Prendre la parole en public, dialectique classique, plan Laswell, entraînement mental, SOSRA, ISPADA, diagnostic médical, attitude, gestuelle, tics de langages, silence, humour, para verbal, auditoire, communication professionnelle
Une mauvaise communication peut avoir des conséquences très graves et aboutir à un véritable fiasco : diffusion de rumeurs, propagations, amplifications des craintes, déformation des ordres et des consignes, images floues des volontés, des objectifs, des projets, conflits, perte de temps, bruits de couloirs…
De nos jours, il est vraiment devenu nécessaire de bien communiquer dans tous les domaines, aussi bien dans notre vie privée que dans nos milieux scolaires ou professionnels. Bien communiquer n'est pas inné, et nos capacités naturelles ne sont en effet pas suffisantes. Ainsi, c'est toute sa vie qu'il faudra se remettre en question, apprendre et surtout intégrer les conseils que l'on nous donne pour tendre vers une communication efficace.
Voici donc différents conseils - pas uniquement applicables dans le monde professionnel - pour permettre au locuteur de mieux communiquer face à son public.
[...] Chacun parle 2 minutes. Qui commence ? On fait un tour de table Gérer son temps Il faut absolument savoir gérer le temps qui nous est donné, afin que l'assistance ne reste pas sur sa faim ou ne soit pas au contraire saoulée et n'attende pas avec impatience la fin de notre intervention. Conseils : Regarder discrètement sa montre, ou une horloge Matériel Toujours faire très attention lorsque l'on décide d'illustrer avec du matériel informatique ou non : Il faut ANTICIPER. [...]
[...] De plus, le confort de l'auditoire est primordial : Ecouter un exposé confortablement, rend l'orateur à priori sympathique, le sujet à priori intéressant L'intelligibilité du discours Pour être intelligible, il faut considérer les personnes à qui l'on s'adresse et mettre en place une permanente interaction que l'on peut anticiper en répondant à un certain nombre de questions : 1. Où veux-je en venir ? 1. Qu'est-ce que je dois communiquer ? 2. Quel doit être le résultat de mon intervention ? Acquisition de connaissance / renforcement d'une opinion ou l'inverse / Recherche d'un accord / Envie de discuter / Action 3. Comment dois-je m'y prendre ? [...]
[...] 3. Comment dois-je m'y prendre ? 4. Dans quel état vais-je laisser mon auditoire au terme de l'exposé? 3.2 Comment aborder mon auditoire ? 1. Où en sont-ils ? 2. Que vais-je faire ? 3.3 Comment vais-je conduire mon auditoire ? 1. Si l'auditoire ne devait retenir qu'une idée ? 2. Comment faire comprendre et faire admettre l'essentiel ? [...]
[...] Nous devons adapter le volume selon la distance qui nous sépare de notre interlocuteur, pour lui permettre de nous écouter sans effort. Le débit : Il s'agit de la rapidité avec laquelle nous parlons. Notre interlocuteur doit pouvoir suivre notre discours qui doit être ralenti suivant sa capacité de compréhension. L'articulation : Il s'agit de la clarté avec laquelle nous parlons. Nous devons prononcer correctement toutes les syllabes en ouvrant suffisamment la bouche. L'inflexion : Correspond à la musique du discours. [...]
[...] Il marque à la fois l'attention pour l'autre et la force de l'intention du message. Il permet aussi de saisir le degré de réceptivité de notre interlocuteur : c'est par conséquent sans doute le meilleur moyen de prendre et de garder le contact avec le public. A éviter : Ne pas garder trop de notes sur soi pour ne pas lire ou s'y référer trop souvent (effets du TRAC), ne pas regarder la table, ou certaines personnes seulement Conseils : Regarder l'ensemble de son public avec insistance. [...]
Référence bibliographique
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