Bien-être, productivité, union des employés, force de l'entreprise, force de vente, conditions de travail, motivations d'un salarié, travail en équipe, culture d'entreprise, hiérarchie verticale, compétitivité, individualisme, théories de l'organisation, Crozier et Friedberg, dynamique de groupe, Maurice Thévenet, modèle de Schein, organisation scientifique du travail, Taylor, Marx
En entreprise, précisément en B to C, la réalisation du chiffre d'affaires, c'est-à-dire le total des recettes des ventes de produits ou services, résulte en grande partie de la force de vente qui est en contact direct avec le client. Elle est de plus le facteur travail indispensable (avec le capital) du bon fonctionnement d'une entreprise. Ici, on entend par "force de vente", l'équipe de vente sur le terrain, en magasin par exemple. En nous appuyant sur le cas donné, nous observons quelques problèmes posés par cette équipe de vente telle qu'un fort turn-over (forte rotation/changement d'emploi), fortement dû au souhait des employés de quitter l'entreprise. De plus, la montée de la concurrence demande une réactivité et une compétitivité accrue de cette force de vente. Or, pour que celle-ci puisse agir rapidement et efficacement, il lui faut des motivations telles qu'un bon salaire, de bonnes conditions de travail, des intérêts qui incitent les vendeurs à travailler bien à la fois pour eux et pour l'entreprise.
Les problèmes observés dans ce cas, comme dans la vie professionnelle de tous les jours, peuvent être causés par différents facteurs énoncés ci-dessus, qui sont les motivations. Par exemple, il se peut que le salaire ne soit pas assez gratifiant, que l'entente au sein de l'équipe soit mauvaise, que le manager soit exécrable… Bref, de nombreux problèmes peuvent expliquer le désir de quitter son emploi. Nous avons choisi de nous focaliser sur le problème du travail en équipe qui pour nous est un des facteurs principaux du bien-être d'un employé dans son travail et de fait dans son efficacité. Est-ce que l'employé est plus performant quand il travaille en groupe que quand il travaille tout seul ? En quoi la bonne entente au sein de l'équipe est un facteur essentiel au bien-être de chaque employé, et au bon fonctionnement du travail ?
[...] Chacun contribue alors à améliorer la compétitivité, la productivité et la réussite de l'entreprise. L'ensemble de ces individus ont un objectif commun et se doivent de tout faire pour qu'il se réalise bien, une bonne culture d'entreprise met en bonne condition la réalisation de ce projet. Or, nous savons que dans la vie professionnelle de tous les jours, rien n'est aussi simple. De nombreux conflits existent au sein de l'entreprise, les employés sont tous issus de différentes cultures souvent aux antipodes les unes des autres. [...]
[...] Finalement, nous en sommes arrivées à la problématique suivante : l'union fait-elle la force ? Et nous en avons déduit les hypothèses suivantes : Les hypothèses A. Hypothèse 1 : Une culture d'entreprise basée sur le groupe améliore le résultat. C'est-à-dire que si un groupe humain a les mêmes objectifs, la même façon de penser, la même façon d'agir, les mêmes valeurs, une symbiose se crée. Les individus ont alors envie de travailler, de réussir ensemble, non seulement pour eux-mêmes, mais aussi et surtout pour le groupe. [...]
[...] Bien-être et productivité : l'union des employés fait-elle la force de l'entreprise ? Introduction En entreprise, précisément en B to la réalisation du chiffre d'affaires c'est-à-dire le total des recettes des ventes de produits ou services résulte en grande partie de la force de vente qui est en contact direct avec le client. Elle est de plus le facteur travail indispensable (avec le capital) du bon fonctionnement d'une entreprise. Ici, on entend par « force de vente », l'équipe de vente sur le terrain, en magasin par exemple. [...]
[...] Diviser pour mieux régner : Quelle est l'origine de cette expression ? Que signifie-t-elle aujourd'hui ? Et à l'époque ? Quels sont les auteurs qui ont repris cette célèbre expression ? Que signifie-t-elle dans le monde de l'entreprise ? Que nous manque-t-il ? A. Culture d'entreprise : Des connaissances théoriques et les auteurs, plus que des données empiriques que nous connaissons déjà en grande partie. B. [...]
[...] Il est certain qu'elle améliore la productivité de l'entreprise, mais à quel prix ? • Quant à Pareto et sa théorie de l'élite, qui divise la société en deux classes d'élite : une élite dirigeante et une élite non dirigeante[11]. Elle comprend les individus qui assument des responsabilités d'ordre politique (élite gouvernementale) et la masse (élite non gouvernementale). Lorsque la circulation des élites est empêchée, l'équilibre social est déstabilisé et l'ordre social se détériore. Il est donc essentiel que dans une société, la formation des élites ne soit pas figée et qu'elle se base sur la capacité de chaque individu. [...]
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