Plus des trois quarts du commerce mondial utilisent le transport maritime ou fluvial (pour exemple, plus de 6 milliards de tonnes on emprunté la mer en 2005). Le transport maritime est le mode de transport le plus important pour le transport de marchandises. Il couvre l'essentiel des matières premières (pétrole et produits pétroliers, charbon, minerai de fer, céréales, bauxite, alumine, phosphates, principalement). À côté de ce transport en vrac, il couvre également le transport de produits préalablement conditionnés se présentant sous forme de cartons, caisses, palettes, fûts, ce que l'on appelle de la marchandise diverse. Le secteur maritime est donc, par nature, international et dynamique. L'internationalisation accrue de l'industrie du transport maritime ces dernières années s'est traduite par des changements concernant la propriété et la gestion des bateaux, l'établissement de nouveaux registres, l'évolution technologique et la formation d'équipages constitués de marins issus de diverses cultures et parlant des langues différentes.
Le transport maritime est composé de différents postes qui influencent son coût. Ainsi le prix du pétrole va modifier son coût global ainsi que la logistique et les infrastructures qui vont l'accueillir. De même les droits et les taxes vont influencer le prix et le trajet qu'un navire empruntera. Mais le principal poste est le pétrole. En effet si celui-ci augmente, voir disparaît, l'économie mondiale qui est très liée au transport maritime risque d'en subir des conséquences désastreuses avant de trouver des solutions qui pourront relancer les échanges mondiaux.
Nous commencerons ce rapport par une présentation du secteur maritime comprenant aussi ses avantages et ses inconvénients. En seconde partie nous évaluerons les différents coûts qui peuvent influencer le transport, qu'ils soient directs et indirects. Enfin dans une troisième et dernière partie nous ferons un bilan de la situation actuelle avant de pouvoir évoquer les éventuelles conséquences d'une augmentation du prix du pétrole, voire de sa disparition.
[...] Il s'agit d'un bateau de course, il n'est donc pas adapté au transport commercial. C'est une vitrine pour les technologies respectueuses de l'environnement tels les moteurs à faible taux d'émission, le design de coque efficace et l'équipement électronique fonctionnant à l'énergie solaire. C'est un bateau de petite taille. Mais il est en train d'être adapté . En effet, sur la base du Earthrace, le designer Craig Loomes a décidé d'étudier la construction d'un superyacht de 148m. 70km/h). Les plans indiquent une suite sur 5 niveaux, des suites VIP aux dimensions gigantesques et six loft-appartements (soit 5000 m2 Ce bateau devrait pouvoir atteindre les 50 nœuds. [...]
[...] En effet il faut seulement 10 à 20 heures pour décharger un chargement de unités EVP (Equivalent Vingt Pieds, soit un container) contre 70 à 100 heures pour une quantité identique de vrac. Cela veut donc dire que ce temps gagné pourra être utilisé en mer et donc augmenter la rotation du navire (source du site internet: Le transport intermodal, partie 3 : la logistique et le container). Il faut également draguer les fonds marins pour pouvoir augmenter le tirant d'eau. [...]
[...] Cette technique est désormais accessible à la navigation. Une grande partie des transports de marchandises et des bateaux de plaisance est ainsi à même de fonctionner avec cette énergie renouvelable. Un autre projet est aussi à l'étude : un tour du monde avec un bateau hybride solaire-hydrogène, présenté cette année en Suisse. Ces inventions sont prometteuses et les expériences faites lors de la traversée de l'atlantique serviront également à des projets futurs. Bateau alimenté au biodiesel[28] : Une autre alternative est proposée : le bateau alimenté par du biodiesel, c'est Earthrace. [...]
[...] Bateaux propulsé par des cerf-volants géants[29] : Vont-ils réintroduire la voile dans la marine marchande ? La société allemande Skysails a conçu un cerf-volant géant auto piloté qui tire le navire et qui a pour effet de réduire la consommation d'énergie tout en garantissant l'arrivée à bon port. Il permettrait d'économiser plus de de carburant. Le principe de SkySails n'est pas de remplacer les moteurs à explosion des bateaux de commerce, mais seulement de les compléter. Cette propulsion hybride s'adaptera sur la flotte existante. [...]
[...] Nombreux sont les navires construits précisément selon ces limites afin de transporter un maximum de cargaison tout en gardant cette liaison possible pour le futur navire. Cependant, l'accroissement de navires de taille Panamax est un problème pour le canal : ils demandent beaucoup plus de précision dans les écluses, ce qui allonge le temps d'éclusage et requiert un transit en plein jour. La taille Suezmax Les navires de taille Suezmax sont ceux capables de passer par le canal de Suez ; ce terme est plus couramment employé pour désigner les navires pouvant passer par ce canal mais trop gros pour passer par d'autres canaux importants comme le canal de Panamá. [...]
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