Circulation de l'information, management des connaissances, étude de cas, John Deere France SAS, Information, système d'information, connaissance, communication, NTIC, Management de la Connaissance, Knowledge Management, internet, extranet, intranet, concepts de Ba et de Chi, Search Engine Optimisation, Search Engine Marketing, moteur de recherche, intelligence collective
Ce mémoire présente les différents outils développés grâce aux NTIC. Seront notamment décrits les systèmes informatisés d'informations ainsi que les technologies liées à Internet car ils ont permis de favoriser le management de l'information au sein des entreprises comme John Deere. Ensuite, nous verrons que ces outils n'ont pas su s'adapter à l'augmentation des flux d'informations au sein des structures. De nouveaux problèmes se sont révélés comme la dispersion et la surcharge d'informations. Dans une deuxième partie, il étudiera les nouvelles notions apparues avec le développement des nouvelles problématiques autour du management de la connaissance.
Enfin, à partir de ces nouvelles théories, nous essaierons les nouveaux outils proposés aux entreprises pour solutionner les problèmes de dispersion et de surcharge de l'information, problèmes néfastes au développement des nouvelles connaissances.
Bien évidemment, ce mémoire, même s'il apporte des critiques sur le fonctionnement du système d'information de John Deere, il n'a pas la prétention d'apporter ni de solution miracle ni de recommandations formelles. Il souhaite juste être une base de réflexion sur l'efficacité du système actuel pour les managers de John Deere.
[...] What differenciates ba from ordinary human interactions is the concept of knowledge creation. Ba provides a platform that a transcendental perspective integrates all information needed. Ba may also be thought as the recognition of the self in all. According to the theory of existentialism, ba is a context which harbors meaning. Thus, we consider ba to be shared space that serves as a foundation for knowledge creation (Nonaka : The Concept of Ba : Building a Foundation for Knowledge Creation, 1998). [...]
[...] L'essor de l'informatique et des télécommunications est à l'origine de telles avancées. Aujourd'hui, l'information est disponible partout et tout le temps. De nombreux outils se sont développés pour faciliter la transmission et le stockage de l'information. Mais tout d'abord, il est important de bien comprendre le fonctionnement d'un système d'information grâce à ses définitions, ses outils, le réseau Internet et ses dérivés ainsi que des nouveaux progiciels de gestion intégrés. Ensuite nous verrons que ces outils n'ont pas toujours favorisé le management de l'information Qu'est ce qu'un système d'information ? [...]
[...] Il est regrettable qu'aucune transmission systématisée des informations blanches et grises [4]ne soit faite en interne. En effet, il est important de connaître un minimum d'information sur la concurrence pour tenir des discours cohérent face au réseau de distribution toujours très informé. Or, ces informations sont acquises individuellement et arbitrairement. La diffusion d'information sur Internet Comme on a pu le voir, Internet est un formidable vecteur d'information pour l'entreprise grâce à l'interconnexion de millions d'ordinateurs. L'Internet permet de communiquer sur les 4 P du marketing mix : communication sur les produits, sur le prix, sur les lieux de ventes et il est à lui seul un moyen de promotion des produits et des services associés. [...]
[...] Un tel travail leur permettra d'optimiser la diffusion des informations de leurs sites Internet en acheminant directement les individus utilisateurs d'Internet. La saturation de l'information n'est pas qu'un problème lié à Internet. En effet, la multiplication et la mauvaise gestion des Intranets et Extranet a pu entraîner un phénomène similaire au sein même des systèmes d'information des entreprises La saturation de l'information au sein des entreprises D'après Lesca et Lesca (1995), la surcharge d'information non pertinente entraînerait une forte gêne pouvant aller jusqu'à la paralysie de l'acteur. [...]
[...] Elle est volontaire et requiert une adhésion personnelle de l'ensemble des individus qui vont créer un espace immatériel d'énergie et de stimulation favorisant l'aménagement de vides, d'espaces de tension créatives et de relations favorables dans un climat d'attention et de respect mutuel. Le concept de Ba est donc totalement subjectif, ne relève d'aucune décision officielle et n'existe que dans un climat social serein, dont les personnes partagent un intérêt commun fort. Si l'on reprend la typologie de la création du savoir du même Nonaka, on s'aperçoit que le concept de Ba se retrouve dans les quatre phases de ce modèle. Ainsi, il fournit un contexte pour la socialisation grâce au partage d'informations personnelles et tacites (émotions, expériences, sentiments, images mentales, etc). [...]
Référence bibliographique
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