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Le groupe LVMH est né en 1987 du rapprochement de Moët Hennessy et de Louis Vuitton qui a permis de constituer le leader mondial des produits de luxe.
Héritier d'une longue histoire, LVMH réunit des métiers nobles, à fortes traditions et un ensemble unique de marques mondialement établies.
LVMH dispose d'un portefeuille unique de plus de 60 marques prestigieuses. Le groupe est donc un conglomérat de marques de luxe, dirigé par Bernard Arnault, qui sont rassemblées par métiers au sein de cinq divisions : vins et spiritueux, mode et
maroquinerie, parfums et cosmétiques , montres et joaillerie, distribution sélective.
Grâce à sa politique de développement des marques et à l'expansion de son réseau de distribution international (plus de 2 000 magasins à travers le monde), LVMH s'inscrit, depuis sa création, dans une dynamique de croissance forte.
L'organigramme des marques du groupe LVMH est fourni ci-après.
[...] En 2002, de nouvelles boutiques se sont ouvertes sous l'hégémonie de Louis Vuitton à Tel Aviv, Moscou, Amsterdam. En 2003, son extension se poursuit et une boutique ouvre à New Delhi en Inde. Avec cette stratégie de pénétration et l'amplification de ses réseaux de distribution sur les marchés traditionnels, Louis Vuitton connaît une croissance de sa surface de vente de 10 à 15% par an. Ce rythme d'ouverture de nouvelles boutiques devrait continuer pendant au moins 5 ans. Conjointement à la diversification géographique, le renforcement des marques phares s'explique également par un accroissement des capacités de production pour permettre la croissance des ventes (ouverture d'un second atelier à Barbera del Valles en Espagne pour Louis Vuitton, construction d'une seconde usine à Ducey dans la manche, exploitation d'une nouvelle cuverie de 47500 hectolitres à Épernay destinée aux vins de réserve de Moët & Chandon). [...]
[...] - Le luxe est synonyme de rareté c'est pourquoi l'image de la marque est primordiale puisqu'elle va permettre de distinguer le produit de celui des concurrents. On peut citer ainsi citer les grands noms des principaux concurrents de LVMH : Prada, Manolo, Jimmy Choo, Chanel (de Karl Lagerfeld), ou encore Gucci (qui a été soufflé au PDG du groupe par François Pinault) mais aussi Richemont (qui possède entre autres les marques Cartier, Dunhill et Montblanc) Cette rareté on peut la retrouver à la fois dans l'offre, mais aussi dans la demande. [...]
[...] Ce dernier n'envisage pas de diminuer sa part de chiffre d'affaires réinvesti en communication, mais pense toutefois à réorienter géographiquement ses campagnes selon de récents propos de son emblématique PDG Bernard ARNAULT du fait des dernières évolutions du cours des matières premières et de l'accroissement spectaculaire du nombre de nouvelles fortunes en Russie, en Chine ou comme depuis longtemps dans les pays du Golf. Mais l'essor de multinationales françaises comme LVMH peut-il suffire à insuffler une dynamique à l'économie nationale ? [...]
[...] le prix : LVMH, afin de fixer les prix de ces différents produits doit tenir compte de la rareté de leurs matériaux ainsi que la très haute qualité de fabrication. Aussi les prix élevés justifient des coûts de fabrication importants. La plupart des produits proposés par le groupe sont fabriqués en France. Le coût de main-d'œuvre est bien sûr plus cher que dans les pays émergents. Seuls certains éléments sont sous-traités comme par exemple le bracelet pour les montres Louis Vuitton. [...]
[...] Elle est devancée par son ennemi de toujours la firme américaine Nike de parts de marché en 2007) malgré le rachat il y a maintenant deux ans et demi d'un autre concurrent Reebok pour trois milliards d'euros. - La concurrence entre les équipementiers sportifs est rude. On peut citer, le bel exemple de Puma troisième équipementier sportif mondial qui a été fondé par le frère d'Adolfo Dassler créateur d'Adidas. Puma, dont PPR s'est emparé à 62% en novembre 2007 pour 3 milliards d'euros alors que Nike était candidat. [...]
Référence bibliographique
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