Santé - médico-social, Social Development and Civil Society, Children at Risk Programme, Work Packages, démarches administratives, foyer éducatif, gestion financière, projet de parrainages, parrainages d'enfant, schéma de Gantt
À l'avènement du régime républicain, seuls les enfants de l'élite urbaine avaient accès à l'éducation. Dans les campagnes, un enseignement rudimentaire, fondé sur la mémorisation plus que sur la réflexion, était assuré dans les écoles coraniques. Le nouveau régime, en 1952, a entrepris de démocratiser l'enseignement, rendu obligatoire et gratuit pour les enfants de 6 à 12 ans. L'analphabétisme a reculé de manière non négligeable. Cependant, en 1995, il concernait encore 48,6% de la population, ce qui constitue un taux relativement élevé dans le monde arabe. Un tiers seulement des enfants accomplissaient une scolarité primaire et secondaire en 1970. Ils sont deux fois plus nombreux aujourd'hui et 39% des jeunes Égyptiens poursuivent leurs études dans l'enseignement supérieur.
L'université islamique al-Azhar occupe une place particulière dans l'enseignement supérieur. La mosquée, fondée au Caire en 970 apr. J.-C., est devenue un prestigieux centre d'enseignement de la théologie musulmane en même temps qu'un lieu d'élaboration du droit musulman. Son rayonnement au sein de la umma (communauté) musulmane demeure grand. Al-Azhar compte aujourd'hui 90 000 étudiants, égyptiens et non égyptiens, versés dans les sciences islamiques mais de plus en plus ouverts aux enseignements profanes. Méhémet Ali, dirigeant réformateur de l'Égypte au xixe siècle, a doté le pays d'un réseau d'écoles supérieures spécialisées (médecine, administration, agriculture, etc.) dans le but de former les cadres supérieurs du nouvel État égyptien. En 1907 s'est ouverte la première université d'État, l'université du Caire, et, en 1919, des missionnaires protestants ont fondé l'Université américaine. Les universités provinciales se sont multipliées à partir des années 1950. Les femmes ont été autorisées à s'y inscrire en 1962.
Le système d'enseignement égyptien est aujourd'hui confronté au problème de l'adéquation de la formation universitaire au monde du travail. Le président Nasser s'était engagé à trouver un emploi à tous les diplômés des universités égyptiennes, qui sont venus gonfler les effectifs de l'administration. Mais depuis le début des années 1970, le chômage des jeunes diplômés est devenu l'une des questions cruciales dans la société égyptienne.
A cause du fait qu'il y a encore des enfants qui n'ont pas la possibilité d'aller à l'école, beaucoup sont obligés de travailler. On peut enregistrer 1,2 millions d'enfants âgés de 7 à 12 ans habitant dans une famille pauvre. Donc, il faut la supporter en travaillant soi-même. Le résultat de ce travail très dur est un récompense maigre soit juste un peu d'argent. Un des secteurs étant connu pour le travail d'enfants est l'agriculture. Mais il y a aussi d'autres en tant qu'apprentis chez les forgerons ou les potiers, dans les ateliers textiles, les tanneries, les fabriques d'articles de cuir. Pour gagner de l'argent très vite les familles n'ont pas des scrupules à accepter que leurs enfants travaillent comme des prostituées ce qui favorise la propagation du virus du SIDA aussi que des blessures qui durent toute la vie.
En général, on peut en conclure que l'Afrique souffre d'un retard énorme au niveau de son développement. Mais le pire est que les enfants, donc le futur de ce pays, doivent en souffrir en travaillant et en habitant très souvent dans les rues en tant qu'orphelin dont les parents sont morts du SIDA par exemple. Pour ces enfants ils existent des orphelinats bien sûr. Mais le problème est que les enfants ne sont pas beaucoup protégés par le droit africain. La violence est monnaie courante dans de telles institutions.
Il serait nécessaire de trouver une solution sous forme d'une institution spécialisée par exemple où l'on pourrait protéger les enfants des telles expériences ainsi que de les faire suivre par des psychologues afin d'exorciser leurs expériences douloureuses et promouvoir l'éducation scolaire ainsi que l'intégration des femmes dans ce pays.
