Système d'information, agences internationales, décentralisation, communication interne, manque d'efficacité, satisfaction des clients, recrutement des experts
Existence de bases de données :
Il apparaît que ce système d'information, malgré les problèmes existants, possède certains avantages : la mise en place d'une base de données (Paradox pour les agences internationales et Access pour les agences françaises) dont l'existence suggère la possibilité d'évolutions futures.
Un secteur d'activité en plein essor :
L'expertise est un marché où la demande ne cesse de croître. En effet, les entreprises ont toutes besoin d'améliorer leurs méthodes. De plus le CFE couvre plutôt bien le territoire français et propose des expertises dans de nombreux domaines. Dès lors un des points forts du SI actuel est de répertorier de façon relativement claire tous les domaines d'expertise et leurs experts associés ce qui permet à tous les monteurs de missions d'arriver tout de même à proposer une possibilité d'expertise (l'impossibilité de satisfaire la demande du client est quasiment impossible).
[...] Une harmonisation est donc nécessaire. Les bases de données PARADOX sont obsolètes, elles ne permettent pas la soumission de requêtes ponctuelles et elles doivent être dupliquées dans les bases de données ACCESS à intervalles réguliers alors que ce processus pourrait être automatisé si on harmonisait le type de base de données. Les problèmes de communication interne se ressentent aussi au niveau de l'organisation de la société : un nombre beaucoup trop élevé d'intermédiaires. Ainsi, lors du traitement des notes de frais, l'information passe par quatre intermédiaires différents (Expert, Agence, Support Mission et Comptabilité) ce qui provoque des ralentissements dans le traitement des données. [...]
[...] Le SI actuel est d'une complexité relativement inutile, la réalisation de chaque opération nécessitant une communication entre les entités est considérablement ralentie. Il en résulte logiquement un manque d'efficacité général dans la satisfaction des clients. Ceci handicape fortement le CFE. Recommandations Nous recommandons fortement au C.F.E. une uniformisation du matériel et des formations du personnel nécessaires, ainsi que la création d'un système de communication interne (Intranet pourquoi pas). Les tâches doivent être automatisées et les bases de données regroupées et mises à jour pour faciliter toute recherche. [...]
[...] Il peut alors y avoir des améliorations. Personnel compétent sachant s'adapter Bien que la plupart des informations soient échangées par des voies différentes, le personnel se trouve habitué à la méthode en marche et réussit, alors que le SI en place est assez rudimentaire, à faire passer les informations pour que l'objectif (Placer un expert dans une entreprise pour l'expertise) soit rempli. D'après les interviews les différents acteurs du C.F.E. ont un discours plutôt cohérent. Tous connaissent la situation actuelle et désirent une évolution. [...]
[...] En effet, les entreprises ont toutes besoin d'améliorer leurs méthodes. De plus, le CFE couvre plutôt bien le territoire français et propose des expertises dans de nombreux domaines. Dès lors, un des points forts du SI actuel est de répertorier de façon relativement claire tous les domaines d'expertise et leurs experts associés ce qui permet à tous les monteurs de missions d'arriver tout de même à proposer une possibilité d'expertise (l'impossibilité de satisfaire la demande du client est quasiment impossible). [...]
[...] Les agences devraient avoir, de plus, un accès direct à ces bases de données. Les phénomènes de court-circuitage pourraient être évités en créant un pôle unique pour la gestion des compétences des experts, il pourrait en être de même pour le recrutement des experts (un seul pôle). Bibliographie indicative Alan Fustec, Bruno Ghenassia, et Jacques Guyot. Votre informatique est-elle rentable ? Pour une gouvernance économique du système d'information, Editions d´Organisation p. Andre Deyrieux. Le système d'information, nouvel outil de stratégie, Maxima p. [...]
Référence bibliographique
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