Externalité, illettrisme, analphabétisme, téléphonie fixe, économie industrielle, télécommunication, fidélisation clientèle, France Télécom, externalité de réseau, intégration verticale, externalité positive, externalité négative
Basé sur un projet d'économie industrielle qui comporte deux parties - les externalités et l'intégration verticale dans le cadre des firmes de télécommunication -, ce document se concentre sur les externalités. Il s'agit de définir le concept, puis de trouver un ou plusieurs exemples d'externalités positives et négatives, tout en faisant le lien avec l'intégration verticale.
Avant de mettre en avant les externalités générées par le secteur des télécommunications, et notamment des opérateurs et leur lien avec l'intégration verticale, il conviendra de définir les concepts d'externalité et d'intégration verticale.
[...] Il peut s'agir de racheter un fournisseur pour contrôler par exemple les approvisionnements ou bien d'acquérir un distributeur pour s'assurer des débouchés de ses produits. Comme toute diversification [HYPERLINK: https://www.manager-go.com/], l'intégration verticale n'est pas sans risque. En effet, l'entreprise devra maîtriser des métiers qu'elle ne connaît pas forcément. Même si cette diversification se réalise par croissance externe [HYPERLINK: https://www.manager-go.com/], des risques subsistent. Par exemple, des divergences de vision stratégique peuvent exister entre l'entité acquéreuse et ses nouvelles filiales. Au-delà de ces limites, les vertus de l'intégration verticale sont nombreuses : diminuer les charges en abaissant les coûts de transaction et de négociation. [...]
[...] La marque met ensuite en place des stratégies de marketing pour fidéliser les clients et augmenter la part de marché de la marque pour tendre vers une position de leader du marché ou de monopole comme c'était le cas de France Télécom avant la fin des années 90 ; nous allons développer ci-dessous l'exemple de France Télécom qui a su s'intégrer verticalement pour assoir son monopole sur ces marchés intégrés avant l'ouverture à la concurrence et l'apparition d'une situation oligopolistique Exemple France Télécom : cette entreprise est née en 1988, le réseau s'est développé avec la mise en place d'infrastructures, d'antennes relais par France Télécom qui à l'époque avait le monopole (jusqu'à la création de SFR) monopole naturel puisque c'est cette société qui a mis en place les infrastructures. De Direction Générale des Télécommunications jusqu'en 1988, France Télécom a été créée à pour satisfaire à une directive européenne de mise en concurrence des services publics. [...]
[...] Certains pays comme le Niger ou le Burkina Faso ont des taux d'alphabétisation faibles autour de 30 On comprend donc l'importance de l'accès au savoir en ligne. Même s'il y a de nombreux programmes de co-développement pour favoriser les transferts de savoir entre pays favorisés et défavorisés, les populations locales n'ont pas forcément le temps de déterminer leurs besoins et d'apporter leur contribution. Externalités négatives Le Monopole ou quasi-monopole qui restreint le choix des clients ; on a vu qu'à l'époque de France Télécom l'absence de concurrence même s'il y avait intégration verticale ne permettait pas la diversité de l'offre et la réduction des prix comme ce fût le cas avec la concurrence de SFR, Bouygues Telecom et particulièrement de Free qui a secoué le marché de la téléphonie. [...]
[...] Du coup on voit émerger des applications ou des programmes pour aider à soigner les addictions au numérique comme l'application Forest qui incite à une certaine forme d'écologie du numérique. Certaines externalités ne permettent pas forcément l'intégration verticale Exemple le nombre d'abonnés augmente au départ, mais leur niveau d'exigence va aussi inciter d'autres entreprises à s'implanter pour mieux répondre à leurs demandes et à leurs exigences en termes de prix incitent souvent les firmes à externaliser certaines étapes de la chaine de valeur (production...). [...]
[...] Les centres de Recherche et Développement de ces fabricants de téléphonie chinois s'implantent en Europe et notamment en France (Huawei) dont la main-d'œuvre qualifiée les intéresse notamment pour tout ce qui est calculs algorithmiques ; ils s'implantent souvent près des opérateurs nationaux pour pouvoir tisser des liens commerciaux (faire référencer leurs produits dans les offres des opérateurs) et mieux répondre aux besoins futurs du marché. On a dans ce cas un bel exemple d'externalité positive avec une chaine des valeurs qui intègre des facilitateurs tels que les centres de recherche et les opérateurs. Savoir en ligne : enjeu contre l'analphabétisme et l'illettrisme L'accès à l'information et au savoir est un enjeu énorme pour l'humanité. [...]
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