Banque, assurance, Master, gestion du risque de crédit, développement commercial, benchmark externe, performance, concurrence, Fintech, IMF Institut de MicroFinance, fidélisation clientèle, prêts à la consommation, benchmark, benchmarking
Marc Bazinet définit le benchmarking comme étant le processus qui consiste à identifier, analyser et adopter, en les adaptant, les pratiques des entreprises performantes, en vue d'améliorer les performances de sa propre entreprise.
Nous avons procédé à un benchmark externe en ligne avec la méthode des cas en prenant comme sujet d'échantillonnage des concurrents bancaires, ainsi que les principaux concurrents. Afin de refléter la diversité des acteurs et concurrents, comme leurs pratiques. Le choix s'est orienté vers un benchmark des pratiques d'une banque, d'une fintech et d'un institut de microfinance (IMF).
[...] Le crédit score permet de donner une réponse rapide aux clients. Néanmoins, il est peu regardant sur la situation réelle du client, l'analyse traditionnelle permet de juger réellement une situation et d'octroyer un crédit qui est possible ou au contraire d'éviter un risque. Pour évaluer le profil d'emprunteur des clients en microfinance, la dynamique humaine est beaucoup plus importante qu'en matière de prêt aux particuliers classique. Le crédit scoring est donc anecdotique en matière de microfinance par rapport à l'analyse traditionnelle. [...]
[...] L'analyse traditionnelle, élément clé d'acceptation d'un dossier et de gestion du risque d'octroi de crédit. Hyp. #5. Le crédit score permet de donner une réponse rapide aux clients. Néanmoins, il est peu regardant sur la situation réelle du client, l'analyse traditionnelle permet de juger réellement une situation et d'octroyer un crédit qui est possible ou au contraire d'éviter un risque. Dans les pays qui possèdent des systèmes de partage d'information sur les emprunteurs (registres de crédit), les plateformes de crowdlending ont accès à l'historique de crédit de leurs clients potentiels (score FICO aux États-Unis, fichier FIBEN en France). [...]
[...] Il est ainsi question d'ouvrir un compte en banque en quelques clics, avec bien souvent comme cadeau de bienvenue des euros offerts et une carte gratuite. On comprend que la coexistence du clic et du mortar va devenir de plus en plus compliquée, d'autant que les banques en ligne sont souvent adossées à des banques mortar qui préfèrent cette autoconcurrence interne à la naissance d'un nouveau venu. L'analyse traditionnelle, élément clé d'acceptation d'un dossier et de gestion du risque d'octroi de crédit. [...]
[...] La décision d'un prêteur de placer ses fonds sur la plateforme dépend du nombre de projets disponibles et de leur qualité. La connaissance client a donc très peu d'impact ici pour freiner la survenance du défaut de remboursement. Les prêteurs prennent la décision de financer un projet sur la plateforme en analysant son rendement, son risque et son objectif. Des taux historiquement bas et une concurrence agressive qui incite à négliger le devoir de vigilance. Hyp. #3. Les taux n'ont jamais été si bas, la concurrence populaire et les nouveaux entrants tirent davantage ces taux vers le bas et l'octroi des prêts est très souple. [...]
[...] Il en découle pour les banques un risque de rentabilité (dégradation de la marge nette d'intérêt). Il résulte des taux historiquement bas et la concurrence entre les banques pour attirer les emprunteurs à un assouplissement sensible de leurs critères d'octroi de prêts, en particulier à l'aune des durées (aujourd'hui, jusqu'à 30 ans pour un particulier investissant dans l'immobilier résidentiel ) et des montants octroyés (au-delà des de salaire sont autorisés, par exemple jusqu'à des revenus). Innovation technologique et réactivité comme facteur de fidélisation et conquête des emprunteurs. [...]
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