GRH Gestion des Ressources Humaines, influence américaine, France, système de santé, welfare, workfare, Google Campus, social insurance, vieillesse, invalidité, medicare, MPO Management Par Objectifs, Covid-19, monde du travail, protection sociale, productivité, culture d'entreprise, autoévaluation, turnover
Chaque pays possède sa propre gestion du personnel et plus globalement des ressources humaines. Ces dernières années, le monde du travail s'est transformé en profondeur, que ce soit du fait de l'apparition des nouvelles technologies, de la digitalisation, des nouveaux types de managements qui sont apparus et plus récemment, à cause de la crise sanitaire.
De plus en plus d'entreprises en France commencent à davantage prendre en compte la notion de l'humain au coeur du monde des entreprises, il y a une réelle volonté de fidéliser le salarié en prenant en considération ses besoins et ses attentes.
[...] Le temps d'adaptation est nécessaire tant les deux pays sont différents. Il peut y avoir dans la réalité un manque de compréhension dans l'acharnement à remplir les objectifs du côté français et les Américains peuvent ne pas apprécier le laxisme qui peut exister dans certaines entreprises françaises. La sécurité de l'emploi en France qui est toutefois plus prononcée que sur le continent américain peut engager les collaborateurs à ne pas toujours faire tout leur possible pour leur entreprise ou en tous cas à avoir une pression moins prononcée. [...]
[...] Si l'on prend l'exemple de Google Campus, qui est l'une des principales puissances américaines au niveau professionnel, il s'agit de l'une des entreprises où les salariés apprécient le plus de travailler, avec une importance accordée au bien être des salariés. Notons qu'aux États-Unis, la différence est bien mieux respectée et acceptée que sur le territoire français, les Américains s'accommodent parfaitement de travailler avec des gens plus âgés, plus jeunes, ou d'une culture différente. Jusqu'à il n'y a pas si longtemps, la réussite en France était liée à l'école, l'université, etc. plus celle-ci était prestigieuse, et plus le candidat était pris au sérieux. [...]
[...] Au fil du temps, la gestion des ressources humaines a beaucoup évolué, souhaitant placer la réussite des entreprises au-dessus de tous les autres critères, concurrence oblige. Malgré tout, le critère social est également à prendre en compte, pour pouvoir garder des salariés fidèles et motivés et contribuer ainsi à la performance du groupe. Le personnel ne peut pas être considéré uniquement comme une force de production, la gestion des ressources humaines doit être planifiée sur le long terme avec des méthodes plus axées sur le marketing, la communication ainsi que la stratégie. [...]
[...] Mais qu'en est-il maintenant de la notion de culture d'entreprise aux États- Unis ? Dans ce pays, les collaborateurs sont plus individualistes, ils ne possèdent pas du tout la même façon de percevoir le monde du travail que les Français. Le statut social est bien plus important, il s'agit de ne pas perdre de temps et d'évoluer vite et bien. Travailler dur pour réussir sont les maîtres mots de la pensée américaine. Par ailleurs, le rapport avec les employeurs n'est pas non plus le même. [...]
[...] Il s'agit d'une protection contre chaque situation difficile de la vie lorsqu'une baisse de ressources doit être envisagée. Elle permet en effet de faire face à des risques comme le chômage, la maternité ou encore la maladie et la vieillesse. La protection dite universelle permet de prendre en charge certaines dépenses pour tous les individus. Aux États-Unis, un tel système existe également, c'est ce que nous allons voir avec l'exemple de la société Google. Ce qui est en effet appelé « social insurance » est la sécurité sociale au sens le plus large du terme. [...]
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