Mécanique, électricité, nucléaire, management des achats, logistique, analyse SWOT, DAS domaine d'activité stratégique, Valtera, Siemens, Alstom, General Electrics, budget prévisionnel, diagnostic stratégique, business plan, plan d'action, gestion achat
Le poste de recettes principal de VALTERA industrie Group étant le secteur du nucléaire, nous focaliserons notre projet de développement sur l'activité nucléaire. Dans le monde, fin 2011, 435 réacteurs étaient en fonctionnement, produisant à peu près 13% de l'électricité mondiale. En France, ce sont 58 réacteurs qui assurent environ 78% de la production totale d'électricité du pays. En nette progression sur l'année 2013, avec 75 réacteurs en cours de construction, ce marché florissant a su contourner les retombées de la catastrophe de Fukushima de 2011.
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L'activité de VALTERA industrie, en tant que producteur de turbines, est néanmoins fortement influencée par les niveaux de production présents. De plus, le rapport de force des acteurs du nucléaire sur les marchés locaux notamment, mène à une soumission du Groupe aux intérêts des producteurs locaux, en situation de monopole. Néanmoins, le marché des turbines reste relativement cloisonné, malgré une ouverture sur la scène internationale : Alstom, General Electrics et Siemens se partagent les principales parts de marchés.
[...] Néanmoins, le secteur du nucléaire se caractérise aussi par un certain nombre de faiblesses auxquelles il convient de faire face, en tant qu'acteur du nucléaire : - L'énergie nucléaire est à forte intensité en capital; donc des variations dans les coûts de production ou de construction des centrales peuvent avoir un impact significatif. De plus, les retards de construction dans les projets nucléaires peuvent entraîner des coûts de financement nettement plus élevés, entraînant des dépassements de coûts. La perception et l'acceptation du public sont un élément de volatilité. Cela crée de l'incertitude dans le processus d'autorisation d'une installation nucléaire. Une opinion publique négative pourrait dans certains cas retarder, entraver ou arrêter des projets d'énergie nucléaire. [...]
[...] La sécurité de l'approvisionnement en uranium repose sur des pays politiquement stables. En outre, en raison de sa densité énergétique élevée, le combustible nucléaire peut être facilement stocké dans de petits volumes. Cela permet de s'attaquer à des problèmes d'interruption de l'approvisionnement en carburant et offre donc des garanties supplémentaires sur disponibilité des centrales nucléaires. La majeure partie de la chaîne d'approvisionnement en carburant est basée dans l'UE, ce qui offre une certaine proximité politico-économique entre le producteur et le client européen, et donc une meilleure qualité de communication. [...]
[...] Nécessité d'une croissance substantielle de la production d'énergie à faible émission de carbone due aux GES cibles d'émission. Prix élevés des combustibles fossiles Réduction des coûts grâce à la réduction de la durée de réalisation du projet de normalisation de la conception, amélioration de la planification, harmonisation des critères de sécurité. Forte croissance des capacités nucléaires dans les autres régions du monde, favoriser le développement de l'industrie nucléaire européenne, en apportant progrès technologique et effets positifs à l'échelle industrielle Recherche sur la réduction des volumes et la radiotoxicité des radioactifs déchets en fermant le cycle du combustible. [...]
[...] Des ressources humaines suffisantes sont essentielles à l'utilisation de l'énergie nucléaire. Perte d'employés qui partent à la retraite et qui détiennent des connaissances essentielles aux opérations ou la sécurité peut poser un problème à l'exploitation des centrales nucléaires. Préserver et transférer ces connaissances aux successeurs est un défi pour l'industrie nucléaire. Les opportunités sur le marché du nucléaire sont autant de possibilités venant marquer le potentiel de VALTERA industrie dans son développement mondial : Besoin de nouvelles capacités de production d'électricité en raison de la demande accrue d'électricité et remplacement nécessaire des anciennes centrales électriques émettant du carbone. [...]
[...] Les centrales nucléaires n'émettent pas de CO2, et l'utilisation de l'énergie nucléaire à travers son cycle de vie n'entraîne que de très faibles quantités d'émissions de gaz à effet de serre, ce qui lui donne un point fort significatif dans la compétitivité dans une contrainte carbone/économie. La politique énergétique européenne reconnaît également l'importance de la contribution des économies dans les énergies renouvelables. La production d'énergie nucléaire est beaucoup moins sensible à l'augmentation du prix du carburant que les combustibles fossiles. [...]
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