C'est un projet ambitieux dans la continuité de la politique environnementale de la mairie de Paris. Velib' est mené à la fois par une société privé française dont l'objectif est de faire du Chiffre d'affaires (JCDecaux) et la mairie de Paris qui a pour objectif le bien être de ses concitoyens.
[...] Comment accroître la relation client ? - Nous savons que les utilisateurs peuvent connaître les stations où ils restent de la place pour déposer un vélo, mais certains se plaignent quand même de cette possibilité. On peut alors se demander si les mises à jour sont suffisantes. Ne peut-on pas trouver un moyen rapide et sûr de signaler (par le biais des bornes par exemple) à JC Decaux : - les stations vides où on ne peut donc pas emprunter de vélo pour l'instant, - les stations pleines où on ne peut rendre son vélo - Ne serait-il pas possible de créer un moyen rapide et efficace de signaler des vélos (grâce à une référence ) abîmés, ou ayant les pneus crevés par exemple ? [...]
[...] Je suis moi-même cycliste, même si je prends aussi la voiture, en autopartage. Je suis pour la mutualisation des transports, même les deux roues ! Il faut renouveler le partage de la voirie et de la propriété. Ce qu'on veut, c'est la mobilité, pas la possession. Il faut répondre à un besoin. Par exemple, si je dois aller rapidement au bout de la rue de Rivoli, le vélo c'est génial. François Luisetti - Paris IIe Je trouve ça bien comme idée. [...]
[...] Ce qui est bien, c'est qu'on peut reposer le vélo partout. J'ai vu les panneaux qui annoncent des chantiers un peu partout et j'attends avec impatience de voir les stations arriver. Frédérique Dugeny - XIIIe C'est une excellente initiative de la Ville de Paris. Je circule beaucoup à vélo, il y a eu beaucoup d'efforts depuis 2001, surtout avec l'arrivée des couloirs de bus. Mais le vélo, ça peut être dangereux. Pas seulement à cause des voitures, les cyclistes eux-mêmes sont parfois indisciplinés : ils passent souvent au rouge ! [...]
[...] Par exemple, une personne paye son abonnement annuel (une carte) 29 euros, elle charge de quelques euros sa carte pour pouvoir emprunter un vélo, elle peut ensuite utiliser Vélib' autant de fois qu'elle le souhaite chaque jour. Si son trajet dure moins de 30 minutes, aucun prélèvement n'est effectué sur sa carte abonnement, sinon, elle est prélevée. Le coût des trajets augmente très vite avec le temps d'utilisation des vélos. Ceci est mis en place de manière à ce que chaque utilisateur emprunte Vélib' lorsqu'il en a besoin pour se déplacer et le mette à disposition d'autres utilisateurs immédiatement après. Personne ne doit monopoliser les vélos, ils doivent rester à disponibles pour chacun. [...]
[...] C'est vraiment une bonne idée que ce soit 24h/24 et 7j/7 ! Et puis le look est joli. [...]
Référence bibliographique
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