Crise financière internationale de 2008, origines, enjeux, conséquences, subprimes, Etats-Unis, masse monétaire, PIB, liquidité, accumulation des réserves de change, primes e risques, taux d'intérêts, crédits hypothécaires, nouvelles technologies, condition d'attribution des prêts
Dans un contexte caractérisé par la mondialisation, la globalisation financière, la libéralisation accrue des économies, ainsi que l'instauration d'un nouveau système libéral après la seconde guerre mondiale, ont favorisé l'essor de la stratégie d'internationalisation.
Toutefois, cette stratégie est actuellement remise en cause, par la crise financière internationale, qui s'est déclenchée dans un premier temps dans l'industrie financière nord-américaine, avec l'éclatement de la bulle des subprime, qui a commencé par une crise immobilière, financière puis bancaire avant de se transformer en une véritable crise économique et sociale à travers le monde entier.
En effet, la mondialisation et l'interdépendance des économies ont favorisé la propagation de la crise financière qui a touché d'abord les pays développés, puis les pays émergents et en troisième lieu les pays en développement.
[...] G.M.HENRY, LES HEDGE FUNDS Eyrolles, Paris P : 40. O.Lacoste, Comprendre les crises financières Eyrolles, Paris P : 130. Ibid. P. Castex, LA CHUTE: THEORIE DE LA CRISE ACTUELLE DU CAPITALISME l'harmattan, Paris, 2008,P : 178. Voir infra J-C. Bricongne, La crise des subprimes : de la crise financière à la crise économique Note de conjoncture, Mars 2009, P : 29. [...]
[...] Presque des frais seraient ainsi pris en charge[79]. Un volet formation qui ambitionne essentiellement la qualification et qui réalise la valorisation des ressources humaines du secteur, ceci par la mise en place d'un important dispositif en collaboration avec l'AMITH et l'École Supérieure des Industries du Textile et de l'Habillement ; école dotée d'un statut lui permettant de disposer de la souplesse de gestion pour accompagner efficacement le développement du secteur et qui constitue actuellement une école de référence[80]. Le Comité de veille stratégique réfléchit par ailleurs à d'autres mesures, notamment à la baisse de l'assurance à l'exportation qui ne serait plus de mais de Le coût de ces mesures est évalué à 1,3 milliard de dirhams, dont près de 800 millions consacrés aux cotisations patronales à la CNSS. [...]
[...] Toutes promettent des rentabilités très supérieures à la croissance de l'économie[11]. Toutes ces titrisations sont au départ fondamentalement utiles, en tout cas aussi longtemps que les épargnants comprennent la nature de ce qu'ils achètent. Et aussi longtemps que la titrisation n'est pas un prétexte pour proposer aux emprunteurs des prêts impossibles à rembourser. On titrise aussi des produits financiers dits dérivés[12]». Ces dérivés sont titrisés; il y a donc, dans les CDOs, plusieurs tranches de dérivés plus ou moins rentables selon le risque pris par les acheteurs. [...]
[...] Dans le même sillage, l'essor du secteur financier est associé à la présence d'un environnement institutionnel favorable et aux progrès technologiques, ainsi que l'adoption des politiques financières libérales, aussi bien au niveau national qu'au niveau international. Aussi l'accélération du développement des technologies de télécommunication et de l'information a permis une expansion rapide des services financiers et des mouvements des capitaux à l'intérieur et à l'extérieur des frontières. En ce qui concerne le commerce international, la spécialisation en fonction de l'avantage comparatif de chaque pays peut entraîner des gains d'efficience importants. Elle permet de réaliser des économies d'échelle. Ainsi que d'élargissement des choix des biens et services disponibles. [...]
[...] Elle a baissé donc de 4 points en une année de crise, cette diminution étant plus forte dans les pays exportateurs de pétrole (environ 5,5 points) que dans les pays importateurs de pétrole points). Les pays avancés étant en proie à une profonde récession, la croissance dans les pays africains va ralentir fortement, sous l'effet de la baisse de la demande d'exportations et des cours des produits de base, ainsi que du durcissement des contraintes financières. Pour le continent, un déficit de l'ordre de 251 milliards de $EU est réalisé en 2009, en matière de recettes d'exportation. Ce déficit pourrait[30] atteindre 277 milliards de dollars en 2010. [...]
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