin de s'approprier le bénéfice de la notoriété d'autrui ou le fruit des investissements du véritable titulaire d'un droit de propriété intellectuelle. [...]
[...] Les moyens de lutter La coopération La coopération est un moyen efficace de lutter contre la contrefaçon. Elle peut être bilatérale ou multilatérale. Coopération bilatérale C'est dans cette tendance que le comité franco-italien de lutte contre la contrefaçon de marque, créé en 2002, s'inscrit et commence à porter ses fruits notamment grâce au lancement d'une campagne destinée aux consommateurs italiens en début d'année 2006, et qu'un comité franco-russe a été formé dans le cadre du Conseil économique, financier, industriel et commercial (Cefic). [...]
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