Capital immatériel, net, valeurs cachées de l'entreprise, valeur comptable, valeur réelle, capital humain, capital structurel, capital client
La valeur d'une entreprise ne se mesure pas seulement à ses résultats financiers ou à sa production, mais inclut une quantité d'autres facteurs bien plus immatériels.
Evaluer la capital d'une entreprise en se limitant à la seul lecture de son bilan financier est une gageur, voir même une source d'erreur. en effet celui-ci ne montre que ce que vaut l'entreprise sur son plan comptable et non sa valeur réelle.
L'entreprise capitalise et produit d'autres valeurs qui ne sont pas toujours visibles financièrement. C'est le capital immatériel de l'entreprise.
Les chefs d'entreprise ont pris conscience de l'intérêt d'intégrer dans leur reporting, au-delà des indicateurs comptables et financiers, les éléments du capital immatériel, afin de se rapprocher de la valeur réelle de l'entreprise et de mieux la valoriser.
C'est pour cela que de nombreux paramètres sont à prendre en considération, pour identifier les valeurs cachées du capital immatériel.
Faudra t-il un jour envisager une évolution des principes comptables, un nouveau système de mesure de la valeur ?
Ici notre démarche consistera à identifier les éléments le capital immatériel, qui échappe aux méthodes comptables, les outils qui permettent son développement, son investissement, son évolution...
[...] Il se concentre plus sur l'aspect financier que les deux autres méthodes. Bien que les ressources humaines ne soient pas spécifiquement mentionnées dans les perspectives, ils peuvent être introduites durant les discussions sur l'innovation et des perspectives d'apprentissage. The Skandia Navigator, développés par Leif Edvinsson au sein de la compagnie d'assurance Skandia. Edvinsson se focalise sur 5 points précis, qui sont : La finance Le client L'Homme Les procédures La Recherche et Développement Deux cas à la loupe : Skandia et the Balanced Scorecard The Skandia navigator Les entreprises ont des atouts qui n'apparaissent sur aucun bilan. [...]
[...] Nous comprenons que ces variables sont importantes pour définir le capital immatériel de l'entreprise. En effet, dans le cas d'une société comme Sys-Com, si le capital structurel est faible et le capital humain élevé, cela signifie que l'entreprise ne dispose pas d'un système de gestion et de partage de la connaissance suffisamment élaboré ; une telle entité ne vaut que par ses collaborateurs et le risque de fuite des cerveaux la rend très vulnérable. La prise en compte du capital immatériel présente l'énorme avantage de réconcilier le bon sens et la finance : si Sys-Com forme ses collaborateurs et investit en le bon sens indique qu'elle accroît sa valeur, mais une analyse de premier niveau apporte la réponse inverse (baisse de la rentabilité Les entreprises ont des atouts qui n'apparaissent sur aucun bilan. [...]
[...] L'utilisation des TIC servira à optimiser les ressources de l'entreprise. La volonté d'un dirigeant de mettre en place, aussi bien au plan stratégique, qu'organisationnelle, d'un système d'information dans l'entreprise ressort principalement des objectifs suivant : capitaliser les résultats du travail intellectuel produit pour le rendre réutilisable au maximum. Favoriser l'accès à l'information dans des conditions optimum Le partage et la mise à disposition de chacun : de l'information, du savoir faire, de la connaissance et du travail, pour une efficacité collective. [...]
[...] C'est le capital immatériel de l'entreprise. Les chefs d'entreprise ont pris conscience de l'intérêt d'intégrer dans leur reporting, au-delà des indicateurs comptables et financiers, les éléments du capital immatériel, afin de se rapprocher de la valeur réelle de l'entreprise et de mieux la valoriser. C'est pour cela que de nombreux paramètres sont à prendre en considération, pour identifier les valeurs cachées du capital immatériel. Faudra t-il un jour envisager une évolution des principes comptables, un nouveau système de mesure de la valeur ? [...]
[...] Le cas du E-Learning : Définition : Le E-Learning est une formation ouverte, flexible, individualisée, à distance et en réseau, alliant travail en autoformation et accompagnement, communautés d'apprentissage sur le lieu de travail ou chez soi, avec des objectifs de formation identifiés et mesurables. Concept : Le E-Learning est un contrat entre trois partie : L'entreprise, l'apprenant et l'entreprise formatrice (par le biais d'un réseau à distance) Cette formation en ligne permet à une / plusieurs personnes d'acquérir une compétence ou une connaissance sans avoir à se déplacer de leur lieu de travail habituel. [...]
Référence bibliographique
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