Reality Check Process, RCP, ouitls, méthodes, management de projet, réalisation du projet, étude de faisabilité, ressources opérationnelles, management des risques, organisation humaine, planification, suivi du projet, coûts du projet, pilotage du projet, planning de référence, verification, validation
L'étude des méthodes et des outils liés au management de projet constitue actuellement un avantage indéniable pour s'insérer rapidement d'un point de vue opérationnel au sein des entreprises.
D'une part comprendre l'ensemble des informations pouvant circuler au sein de l'entreprise et d'autre part être armé pour s'adapter à la culture et à l'environnement de l'entreprise. L'utilisation des concepts et des méthodes vus en cours et associés à un projet, le RCP (Reality Check Project) nous permet d'avoir une certaine approche du fonctionnement du management de projet et de voir les avantages en termes d'organisation et de rapidité de fonctionnement
En associant les méthodes de management de projet à notre projet ce sont des atouts, et des expériences que nous ne constituerons pour le futur, afin que ce projet soit mené à bien, en nousassurant une bonne gestion. Le RCP (Reality Check Project) est l'étude d'une entreprise à travers son environnement interne et externe mais également de sa stratégie. Le RCP constitue donc un projet puisqu'il doit nous amener à la réalisation d'un ensemble d'activités coordonnées et maitrisées avec des délais, pour les différentes productions, à respecter avant d'aboutir à sa réalisation et concrétisation.
Pour comprendre comment la démarche de management de projet intervient comme support dans la réalisation de notre RCP, il convient d'en présenter les étapes principales et les outils du management de projet permettant de s'assurer un respect des délais à défaut de pouvoir prédire si le résultat escompté sera obtenu.
Ce rapport répondra donc à la question suivante : comment l'utilisation des outils et des méthodes de management de projet constitue un atout pour la réalisation du projet ZARA : J-15 ?
[...] Une matrice présentant les risques et comment nous pouvons les gérer est présente sur la page suivante Management du projet Zara : J-15 MIM 2009/2010 Identification et prévoyance des risques Non respect du chahier des charges Grève des trams / accident sur la rocade Phytosanitaire / grippe A Manque de compétence du chef de projet Faible performance d'avancement du projet T e ch n iq u e L o g istiq u e sa n té p ro b a b ilité q u e le ris q u e a rriv e Maladie / absence P ro b a b ilité d u ris q u e Matériel / informatique h u m a in s Risques é c o n o m iq u e Type of risk perte potentielle des données prise de retard sur le projet prise de retard sur le projet 2 objectifs non atteints Faire des points réguliers retard sur le projet / réunion prévenir du retard anticiper un autre moyen de transport ou une autre forme de réunion ( visioconférence) se laver les mains, éviter les contacts, échange par téléphone ou par mail critères obejctifs dans le choix du chef de projet ( expérience, savoir ) Bonne estimation de la charge de travail concernant le projet / outils : WBS et réseau PERT Résultat établissement fermé / personnes absentes suivi insuffisant, mauvaise coordination des tâches manque de production / difficulté de communication actions préventives et correctives sauvegarde sur différents supports vérifier le matériel partage du travail non fait 50% compte rendu des points d'avancement par mail ou par téléphone Tous ces éléments sont à prendre en compte pour ne pas prendre de retard sur le projet. Nous rencontrerons donc des risques sur les objectifs de réalisation du projet. En termes de qualité, le travail devra être effectué dans des délais plus restreints ce qui engendrera un travail moins complet et approfondi. De plus, ces risques influenceront la performance du projet Management du projet Zara : J-15 MIM 2009/2010 LA PREPARATION DU PROJET LANCEMENT OFFICIEL DU PROJET Nous avons lancé le projet le 07/10/09, pour cela nous avons réalisé une réunion de lancement du projet. [...]
[...] Ces principes sont généralement revus à la demande de l'équipe ou de certains de ses membres lorsque des questionnements surviennent de manière collective ou individuelle. Nous revoyons alors nos méthodes ainsi que notre mode de fonctionnement. LES POINTS EN SUSPENS Notre projet étant dans un premier temps un travail de recherche et de prise d'information, suivi d'un travail d'analyse, il n'y a que très peu ou pas du tout de points en suspens. Renforcé par la contrainte temps nous ne pouvons nous permettre de laisser certaines tâches en suspens. [...]
[...] Les tâches fictives de notre projet nous servent de repère, en nous indiquant la durée des phases clés du projet. C'est la raison pour laquelle chaque grand chapitre de Zara J-15 comme l'environnement ou la stratégie entre autre, donne lieu à une étape fictive. Une fois les tâches déterminés ainsi que leurs antécédents, nous avons déterminé les durées de réalisation de chacune de nos tâches. Nous avons édité un tableau pour entrer toutes ces informations à savoir, le libellé de la tâche, son numéro, les tâches antécédentes et leurs durées. [...]
[...] Elle répond au cahier des charges : il s'agit d'une filiale et non d'un groupe, la société est référencée sur les bases de données Xerfi et Orbis, elle dispose de plusieurs domaines d'activités stratégiques (DAS) et d'une bonne situation financière. Chaque membre du groupe a adhéré à ce choix car l'entreprise est attractive et dynamique sur son secteur d'activité, de plus le choix de cette entreprise permet de disposer d'informations récentes et pertinentes pour la mise en œuvre du RCP. REALITE DU DEMANDEUR/CLIENT Le client est représenté par l'ensemble de l'équipe pédagogique du MIM Nous avons donc fait valider notre choix auprès d'Emilie Bellot et de M. [...]
[...] Nous ne l'avons pas retenu car il y avait un manque d'informations sur cette société et une situation financière délicate. Notre second choix portait sur l'entreprise Science et Mer, société spécialisée dans le cosmétique mais la encore il y avait peu d'informations à exploiter. De plus l'entreprise n'était pas référencée sur les bases de données, Xerfi et Orbis, imposées dans le cahier des charges. Au fur et à mesure nous avons abandonné certains critères comme la taille de l'entreprise car il était difficile de trouver une PME qui réponde aux exigences que nous avions fixées préalablement. [...]
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