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Longtemps, celles-ci se sont cantonnées à la recherche d'un accès aux matières premières, de faibles coûts de main d'oeuvre, puis d'une proximité avec la demande locale. Désormais, de plus en plus d'entreprises organisent leur production à l'échelle mondiale et génèrent de ce fait une part grandissante du commerce via les échanges entre leurs filiales.
Un rapport économique de l'ONU recensait en 2004, plus de 70 000 multinationales à travers le monde alors qu'il en existait environ 7 000 dans les années 70.
Le monde économique est donc face à un phénomène qui prend une amplitude de plus en plus importante sachant également que ces multinationales comptent plus de 690 000 filiales à travers le monde. Comprendre le phénomène des firmes multinationales n'est pas simple. Non seulement le nombre de variables qui influencent leur comportement est immense, mais les firmes évoluent sans cesse trouvant toujours de nouvelles stratégies. Qui dirige ? Pourquoi une firme se multinationalise-t-elle ? (...)
[...] La dynamique entre les 3 variables De plus, certaines caractéristiques particulières d'un pays influencent le mode de pénétration que la firme utilisera et donc tout son mode d'internalisation. Est-il plus profitable d'accorder une licence de distribution ou d'acquérir une unité locale ? De plus le choix d'organisation interne d'une FMN influence aussi son type de pénétration dans un pays. Pour une firme fortement décentralisée et non hiérarchisée, il peut être plus rentable d'ouvrir une filiale que d'exporter ses produits, par exemple. [...]
[...] Delapièrre, LES FIRMES MULTINATIONALES, ed, veber 1995. Ch. Albert Michalet, LE CAPITALISME MONDIAL, ed, puf 1998 B. Bonin, l'entreprise multinationale, ed économica et l'état. Source : CNUCED 2005 DUNNING, J. H. The Eclectic (OLI) Paradigm of International Production : Past, Present and Future dans International Journal of the Economics of Business, Vol No p176. DUNNING J.H. International Business in a Changing World Environment dans Multinationals, Technology and Competitiveness, Unwin Hyman Ltd. London p.13. [...]
[...] La logique de l'internalisation est d'abord une réponse à l'imperfection des marchés. Les marchés de concurrence pure et parfaite auxquels se réfère la théorie sont très éloignés de la réalité. Celle-ci est constituée de marchés imparfaits. Cette imperfection du cadre à l'intérieur duquel se déroulent les échanges a pour conséquence de générer des coûts de transaction. Le processus internalisation se définit alors comme une procédure de réduction de ces derniers. Elle ne signifie pas la disparition des imperfections elles-mêmes mais seulement une tentative pour neutraliser leurs implications. [...]
[...] Nous allons privilégier cette catégorie de cadres, d'une part, parce qu'elle présente des traits plus originaux que ceux qu'offrent les dirigeants du siège, mais aussi, parce qu'une proportion de plus en plus importante de ces derniers ont fait leur preuve à la tête des filiales du Groupe. Au départ, ils sont fréquemment recrutés au sein du service des exportations. Dans les cas des relations mère-fille, les responsables de filiales appartiennent généralement au siège. Ils ont la nationalité du pays d'origine de la firme. Les managers sont proches du pouvoir central. Ils sont généralement entourés d'une équipe de responsables fonctionnels qui eux aussi proviennent de la maison mère. Avec l'élargissement des activités productives à l'étranger, le nombre des managers internationaux s'accroît. La Division internationale prend de l'ampleur. [...]
[...] Quelles combinaisons de dette de fond propres doit on choisir ? 7. Comment doit-on assurer la sécurité des actifs ? À quels instruments peut on recourir dans le Bute de réduire le risque de pertes d'actifs à un niveau acceptable ? Le choix est vraisemblablement fonction d'éléments comme la nature des actifs à protéger (physiques, liquides), la nature du risque (expropriation, dilution du contrôle, destruction, malhonnêteté, inflation, dévaluation) et l'horizon de temps des gestionnaires Que doit-on faire pour maintenir la valeur des actifs ? [...]
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