Motivation au travail, bien-être au travail, entreprise, relation publique, enjeu, stratégie, management, recrutement, coaching, teambulding, gestion des conflits, Google, Quiksilver, Nokia, Pfizer
Selon une enquête IPSOS sur le bien-être au travail, lorsque l'on demande aux moins de 25 ans ce qu'ils attendent de l'entreprise dans laquelle ils pourraient travailler demain, ils citent d'abord le fait de pouvoir évoluer dans une ambiance agréable (pour 26%) avant la possibilité de travailler sur des sujets intéressants (23%). La rémunération ne venant qu'en troisième position (source : www.emarketing.fr).
Selon une deuxième enquête IPSOS réalisée en 2003, 43% des Français considèrent que le bien-être au travail et la motivation globale se sont dégradés au cours de ces dix dernières années (source : www.emarketing.fr).
L'entreprise aujourd'hui ne peut donc plus uniquement se concentrer sur des problématiques cartésiennes telles que la recherche de la productivité et de la rentabilité maximales, mais doit aussi se pencher sur les problèmes humains. C'est donc, au même titre que l'écologie, un nouveau défi pour l'entreprise du 21e siècle. En effet, nous sommes dans une situation économique où la concurrence est très forte, la recherche de la performance est quotidienne, l'exigence et la compétition sont chaque jour les préoccupations principales des salariés et des cadres dirigeants. Toutes ces évolutions sont difficiles à gérer pour l'humain ; elles dégradent sa vision du travail et de l'entreprise.
[...] Il est efficace, rapide et permet au salarié d'obtenir des effets positifs dès la fin de la séance. Cependant, tout le monde ne peut pas s'improviser masseur professionnel et il est donc nécessaire de prendre ses précautions quant à cette démarche sous peine d'obtenir l'effet inverse (blocage musculaire Des salles de sport, des saunas s'installent dans l'entreprise pour permettre au salarié de se défouler pendant la période de midi ou avant de regagner son domicile. Le sport au même titre que le massage est un moyen très efficace de lutter contre le mal-être au travail. [...]
[...] En effet, elle suppose que : La prise d'initiatives est possible chez le salarié L'autocontrôle et la créativité sont aussi des qualités que l'humain peut développer dans son milieu professionnel. Le salarié accepte les efforts physiques et ou intellectuels. Face à cette théorie, une deuxième méthode différente de la première peut s'appliquer : La délégation des responsabilités Une organisation avec un regroupement des tâches (en opposition à la parcellisation des tâches dans la théorie X). L'objectif de la théorie Y selon Mac Gregor, c'est amener des gens ordinaires à faire des choses extraordinaires VROOM : 1964 Celui-ci s'est aussi intéressé de très près à la motivation en entreprise. [...]
[...] Selon Wikipédia : La motivation est, dans un organisme vivant, la composante ou le processus qui règle son engagement dans une action ou expérience. Elle en détermine le déclenchement dans une certaine direction avec l'intensité souhaitée et en assure la prolongation jusqu'à l'aboutissement ou l'interruption. Se manifestant habituellement par le déploiement d'une énergie (sous divers aspects tels que l'enthousiasme, l'assiduité, la persévérance), la motivation est trivialement assimilée à une réserve d'énergie Mais plus qu'une forme d'énergie potentielle la motivation est une instance d'intégration et de régulation d'une multitude de paramètres relatifs aux opportunités d'un environnement et aux sollicitations d'une situation. [...]
[...] A la question : Est-ce que la prise en compte du bien-être en entreprise est une réalité ou simplement un leurre ? on peut désormais répondre ceci : Le bien-être est selon moi réellement pris en compte par les entreprises et plus particulièrement les grandes entreprises aux puissances financières importantes. Le bien-être n'est plus réservé simplement qu'à quelque cas isolé voulant se différentier et communiquer sur cette différence. Aujourd'hui, le mal-être est une problématique bien présente en entreprise et les pouvoirs publics l'ont bien compris. [...]
[...] Lorsqu'un salarié arrive plusieurs fois en retard au travail alors que cela ne se produisait pas auparavant, il est nécessaire de se questionner sur la raison de ces retards. Au même titre que l'absentéisme, c'est une manière d'échapper à la situation. C'est vouloir réduire le plus possible le temps passé en entreprise afin de minimiser l'impact psychologique de cette situation de mal-être au travail. La révolte et ou le non-respect des règles : Dans certains cas de mal-être en entreprise, des salariés aux caractères forts peuvent réagir au mal-être par une dispute avec leur collègue ou leur manager. [...]
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