développement durable, groupe Renault, culture d'entreprise, Renault Nissan, Carlos Ghosn, management, stratégie
La problématique ci-dessus exige de définir clairement certaines notions comme la politique générale d'entreprise qui comme son nom l'indique n'est autres que la manière dont est dirigé la société pour arriver à un but précis, celui d'en dégager un profit ponctuel, mais aussi d'en assurer la pérennité.
Pour ce faire, il existe différents courants de pensées ou philosophie d'entreprise dictée par son dirigeant. C'est ce qui se remarque lors de changement de PDG, qui apportent avec eux, leurs méthodes managériales.
Ces dernières peuvent être orientées par des conceptions plus globales.
Le développement durable est une de ces conceptions, plus, d'intérêt public, faisant référence à une implication d'ordre économique et reconsidérée à l'échelle mondiale afin de prendre en comptes les aspects environnementaux et sociaux d'une planète globalisée.
De l'application des conceptions par le salariat, né, ce qui se définit comme la culture d'entreprise.
[...] En quoi les actions de Politique Générale d'Entreprise en matière de Développement Durable présentées par le groupe Renault sont-elles susceptibles de faire évoluer sa culture d'entreprise ? La problématique ci-dessus exige de définir clairement certaines notions comme la politique générale d'entreprise qui comme son nom l'indique n'est autres que la manière dont est dirigé la société pour arriver à un but précis, celui d'en dégager un profit ponctuel, mais aussi d'en assurer la pérennité. Pour ce faire il existe différents courants de pensées ou philosophie d'entreprise dictée par son dirigeant. [...]
[...] Renault:Répartition du capital http://www.renault.com/fr/finance/action/pages/repartition-du- capital.aspx 2. Renault:Code de déontologie 3. Les échos:l'ABC de la methodeGhosnhttp://www.lesechos.fr/ghosn_renault_nissan/ghosn_methode.h tm 4. Wikipédia: Carlos Ghosn http://fr.wikipedia.org/wiki/Carlos_Ghosn 5. [...]
[...] Le secteur automobile est un des fleurons de l'industrie française et cette dernière ne peut et ne doit péricliter, risquant sinon d'entrainer d'autres secteurs dans une spirale au dessein désastreux. Par ailleurs, dans un contexte médiatique où la souffrance morale et ce notamment dans l'environnement professionnel, est mise très en avant, surgissent les différentes affaires de suicide au sein de Renault, consécutives aux différentes actions de PGE promulguées par Ghosn. C'est sous cette pression que le groupe Renault et son PDG, ont été obligés en 2009, de faire un constat d'échec social de la nouvelle culture d'entreprise instaurée. Sources utilisées : 1. [...]
[...] L'objectif mis en place chez Renault est la recherche du résultat. Quels que soient les efforts consentis, que ce soient par les ouvriers, les techniciens ou les cadres, ceux-ci ne seront plus pris en compte, seul le résultat compte. Ce nouvel axe prôné par le PDG libanais s'est accompagné d'une nouvelle politique décisionnelle, ainsi les opposants à cette évolution devaient proposer des solutions alternatives, ceci a facilité la mise en place d'un consensus actif, où le projet n'était pas bloqué, au pire des améliorations y ont été apportées. [...]
[...] Ainsi la Politique Générale instiguée par Ghosn à son arrivée a été vivement critiquée. Alors que la méthode avait été approuvée par les effectifs de chez Nissan, il semblerait qu'elle fut beaucoup moins bien appréhendée par les effectifs français. Ainsi, la course à la productivité engendrée en France a été mal perçue et notamment les différentes phases de délocalisation dans les pays de l'Est (Roumanie, Slovaquie et Slovénie) qui ont provoqué une pression supplémentaire auprès des salariés (sur la peur de perdre leurs emplois). [...]
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