Thalès, Thomson-CSF, Hotchkiss, transport de l'électricité, Compagnie générale de télégraphie, électronique professionnelle, Alcatel, aérospatial, écoconception, marketing
Les origines de Thalès remontent à la création de la Compagnie Française Thomson-Houston en 1893 dans les domaines de la production et du transport de l'électricité. Après une fusion avec Hotchkiss en 1966, une entreprise d'armement, la compagnie française devient la compagnie Thomson Brandt. La Compagnie générale de télégraphie sans fil se rallie à l'entreprise en 1968. Thomson-Brandt se transforme alors en Thomson-CSF et définit son coeur de métier dans l'électronique professionnelle et la défense en 1982.
Par la suite en 1998, le gouvernement français organise un accord de coopération entre les entreprises Alcatel et Alcatel Space (soit la défense militaire et l'activité spatiale) et Dassault (les activités électroniques professionnelles). Ces entreprises appartiennent désormais au groupe Thomson CSF.
[...] Vient ensuite le radar Magnetron en 1936, l'intensificateur d'images à rayon X en 1948, le Vapotron en 1950, le radar Parlmier en 1966, le Rafale en 2001, Le projet Ciudad Segura à Mexico en 2004, le système de signalisation SelTrac CBTC en 2010, l'avion plus électrique en 2014 et enfin en 2016, le programme EXOMars qui est un programme d'exploration spatiale visant à découvrir des traces de vie sur Mars. Pour ses visions futures, Thalès prévoit Le Stratobus en 2020. C'est une plate-forme hybride, mi-drone, mi-satellite. Il offre une longue durée de vie et une autonomie complète à partir d'une position fixe. [...]
[...] Capable de planer à une altitude de 20km dans la stratosphère, il permettra de mener un large éventail de missions, notamment dans le domaine de l'observation, de la sécurité, des télécommunications, de la radiodiffusion et de la navigation. VIII. Pourquoi travailler dans cette entreprise ? [...]
[...] L'avionique et l'aérospatial : Thalès a pour rôle la gestion du trafic aérien. L'avionique est basée sur l'automation (surveillance et le contrôle des opérations) et sur la navigation, la sécurité logistique du signal des balises et du guidage lors du vol ou de l'atterrissage. L'avionique permet donc d'assurer la sûreté et l'efficacité du trafic aérien grâce à des équipements électroniques, la navigation, le contrôle En ce qui concerne l'aérospatial, Thalès dirige la conception, le développement et le déploiement des infrastructures orbitales, c'est-à-dire les télécommunications avec les satellites, l'observation de la Terre avec optique et radar, ou quand bien même la navigation de la science : l'innovation des radars, satellites mais aussi l'observation des océans, du changement climatique pour faire avancer la recherche scientifique. [...]
[...] Implantation mondiale Thalès possède une présence dans 56 pays, notamment situés en Europe. Thalès se divise à travers le monde, c'est-à-dire que chaque pays possède son propre Thalès et son propre domaine d'activités. Des exemples : Portugal : THALES SECURITY SOLUTION. Domaine de sécurité. Pays-Bas : THALES NAVAL NEDERLAND. Domaine naval. Allemagne : THALES TRANSPORTATION SYSTEMS GMBH. Domaine de système de transportations. [...]
[...] Thomson-Brandt se transforme alors en Thomson-CSF et définit son cœur de métier dans l'électronique professionnelle et la défense en 1982. Par la suite en 1998, le gouvernement français organise un accord de coopération entre les entreprises Alcatel et Alcatel Space (soit la défense militaire et l'activité spatiale) et Dassault (les activités électroniques professionnelles). Ces entreprises appartiennent désormais au groupe Thomson CSF. En juillet 2000, l'entreprise opte pour une nouvelle organisation en trois pôles autour de la défense, l'aéronautique et le transport urbain. C'est donc en décembre 2000 que Thomson-CSF devient Thalès. [...]
Référence bibliographique
Source fiable, format APALecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture