Gestion des Ressources Humaines, GRH, rémunération, salaire, fonderie Saint-Cyr, rémunération variable
La fonderie St Cyr qui compte 200 employés a subi une baisse de productivité au cours des deux dernières années. Le responsable (M. Lacoulé) pense que le système de rémunération est responsable de cette situation car il ne tient pas compte de la productivité des travailleurs, qui eux sont payés à l'heure. Il pense que si une partie de la rémunération était liée à leur rendement, cela augmenterait leur motivation, ce qui leur a sembler une bonne idée. Après s'être interrogé sur les normes de rendement et sur l'incidence de ce régime de rémunération, il met un régime de rémunération variable, donc 80% du salaire fixe et le reste en fonction d'unités produites au-delà d'un certain seuil. Selon lui ils devraient même accroître leur rémunération de 30%. On constate que le système conduit la productivité à la baisse alors que les salaires étaient déjà inférieurs à ce qu'offraient les entreprises syndiquées, ils envisagent de former un syndicat.
[...] Il peut agir de rémunération du rendement individuel ou collectif u même en groupe. M. Lacoulé aurait dû mettre en place un système de rémunération variable tel que les primes, qui est un moyen forfaitaire versé en plus du salaire. Cela permet d'établir un lien rendement récompense. Elles vont aussi permettent de contrôler davantage les coûts de main- d'œuvre, car comme elles sont versées ne lus du salaire, elles ne viennent pas augmenter les coûts d'avantages sociaux. Les commissions constituent la principale forme de rémunération variable pour le personnel. [...]
[...] La rémunération variable La fonderie St Cyr À la fonderie St Cyr qui compte 200 employés a subi une baisse de productivité au cours des deux dernières années. Le responsable (M. Lacoulé) pense que le système de rémunération est responsable de cette situation, car il ne tient pas compte de la productivité des travailleurs, qui eux sont payés à l'heure. Il pense que si une partie de la rémunération était liée à leur rendement, cela augmenterait leur motivation, ce qui leur a semblé une bonne idée. [...]
[...] Enfin, la rémunération à la pièce qui consiste à payer les employés en fonction du nombre d'unités produites. Dans le cas d'une entreprise de production de pièces métallique, ce système peut servir et peut être efficace quant à l'augmentation du rendement. La participation aux bénéfices n'est pas une bonne idée en soi, car les employés auront du mal à voir un lien entre leurs efforts et les profils de l'entreprise puisque de nombreux autres facteurs qu'ils maîtrisent très peu influencent les bénéficient. [...]
[...] Elle a mis en place un système de rémunération variable. Dans notre cas, les employés sont motivés à améliorer leur rendement dans la mesure où ils ont l'impression que leurs efforts ont un effet sur le rendement. Ici, les salaires sont bas et ils sont payés du salaire fixe et reste en fonction d'unités de production. Cette récompense n'est pas significative à leurs yeux. Il ne s'agit pas d'une récompense, mais d'une punition. Cette approche punitive entretient un climat de méfiance qui est plutôt gênant. [...]
[...] Le fait de mettre en place un syndicat ne va pas forcément arranger la situation de sorte que les syndicats s'opposent à quelques modes de rémunération variable en raison de la difficulté d'établir et de maintenir le standard de production équitable, soit la rémunération par pièce produite. Ils ont peur que les employés n'utilisent ce mode dans le seul but d'exploiter les employés. Ils craignent aussi que les rémunérations nuisent à la santé et à la sécurité du travail et que les employés perdent leur travail si la productivité augmente. D'autres types de régimes de rémunération variable auraient ils en plus de chances de succès ? Lesquels ? [...]
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