Notre projet vise les enfants vivant au Caire âgés de 3 à 16 ans. En effet l'âge minimum permettant de quitter l'enseignement scolaire étant de 12 ans notre but est de les inciter à continuer à suivre l'enseignement scolaire et non d'aller travailler pour gagner leur vie. Notre cible se divise en 4 catégories :
- Les enfants handicapés : En effet en raison du manque de services adéquats, les enfants handicapés encourent divers risques,ils ne sont pas scolarisés, souvent laissés à l'abandon, rejetés, pas soignés et donc victimes d'exclusion sociale.
- Les enfants orphelins ou ayant été abandonnés : Les enfants sans parents vivent dans les rues, sans ressources, ils sont donc en proie à la malnutrition, au manque d'hygiène, à l'analphabétisme, au vol, ils sont totalement démunis.
- Les enfants travaillant : Souvent pour palier les manques d'argent de la famille du au chômage ou à des emplois précaires, des enfants sont obligés de travailler très jeunes et ne reçoivent donc aucune éducation, aucun enseignement.
- Et plus spécifiquement les filles : elles sont plus défavorisées face à l'enseignement que les garçons, par une peur ancestrale de ce qu'elles pourraient apprendre. Aujourd'hui un travail a été mis en place en Egypte pour réduire ce problème mais cela ne semble pas suffisant.
Il est donc important des permettre à ces enfants de vivre en sécurité dans des conditions favorables à leur développement.
[...] C'est pour cela que les acheminements sont prévus lors des déplacements en Egypte au 13ème et au 24ème mois. Cela se fera en 2 fois : 1er envoi : du 11ème jusqu'au milieu du 12ème mois du projet 2ème envoi : du 22ème au 24ème mois du projet BUDGET APPROXIMATIF : grâce à notre partenaire FeDex + 20 pour les frais de gestion des dons matériels (stockage) WORK PACKAGES 10 : Conférences Des conférences auront lieu auprès des élus français et égyptiens afin de leur expliquer les objectifs du projet ainsi que son fonctionnement, son intérêt pour les enfants, son intérêt pédagogique en impliquant les enfants et pré-adolescents français. [...]
[...] Le nouveau régime, en 1952, a entrepris de démocratiser l'enseignement, rendu obligatoire et gratuit pour les enfants de 6 à 12 ans. L'analphabétisme a reculé de manière non négligeable. Cependant, en 1995, il concernait encore 48,6% de la population, ce qui constitue un taux relativement élevé dans le monde arabe. Un tiers seulement des enfants accomplissaient une scolarité primaire et secondaire en 1970. Ils sont deux fois plus nombreux aujourd'hui et 39% des jeunes Égyptiens poursuivent leurs études dans l'enseignement supérieur. [...]
[...] Pour ces enfants ils existent des orphelinats bien sûr. Mais le problème est que les enfants ne sont pas beaucoup protégés par le droit africain. La violence est monnaie courante dans de telles institutions. Il serait nécessaire de trouver une solution sous forme d'une institution spécialisée par exemple où l'on pourrait protéger les enfants des telles expériences ainsi que de les faire suivre par des psychologues afin d'exorciser leurs expériences douloureuses et promouvoir l'éducation scolaire ainsi que l'intégration des femmes dans ce pays. [...]
[...] L´Association Egyptienne du Développement Global a pour but de développer le pays et désire aider les enfants à risque. Cette association pourrait donc être intéressée par notre projet et nous semble être le partenaire idéal . Pour la réalisation de notre projet, l'aide d'entreprises privées sera indispensable. Plusieurs partenaires pourront nous fournir le nécessaire pour la construction et la viabilité de notre foyer éducatif : - Publicis pour l'édition des plaquettes partenariats, prospectus, affiches et publicités télévisuelles - Groupe France télévision pour diffuser les publicités télévisuelles afin de toucher toutes les tranches de la population française - Fedex pour acheminer les dons matériels comme les fournitures de bureau, les jouets ou les médicaments. [...]
[...] Nous pouvons donc penser que le gouvernement égyptien puisse être favorable à ce type de projet en collaboration avec des institutions européennes. Cela nous permettra d'abaisser le taux d'analphabétisme au niveau local pour commencer, puis le développer à la ville entière si les fonds nécessaires à la réalisation du projet si les fonds nécessaires nous sont donnés. Les enfants méritent de vivre en sécurité et de se développer normalement. Car la situation en Egypte est grave, nous aurons la chance de recevoir d´aide et de soutien. [...]
Référence bibliographique
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