Entrepreneuriat, Jardi'kidz, facteurs stratégiques de risque, FSR, ressources tangibles, ressources intangibles, apport personnel, parties prenantes, activités de jardinage, activités de bricolage, business model, vie en collectivité
L'idée nous vient d'une expérience personnelle d'un des membres du groupe qui, étant enfant, passait des journées dans un centre de loisirs accès sur l'éveil des petits à la musique et aux arts. Ce centre de « garderie » était composé de plusieurs salles à thèmes ludique et éducatif afin de faire découvrir même aux plus petits le domaine musical et artistique. La difficulté venait de l'âge des enfants: comment adapter des activités à un enfant de 3 ans afin de lui apprendre quelque chose et qu'il en ressorte content, qu'il ait envie de continuer? Pour l'art, il s'agissait de choses toutes simples comme patauger dans la peinture ou peindre avec ses mains, taper sur un xylophone… L'idée est alors venue de partir du même principe en adaptant des activités de jardinage et de bricolage: faire pousser du cresson ou des radis (c'est facile et rapide), découvrir différentes textures de terres, du sable, de la mousse etc.
Tout d'abord, il s'agissait de choisir une idée parmi toutes celles évoquées. Nous avons procédé par vote et par élimination, en se concentrant sur la probabilité de réussite, sur les difficultés que nous allions rencontrer pour chacune. Une fois l'idée sélectionnée, nous l'avons travaillée à partir de deux méthodes: le brainstorming et le PMI, en étalant les avantages et inconvénients, les opportunités et risques.
En ce qui concerne la protection de cette idée, elle n'existe pas du fait qu'il s'agisse d'un service.
L'idée a rencontré une opportunité d'affaires en raison de son originalité et de critères génériques favorables à son développement, avec notamment l'épanouissement des enfants, la présence d'un côté instructif ainsi que l'apport de l'éveil et de la curiosité pour ces derniers, et également la possibilité pour les parents d'avoir un moment de détente.
Le cible du marché serait constitué d'enfants de 3 à 8 ans venant de Bordeaux et ses alentours. Le chiffre d'affaires potentiel s'élèverait à 20 000€ par mois, si l'on considère une moyenne de 30 enfants par jour payant chacun 23€ environ. (25€ étant le prix d'une demi journée, équivalente à 4 heures, et sachant que l'enfant, bien évidemment par l'intermédiaire de ses parents, paiera différemment selon la durée qu'il passera dans le local : 1 heure = 8€, une demi-journée (4 heures) = 25€, une journée (8 heures) = 40€). Les objectifs principaux de Jardi'kidz seraient de faire passer de bons moments aux enfants, et de se faire connaître le plus rapidement possible afin de faire du profit.
La clientèle visée serait donc les enfants de Bordeaux et ses environs dont l'âge est compris entre 3 et 8 ans, sachant qu'une division des enfants en deux groupes (3 à 5 ans et 6 à 8 ans) est prévue.
Les enfants seront approchés par l'intermédiaire d'écoles maternelles et primaires au sein de la CUB, où nous proposerons une initiation gratuite. D'après la pyramide des âges de la Direction de Santé publique, il y aurait environ 50 000 enfants dont l'âge est compris entre 3 et 8 ans dans la CUB.
Au sujet des Facteurs Clés de Succès (FCS), nous pouvons constater l'emplacement du local au centre de Bordeaux, la diversité des activités, l'ouverture durant les vacances, un prix préférentiel par rapport à nos concurrents (garderie, baby-sitting …).
Quant aux Facteurs Stratégiques de Risque (FSR), nous pouvons penser à la limite de 60 enfants, le risque de journées peu fructueuses au cours de la semaine, ainsi que le risque de débordement par l'hyperactivité des enfants.
Nous avons pris connaissance de ce secteur d'activité par l'intermédiaire d'expériences personnelles, de relations, ou encore de recherches : Fnac (copains du jardin), Jardiland, Internet, etc…).
En ce qui concerne les parties prenantes, il s'agit des parents d'un membre de nos groupes, de la banque, de fournisseurs, ainsi que des futurs clients. Ces derniers seront donc approchés par l'intermédiaire d'écoles maternelles et primaires, alors que nous choisirons nos fournisseurs à l'aide de recherches personnelles ainsi que de conseils de proches et de professionnels.
[...] De surcroît, l'ouverture du centre pendant les vacances permet de rivaliser avec les centres aérés et de continuer à exercer sans arrêt. Nos prix sont les mêmes que pour les baby-sitters alors que nous certifions des activités ludiques à thèmes et mettons les enfants dans des conditions de vie en collectivité. Cependant, nous devons prendre en compte certains risques importants, qui sont de n'avoir pas assez d'enfants (surtout pour le début) ou trop (dans quel cas nous devrons refuser des clients pour ne pas surcharger le local et pour ne pas laisser un enfant sans surveillance, c'est une question de sécurité). [...]
[...] En ce qui concerne la protection de cette idée, elle n'existe pas du fait qu'il s'agisse d'un service. L'idée a rencontré une opportunité d'affaires en raison de son originalité et de critères génériques favorables à son développement, avec notamment l'épanouissement des enfants, la présence d'un côté instructif ainsi que l'apport de l'éveil et de la curiosité pour ces derniers, et également la possibilité pour les parents d'avoir un moment de détente. La cible du marché serait constituée d'enfants de 3 à 8 ans venant de Bordeaux et ses alentours. [...]
[...] En ce qui concerne les parties prenantes, il s'agit des parents d'un membre de nos groupes, de la banque, de fournisseurs, ainsi que des futurs clients. Ces derniers seront donc approchés par l'intermédiaire d'écoles maternelles et primaires, alors que nous choisirons nos fournisseurs à l'aide de recherches personnelles ainsi que de conseils de proches et de professionnels. Les ressources Nous pouvons distinguer deux sortes de ressources nécessaires à la réalisation du projet : les ressources tangibles et les ressources intangibles. [...]
[...] Ce sera un des arguments que nous avancerons, en plus de la proposition de leur verser un intérêt sur la somme empruntée, pour que nos parents deviennent des parties prenantes. Notre deuxième possesseur de ressource est la Banque. Il nous faut lui emprunter Pour ce qui est de la première approche, un rendez- vous en petit comité, deux voir trois personnes maximum, nous semble la meilleure solution. Cela devrait nous permettre d'échanger le plus d'information avec le banquier. Pour le convaincre, nous misons sur notre sérieux et la volonté d'entreprendre un tel projet. Nous allons lui remettre aussi notre business model pour qu'il ait un aperçu avant de s'engager. [...]
[...] Cette ressource constitue donc le prêt immobilier. En ce qui concerne le reste des ressources tangibles, d'une somme de 90 elles nous rendront capable de créer notre entreprise ainsi que de débuter notre activité après l'ouverture de celle-ci. Ceci fait référence à l'achat de matières premières et du matériel nécessaires pour mettre en place les activités des enfants, à l'achat du mobilier pour aménager le local, aux salaires des six associés, aux frais d'administration quant à la création d'entreprise, aux frais de publicité pour promouvoir l'entreprise auprès d'un maximum de personnes possibles et aux frais divers de gestion comprenant la communication, l'électricité et l'eau entre autres. [...]
Référence bibliographique
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