Projet de création, e-boutique, environnement, étude de marché, régime fiscal, e-commerce, internet, site marchand
La vente par Internet se définit comme un système de vente à distance, dans lequel l'offre de produits ou de services est faite essentiellement par l'intermédiaire d'Internet. Le paiement et la livraison peuvent s'effectuer par des méthodes traditionnelles.
- Quelles sont les conditions d'accès à la profession ?
Il n'existe pas de conditions particulières pour se lancer dans l'activité de vente par Internet, qui est cependant très encadrée pour garantir la sécurité du consommateur, notamment au niveau des modalités d'informations et d'exécution du contrat.
- Quelles sont les évolutions majeures dans ce métier ?
D'après la FEVAD, Fédération des Entreprises de Vente à Distance, le chiffre d'affaires du e-commerce vers les particuliers s'élève à 12 milliards d'euros en 2006, en progression de + 37,9 % par rapport à 2005.
La part des ventes en ligne de produits, représentant 52 % du chiffre d'affaires e-commerce, a baissé au profit des ventes de services.
Le marché de la vente par Internet est dynamisé par l'augmentation de l'équipement des ménages en microordinateurs (50 % en 2005) et de leur connexion à Internet haut débit (75 % des personnes équipées d'un micro-ordinateur).
- Quels sont les principaux éléments de leur performance financière ?
Le montant moyen d'une commande était de 90 euros en 2006, produits et services confondus.
[...] : www.fing.org MISSION POUR L'ECONOMIE NUMERIQUE Ministère de l'Economie, des Finances et de l'Emploi Immeuble Le Bervil 12, rue Villiot Paris cedex 12 Tél. [...]
[...] La catégorie d'entreprise qui correspond le mieux à ce stéréotype est la catégorie des pure players. Une entreprise qualifiée de pure player est une entreprise exerçant son activité uniquement sur Internet. Les entreprises présentes uniquement sur la Toile et qui réalisent des ventes pour le compte de tiers sont également considérées comme pure players. Ces entreprises ne détiennent donc pas de réseau de distribution physique. Amazon ou eBay sont deux exemples connus de pure players. Bien sûr, ces deux sociétés ont connu un tel succès qu'elles ont été amenées à évoluer et à modifier leur forme sociale. [...]
[...] La part des ventes en ligne de produits, représentant du chiffre d'affaires e-commerce, a baissé au profit des ventes de services. Le marché de la vente par Internet est dynamisé par l'augmentation de l'équipement des ménages en microordinateurs ( en 2005) et de leur connexion à Internet haut débit ( des personnes équipées d'un micro- ordinateur). Quels sont les principaux éléments de leur performance financière ? Le montant moyen d'une commande était de 90 euros en 2006, produits et services confondus. [...]
[...] Visibilité du site La visibilité du site de vente en ligne dépend de facteurs qu'il importe de mesurer et gérer : référencement dans les moteurs de recherche utilisés par les clients cibles ; affiliation auprès de sites porteurs ou de galeries marchandes. B. Risques liés à l'activité Risques immatériels et responsabilité civile professionnelle On distingue deux types de préjudices : les préjudices directs subis par l'entreprise (matériel, progiciel ) ; les préjudices indirects causés à des tiers et devant faire l'objet de réparations. En cas de préjudices, feront l'objet d'une recherche : les parties assurées ; l'objet du contrat, c'est-à-dire ce qui est assuré ; la durée du contrat (date d'effet et date de fin) ; les clauses d'exclusion. [...]
[...] L 121-20) ; En revanche est valable la clause empêchant la rétractation pour les sous- vêtements, cette clause étant justifiée par des raisons d'hygiène. - la clause qui prévoit, en cas de retour, l'envoi d'un chèque du montant des produits retournés dans les quinze jours suivant l'acceptation du retour, donc à une date indéterminée, alors que le délai maximal d'un mois pour le remboursement du produit retourné prévu par l'article L 121-20-1 du Code de la consommation est impératif ; - la clause stipulant qu'en cas de vice caché une expertise du produit doit être demandée par le client auprès d'un expert mandaté pour certifier le vice caché, alors que la preuve de l'existence d'un vice caché peut être rapportée par tout moyen. [...]
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