Publicité mensongère, dérives, étude de cas, formes de publicité, stratégies publicitaires, produit miracle, tromper les consommateurs, risques pour le consommateur, risques pour l'entreprise, emballage, fonction utilitaire, fonction de communication
La publicité pouvant être assimilée à un moyen d'information, le principe de la liberté d'expression et de création la concerne directement. Son application est néanmoins restreinte par un certain nombre de règlements spécifiques, notamment pour contrer mensonges et tromperies.
En effet, à cause des exigences du marketing, du fait que les entreprises veulent à tout prix vendre leurs produits ou leurs services, la publicité ne dira pas toujours la vérité.
De ce fait, le problème qui se pose, est de savoir comment émettre un message qui attire suffisamment l'attention du consommateur sans toutefois devenir mensonger, et jusqu'à quel point une publicité peut exagérer les avantages du produit sans pour autant être contraire à la vérité. Autrement dit, à partir de quel moment une publicité est-elle considérée comme mensongère ?
La réponse à cette question se fera en trois axes majeurs : en premier lieu il s'agira de savoir ce qu'est la publicité, puis, dans un second temps, il faudra se demander à partir de quand on peut parler de publicité mensongère, et enfin, dans une dernière partie il conviendra d'étudier l'exemple d'un produit précis.
[...] Mais il est aujourd'hui plus difficile de mettre des enfants en scène, en effet en 2001 la Suède était à la présidence de l'Europe et celle- ci a mené une politique très restrictive en ce qui concerne la publicité, surtout celle visant les jeunes enfants. Pour cibler un public, les publicitaires utilisent différentes techniques très sophistiquées, notamment le neuromarketing. En effet les publicitaires mobilisent de plus en plus les neurobiologistes, ces experts du cerveau les aident à tirer les ficelles des décisions d'achat et à trouver des moyens d'inciter encore davantage le spectateur à consommer. [...]
[...] Voici quelques exemples de publicités qui peuvent induire en erreur les consommateurs. g de “vache qui c'est autant de calcium qu'un grand bol de lait de 200 100 c'est l'équivalent de cinq portions de vache qui rit! Il faut savoir que les fromages fondus sont parmi les plus pauvres en calcium. De plus, le taux de matière grasse est de 20 à 30% dans ce type de produit, contre dans le lait écrémé et dans le lait entier. Plus facile d'avaler un bol de lait ! [...]
[...] - La publicité présente partout Nous allons commencer cette sous-partie par quelques chiffres, pour montrer l'importance de la publicité dans notre société actuelle, pour diffuser un spot sur TF1 à 8h35 (ce n'est donc pas une heure de grande écoute) il faut payer 2700 euros hors taxes et 4300 euros sur France 2 à la même heure, pour un spot de 30 secondes en prime time au milieu d'un match de coupe du monde il faut verser ( toujours hors taxes) 81400 euros. En 2003 les dépenses en publicité ont atteint en France 30 milliards d'euros, soit du produit intérieur brut. Une étude américaine, menée par l'Association mondiale des journaux, révèle que les quotidiens sont financés à 80% par la publicité. [...]
[...] Afin de toucher le public on va se rapporter aux classes sociales ou bien aux catégories d'âges. Pour reprendre les termes de Jacques Séguéla D'aucuns s'imaginent que la publicité est le miroir des sociétés qu'elle vampe. Erreur, elle est, avant tout, le détecteur des changements des hommes Cela signifie que les sociétés ne sont pas le reflet d'une publicité qui les séduit, mais l'inverse : la publicité représente les sociétés telles qu'elles sont dans le moment. Mais la publicité est un miroir déformant car elle agit sur la société en même temps en même temps qu'elle la reflète, c'est aussi un miroir parcellaire et décalé parce qu'elle reflète respectivement, une mince partie de la société et une vision souvent idéaliste, hyperbolique de la réalité. [...]
[...] Mais sans en arriver à la crise alimentaire il y a dans la vie de tous les jours des situations qui peuvent se révéler très dangereuses pour le consommateur. Par exemple, si l'on ne mentionne pas certains composants alimentaires pour les diabétiques ou éventuellement pour les personnes atteintes d‘allergies. Ces problèmes peuvent intervenir ailleurs que dans le secteur alimentaire : des jouets défectueux, des appareils ménagers ou d'outillages . De plus dans ces cas- là, il peut y avoir un risque d'accident. Des contrôles sont exercés à tous les niveaux (production, importation et distribution) et dans tous les secteurs d'activités. [...]
Référence bibliographique
Source fiable, format APALecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture